Lisez! icon: Search engine
Stalingrad
Le tournant de la guerre
Date de parution : 26/01/2023
Éditeurs :
Perrin

Stalingrad

Le tournant de la guerre

Date de parution : 26/01/2023
Récit de la bataille de Stalingrad, première défaite majeure de l'armée d'Hitler.
Stalingrad reste à bien des égards la reine des batailles : par la durée et l’intensité des combats, le nombre d’hommes engagés et perdus, l’importance des enjeux stratégiques et l’exceptionnelle... Stalingrad reste à bien des égards la reine des batailles : par la durée et l’intensité des combats, le nombre d’hommes engagés et perdus, l’importance des enjeux stratégiques et l’exceptionnelle valeur symbolique de son dénouement, l’affrontement homérique de deux dictatures entre Don et Volga représente un tournant unique dans l’évolution... Stalingrad reste à bien des égards la reine des batailles : par la durée et l’intensité des combats, le nombre d’hommes engagés et perdus, l’importance des enjeux stratégiques et l’exceptionnelle valeur symbolique de son dénouement, l’affrontement homérique de deux dictatures entre Don et Volga représente un tournant unique dans l’évolution de la guerre en Europe.
C’est une suite de hasards, de rapports de forces et d’erreurs de calcul qui a provoqué la concentration progressive des immenses armées le long des rives de la Volga, autour d’une ville dont la valeur militaire était des plus réduites ; c’est aussi l’entêtement de deux dictateurs et la discipline de fer qu’ils ont fait régner parmi leurs troupes qui ont prolongé pendant cinq mois une confrontation unique par son ampleur et sa férocité. 
Quatre-vingts ans plus tard très exactement, il est passionnant d’en suivre les péripéties au triple niveau des chefs suprêmes, des commandants d’armées et des soldats sur le terrain.
Le témoignage des combattants, les clichés pris dans les deux camps et les nombreuses cartes permettent de prendre la mesure de ce duel de titans aux confins de l’Europe et de l’Asie qui décide du sort de la guerre.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782262102982
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 160 x 210 mm
EAN : 9782262102982
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 160 x 210 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Radwan74 20/05/2023
    Un ouvrage extrêmement intéressant qui présente la bataille de Stalingrad depuis l’offensive décidée par Hitler dans le Sud de l’U.R.S.S. Jusqu’à la reddition du Maréchal Paulus. Cette bataille est effectivement un tournant dans la Seconde Guerre mondiale ; la première défaite majeure de la Wehrmacht qui aura de grave répercussions dans la suite des combats. Un livre très agréable à lire où l’auteur explique point par point les étapes de la bataille et les décisions prises - souvent désastreuses, autant de la part de Staline que Hitler, mais Staline a un « stock » d’hommes et de matériel presque inépuisable - On découvre une bataille extrêmement terrible, une guerre totale entre deux camps qui se détestent, une ville en ruine et finalement une défaite complète de l’armée allemande mais accompagnée d’une terrible saignée dans l’armée soviétique (enfin, Staline n’en a cure tant ses réserves sont abondantes). Je savais déjà que Hitler et Staline étaient de piètres stratèges mais on comprend que le dictateur allemand est totalement déconnecté de la réalité et ses acolytes n’osent le contredire - comment ne pas aboutir à une défaite aussi extrême dans ces conditions !!! Bref, un livre très bien réalisé entre photos et textes dans un ouvrage ni trop long, ni pas assez détaillé - en somme parfaitement équilibré et un ouvrage essentiel sur cette bataille exceptionnelle de sauvagerie dans cette guerre tout aussi barbare. Un livre de référence tout simplement.Un ouvrage extrêmement intéressant qui présente la bataille de Stalingrad depuis l’offensive décidée par Hitler dans le Sud de l’U.R.S.S. Jusqu’à la