"Victor Remizov n'est pas de ces pantouflards qui forgent des aventures dans lesquelles ils n'oseraient jamais plonger. Les rives de la mer d'Okhotsk lui sont familières, tout comme les personnages dont il explore les âmes bien trempées. D'où vient la puissance de ce premier roman écrit sur le tard ? De son lyrisme, bien sûr, de son humanité, évidemment, et surtout du fait qu'il remet au goût du jour une question fondatrice de la littérature russe : à quoi bon vivre si l'on ne sait pas pour quoi l'on serait prêt à mourir ?"
Elisabeth Barrillé / Le Figaro magazine
"À travers un roman éblouissant de froid, de chasse, de pêche, de grands espaces et de vodka, Victor Remizov, viscéralement attaché à cette terre qu'il connait bien et aime d'amour, pose aujourd'hui la question récurrente et poignante en Russie, celle de l'asservissement et du désir de révolte du peuple, maté avec brutalité par le pouvoir."
Yves Viollier / La Vie
<< Un western politico-policier dans la Russie polaire post-soviétique [...]. Un grand roman porté par un époustouflant sens du détail et de l'épopée. ><un western="" politico-policier="" dans="" la="" russie="" polaire="" post-soviétique="" [...].="" un="" grand="" roman="" porté="" par="" époustouflant="" sens="" du="" détail="" et="" de="" l'épopée.="">>
Jean-Rémi Barland / La Provence
"Somptueux. Ode aux insoumis, Volia Volnaïa possède la force des grands romans russes. Tantôt taciturnes ou sentimentaux, velléitaires, idéalistes exaltés, solitaires, les hommes de Rybatchi avec leurs forces et leurs faiblesses portent en eux les questions existentielles. Au lecteur de trouver les réponses."
Frédérique Bréhaut / Le Maine Libre
« Attention chef-d'oeuvre [...] Il y a longtemps que l'on n'avait pas lu un tel hymne à la liberté. [...] Au coeur de ce chef-d'oeuvre merveilleusement traduit par Luba Jurgenson plane la lancinante question de savoir pour quoi l'homme est prêt à tuer ou à mourir. Une illumination. »
Olivier Maulin / Valeurs Actuelles
"Un roman des grands espaces, le tableau vivifiant d'une autre Russie, loin de Moscou."
François Montpezat / Les Dernières Nouvelles d'Alsace
<< Une composition naturaliste, sociétale et métaphysique. [...] Une histoire plurielle, puissamment naturaliste et morale, à base d'amitié, de fidélité à la terre des ancêtres moujiks, d'éclatement de l'unité patriotique, de retournement des idéaux en profit. [...] une histoire aussi actuelle qu'éternelle, de celles où l'homme appartient à la terre, et non l'inverse. >>
Hubert Artus / Lire
<< Ode à la nature sauvage dans la tradition des "Récits d'un chasseur" de Tourgueniev, ce roman de Victor Remizov oppose des personnages hauts en couleur, farouchement épris de liberté à un pouvoir de plus en plus mesquin, qui resserre sa poigne de fer jusque dans les contrées les plus reculées. Une sorte d'Into the Wild au pays de Poutine. >>
François Lestavel / Paris Match
<< Remizov nous invite à une partie de chasse vertigineuse. [...] Nous autres citoyens du monde libre "nourris au lait concentré de la civilisation" restons comme touchés par la grâce. C'est ce qui arrive quand on a affaire à la grande, à la très grande littérature. >>
Paulina Delmayer / Causeur
<< Un polar formidable où le suspense s'intalle lentement, au rythme de la forêt, en compagnie des saumons, des caribous, des zibelines et des ours. >>
Serge Cannasse / La revue du praticien
<< Victor Remizov, cinquante-huit ans, qui fut géomètre dans la taïga et professeur de littérature russe, n'est pas un guide touristique et n'a que faire de la bienséance narrative qui voudrait qu'un auteur tienne son lecteur par la main. Son roman est un alcool fort. Il ne livre son feu qu'à ceux qui voudront bien abandonner leurs repères et se perdre dans l'immensité de ce Far-Est. >>
Astrid De Larminat / Le Figaro Littéraire
<< Un voyage étourdissant dans l'immensité sibérienne. >>
Sylvie Bressler / Esprit
<< Victor Remizov remporte le pari d'aborder des sujets aussi brûlants que la corruption généralisée dans la Russie d'aujourd'hui, la misère mais aussi la fierté de son peuple et ce désir à jamais inassouvi, véritable marque de fabrique de l'âme russe que sont la nostalgie et la soif de liberté. Le tout pimenté par la brûlure glaciale de la vodka. >>
Fabienne Huart / L'indépendant
<< Un roman froid, dur, cruel comme la taïga. >>
Jean-Claude Vantroyen / Le Soir (Belgique)
<< Le premier roman de Victor Remizov ravive la fougue et la noblesse de la grande tradition littéraire russe. >>
Ritta Baddoura / L'Orient Littéraire
<< Un tableau saisissant des rigueurs de la vie sibérienne. >>
Baptiste Touverey / Books
«Tout se passe bien dans ce petit bourg sibérien : pêcheurs et chasseurs braconnent allègrement, la milice fermant les yeux moyennant commission. Jusqu’au jour où un incident met le feu aux poudres… Nature writing russe : une chasse à l’homme dans la taïga et des personnages inoubliables.»
Marie et Vincent / Librairie Siloë Chevassu - Besançon - 25