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Nouveauté
Waterbacks - Anticipation - Aventure - Ecologie
Collection : Romans ados
Date de parution : 23/02/2023
Éditeurs :
Slalom
Nouveauté

Waterbacks - Anticipation - Aventure - Ecologie

Collection : Romans ados
Date de parution : 23/02/2023
Que seriez-vous prêt à faire pour avoir de l’eau ?
Le Grand Réchauffement climatique a ravagé la Terre. En quelques décennies, l’eau potable est devenue la ressource naturelle la plus rare et la plus précieuse au monde. Pour échapper à... Le Grand Réchauffement climatique a ravagé la Terre. En quelques décennies, l’eau potable est devenue la ressource naturelle la plus rare et la plus précieuse au monde. Pour échapper à la misère,
Pitbull, Larbin, Le Bourge et Sprite – des orphelins de la Seconde Guerre de l’Eau – se sont faits...
Le Grand Réchauffement climatique a ravagé la Terre. En quelques décennies, l’eau potable est devenue la ressource naturelle la plus rare et la plus précieuse au monde. Pour échapper à la misère,
Pitbull, Larbin, Le Bourge et Sprite – des orphelins de la Seconde Guerre de l’Eau – se sont faits embaucher par la Water Corp., une organisation au pouvoir politique et militaire immense.
Les quatre adolescents sillonnent Paris pour porter de l’eau aux plus riches : ce sont des Waterbacks. Le jour où Larbin perd sa livraison, ils sont en danger de mort. Ils doivent quitter Paris et tenter d’atteindre de nouvelles terres ; vivables cette fois.
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EAN : 9782375543191
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 145 x 225 mm
EAN : 9782375543191
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 145 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fantasybooksaddict 08/03/2023
    L'auteur nous offre une dystopie écologique où suite au réchauffement climatique, l'eau (la bleue) est devenue une denrée rare. Les citoyens ayant survécus doivent se contenter de 30 cl par jour pour (sur)vivre sauf pour les plus riches qui peuvent encore se procurer des bidons à prix d'or. Ces derniers sont transportés par les waterbacks, un métier dangereux car à la moindre erreur, ils le paieront de leur vie. Ces derniers doivent livrer le précieux chargement à VTT tout en évitant les embuscades. Lorsque l'un d'eux perd son chargement, ses 3 autres amis vont tout faire pour l'aider à prendre la fuite. J'ai apprécié suivre cette bande de copains. Ils sont tous très différents. Par conséquent, il est facile de les reconnaître et de s'identifier au moins à l'un d'eux. Néanmoins, je n'ai pas su m'y attacher pleinement. En effet, bien qu'on ait tour à tour chacun de leur point de vue, j'ai ressenti un manque d'approfondissement. Peut être parce qu'ils sont 4 et qu'en plus des leurs, on a également ceux de personnages secondaires. C'était une excellente idée de laisser la parole à tous car cela permet d'avoir une vue d'ensemble mais pour moi, le livre n'est pas assez long... L'auteur nous offre une dystopie écologique où suite au réchauffement climatique, l'eau (la bleue) est devenue une denrée rare. Les citoyens ayant survécus doivent se contenter de 30 cl par jour pour (sur)vivre sauf pour les plus riches qui peuvent encore se procurer des bidons à prix d'or. Ces derniers sont transportés par les waterbacks, un métier dangereux car à la moindre erreur, ils le paieront de leur vie. Ces derniers doivent livrer le précieux chargement à VTT tout en évitant les embuscades. Lorsque l'un d'eux perd son chargement, ses 3 autres amis vont tout faire pour l'aider à prendre la fuite. J'ai apprécié suivre cette bande de copains. Ils sont tous très différents. Par conséquent, il est facile de les reconnaître et de s'identifier au moins à l'un d'eux. Néanmoins, je n'ai pas su m'y attacher pleinement. En effet, bien qu'on ait tour à tour chacun de leur point de vue, j'ai ressenti un manque d'approfondissement. Peut être parce qu'ils sont 4 et qu'en plus des leurs, on a également ceux de personnages secondaires. C'était une excellente idée de laisser la parole à tous car cela permet d'avoir une vue d'ensemble mais pour moi, le livre n'est pas assez long pour se le permettre malheureusement. Cet aspect est appuyé par l'action prédominante ! Habituellement, je ne rechigne pas à ce qu'il y ait de l'action mais ici, même si elle ne nous laisse aucun répit (ce qui est positif puisqu'on ne s'ennuie jamais), cela donne la sensation d'un manque d'équilibre. En bref, cette lecture n'était pas parfaite. Elle ne me restera en mémoire que pour ses thématiques environnementales mais elle m'aura tout de même permis de passer un agréable moment !