reddition du Maréchal Paulus. Cette bataille est effectivement un tournant dans la Seconde Guerre mondiale ; la première défaite majeure de la Wehrmacht qui aura de grave répercussions dans la suite des combats. Un livre très agréable à lire où l’auteur explique point par point les étapes de la bataille et les décisions prises - souvent désastreuses, autant de la part de Staline que Hitler, mais Staline a un « stock » d’hommes et de matériel presque inépuisable - On découvre une bataille extrêmement terrible, une guerre totale entre deux camps qui se détestent, une ville en ruine et finalement une défaite complète de l’armée allemande mais accompagnée d’une terrible saignée dans l’armée soviétique (enfin, Staline n’en a cure tant ses réserves sont abondantes). Je savais déjà que Hitler et Staline étaient de piètres stratèges mais on comprend que le dictateur allemand est totalement déconnecté de la réalité et ses acolytes n’osent le contredire - comment ne pas aboutir à une défaite aussi extrême dans ces conditions !!! Bref, un livre très bien réalisé entre photos et textes dans un ouvrage ni trop...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Frederic524 02/02/2023
    Le hasard fait parfois bien les choses. Il y a 80 ans, jour pour jour, le 2 février 1943, le tout récent maréchal Paulus (le plus haut grade de la Wehrmacht, offert par Hitler dans l’espoir que Paulus se suicide plutôt que de se rendre) capitule à Stalingrad. Mais Paulus est chrétien et l’idée du suicide lui apparaît comme contraire à ses valeurs. L’armée rouge et son chef Staline accompagné des généraux Tchouïkov, Joukov et autres très hauts gradés russes ayant permis l’impensable, il y a quelques mois encore, non seulement résister avec courage et abnégation, mais surtout détruire les meilleurs troupes du Reich à l’Est. A l’hiver 1941, l’armée rouge avait contre attaquée alors que les Allemandes étaient à 20 km de Moscou. Ce fût un désastre pour l’armée allemande qui réussit néanmoins à se réorganiser et finalement résister à cette offensive. Les lignes avaient reculés mais l’essentiel était sauf. Le prix payé fût exorbitant : 225 000 morts, 789 000 blessés et 52 000 disparus. Au printemps 1942, ceux sont deux armées exsangues qui s’affrontent. La Wehrmacht : 3,2 millions d’hommes, 2 800 chars contre 4,8 millions de soldats russes et près de 16 000 blindés. Hitler décide de reprendre l’offensive à l’été 1942 où tout l’effort de la Wehrmacht sera porté sur le front sud avec pour objectif d’atteindre les ressources minières du Donbass et des pétroles du Caucase. Hitler, au gré de ses lubies change régulièrement de stratégie pour atteindre d’hypothétiques objectifs. Sa sous-estimation du potentiel militaire russe, son racisme viscérale lui font porter des jugements hâtifs sur le courage et la qualité du soldat russe. Pour lui, ces « sous-hommes » ne valent rien militairement. Une méprise qui conduira à bien des désastres. La VIème armée est affaiblie par des bouleversements avec des unités devant rejoindre d’autres fronts, des difficultés de ravitaillement, le manque d’essence, la fatigue extrême des fantassins (l’armée allemande étant essentiellement hippomobile, la majorité de l’infanterie avance à pieds sur des distances considérables avec des températures frôlant, à l’été 1942, les 50°. Côté soviétique, le principal commissaire politique du front à Stalingrad, n’est autre que Nikita Khrouchtchev, le général Ieremenko est nommé le 13 août, commandant en chef du front de Stalingrad. Le 23 août 1942, La VIème armée atteint les faubourgs de la ville. 600 avions allemands vont bombarder Stalingrad pendant plusieurs jours, tuant plus de 40 000 civil(e)s. La bataille la plus décisive de la Seconde Guerre Mondiale débute alors. Elle va voir se confronter deux gigantesques armées fanatisés et poussés jusque dans leurs derniers retranchements, le tout avec une violence et une cruauté inégalée. Ce qui n’était qu’un point sur une carte, une ville pas vraiment stratégique va cristalliser l’oppositions viscérales et destructrices de deux régimes totalitaires. En moins de 200 pages et de façon très claire, François Kersaudy réussit une synthèse de qualité avec beaucoup d’images et de cartes, des articles biographiques et les grandes lignes des combats. C’est une nouvelle éditions de l’ouvrage de l’historien François Kersaudy. On retrouve dans ce livre « Stalingrad, le tournant de la guerre » tous les éléments déjà connus. Mais il agit comme une remise en mémoire des faits, des dates et des armées en présence. L’obstination d’Hitler et la résistance fanatique des soldats russes vont inscrire cette bataille dans les fonds baptismaux de l’histoire. C’est à découvrir. Paru chez Perrin le 26 janvier 2023.Le hasard fait parfois bien les choses. Il y a 80 ans, jour pour jour, le 2 février 1943, le tout récent maréchal Paulus (le plus haut grade de la Wehrmacht, offert par Hitler dans l’espoir que Paulus se suicide plutôt que de se rendre) capitule à Stalingrad. Mais Paulus est chrétien et l’idée du suicide lui apparaît comme contraire à ses valeurs. L’armée rouge et son chef Staline accompagné des généraux Tchouïkov, Joukov et autres très hauts gradés russes ayant permis l’impensable, il y a quelques mois encore, non seulement résister avec courage et abnégation, mais surtout détruire les meilleurs troupes du Reich à l’Est. A l’hiver 1941, l’armée rouge avait contre attaquée alors que les Allemandes étaient à 20 km de Moscou. Ce fût un désastre pour l’armée allemande qui réussit néanmoins à se réorganiser et finalement résister à cette offensive. Les lignes avaient reculés mais l’essentiel était sauf. Le prix payé fût exorbitant : 225 000 morts, 789 000 blessés et 52 000 disparus. Au printemps 1942, ceux sont deux armées exsangues qui s’affrontent. La Wehrmacht : 3,2 millions d’hommes, 2 800 chars contre 4,8 millions de soldats russes et près de 16 000 blindés. Hitler décide...
    Lire la suite
    En lire moins
  • CelineChaix 26/01/2022
    Documentaire assez court, moins de 200 pages, avec de nombreuses photos et illustrations ainsi que des cartes pour une meilleure compréhension du déplacement des armées. Des encadrés relatant une courte biographie des principaux protagonistes, mais l’essentiel y est. L’incompétence militaire de Hitler est mise en exergue : il ne considère que les informations qui vont dans son sens sans se préoccuper de la réalité du terrain quand elle ne lui convient pas et accumule les erreurs stratégiques. Quant à Staline qui n’est pas non plus un stratège sur le plan militaire, celui-ci ne rencontre que peu d’objections à ses décisions, ses maréchaux ayant en tête les purges encore récentes des opposants. Ajoutons à cela l’obstination d’un côté comme de l’autre, cela donne un incroyable massacre. Sans même parler des conditions : maladie, famine avec impossibilité de ravitailler les troupes, matériels usagés, et encore, quand il y en a, pseudo soldats sans formation qui viennent remplacés les morts. Stalingrad était un gouffre sans fond qui se repaissait de vies humaines toujours plus vite, toujours plus nombreuses. Concis et efficace, l’objectif est atteint, ce livre m’a permis de bien appréhender cette tristement célèbre bataille.
  • thburdet 03/08/2018
    Pour tout savoir sur la bataille de Stalingrad en 170 pages très illustrées avec cartes, photos et... références philatéliques. Juste ce qu’il faut de détail sur les différentes étapes opérationnelles, et un découpage en chapitres rapides qui arrive à nous tenir en haleine (et même si, bien entendu, on connaît déjà la fin) devant cette incroyable boucherie, que les soldats allemands avaient d’ailleurs surnommée le « hachoir à viande ».
Inscrivez-vous à la newsletter Perrin
Découvrez chaque mois des exclusivités, des avant-premières et nos actualités !

Lisez maintenant, tout de suite !