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  • Angelic_Sword 06/03/2023
    💥 Dynamique En trois mots : eau - amitié - action « Les gens ont soif… - Les gens ont toujours soif, répliqua-t-elle avec lassitude. » ➡ Bienvenue dans un monde où l'eau est très précieuse. L'idée de départ est attirante, surtout dans un roman jeunesse pour une prise de conscience sur la rareté de cette ressource. Les informations sur ce monde post-apocalyptique permettent de mieux comprendre le contexte de l'histoire et c'est apprécible. J'aurais aimé ressentir encore davantage la soif tout au long de ce roman pour que l'immersion soit plus forte. Pour moi, la fuite de nos personnages prend un peu le pas sur ces questions d'eau. « Bonne hydratation et merci encore d'avoir fait confiance à la Water Corp. ! » ➡ le style de l'auteur est donc dynamique, avec toujours un petit côté "rock and roll" comme dans Darius Gore, son livre précédent. Les actions s'enchaînent, le rythme est soutenu et plaira sans doute au public cible. Attention quelques scènes un peu violentes viennent ponctuer le récit. ➡ Je n'ai pas particulièrement réussi à m'attacher aux personnages ni à avoir peur pour eux. En revanche, le groupe dans son ensemble fonctionne bien et l'amitié qui les lie se ressent vraiment. « Ok, frères, ce soir on picole de la Pure ! » ➡ L'humour... 💥 Dynamique En trois mots : eau - amitié - action « Les gens ont soif… - Les gens ont toujours soif, répliqua-t-elle avec lassitude. » ➡ Bienvenue dans un monde où l'eau est très précieuse. L'idée de départ est attirante, surtout dans un roman jeunesse pour une prise de conscience sur la rareté de cette ressource. Les informations sur ce monde post-apocalyptique permettent de mieux comprendre le contexte de l'histoire et c'est apprécible. J'aurais aimé ressentir encore davantage la soif tout au long de ce roman pour que l'immersion soit plus forte. Pour moi, la fuite de nos personnages prend un peu le pas sur ces questions d'eau. « Bonne hydratation et merci encore d'avoir fait confiance à la Water Corp. ! » ➡ le style de l'auteur est donc dynamique, avec toujours un petit côté "rock and roll" comme dans Darius Gore, son livre précédent. Les actions s'enchaînent, le rythme est soutenu et plaira sans doute au public cible. Attention quelques scènes un peu violentes viennent ponctuer le récit. ➡ Je n'ai pas particulièrement réussi à m'attacher aux personnages ni à avoir peur pour eux. En revanche, le groupe dans son ensemble fonctionne bien et l'amitié qui les lie se ressent vraiment. « Ok, frères, ce soir on picole de la Pure ! » ➡ L'humour a une place prépondérante dans ce roman. Au programme : jeux de mots, répliques qui fusent, sans aucune lourdeur (juste un peu de vulgarité parfois mais c'est cohérent). Une belle idée de départ mais dont la lecture ne m'a pas totalement convaincue mais elle saura séduire sans problème les 13/14 ans. Merci aux éditions Slalom pour ce titre via NetGalley.
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  • JournalDuneBibliothecaire 02/03/2023
    Les waterbacks sont ceux qui transportent l’eau dans ce monde où cette ressource est devenue une richesse quasiment inaccessible. Un métier dangereux entre ceux qui cherchent à récupérer votre précieux chargement, la Water Cop compagnie qui vous fera payer la moindre erreur etc. Plongez dans une dystopie écologique et un Paris désertique. J’avais adoré le précédent roman de Charles Mazarguil “Darius Gore”. Je me suis donc précipitée sur celui-ci quand les éditions Slalom l’ont proposé en SP. Ce n’est pas du tout le même style mais j’ai retrouvé des éléments qui m’avaient plu dans le précédent : des personnages forts et marquants, une plume efficace, une intrigue qui met les personnages à l’épreuve, de l’imagination… Une dystopie intéressante qui vous changera des trilogies habituelles (avec beaucoup d’amour !) Les waterbacks Ils fonctionnent en groupe et apportent de l’eau aux clients en toute discrétion. Leur métier est dangereux car ils peuvent devenir des cibles privilégiées pour tous ceux qui ont soif. Et dans ce nouveau monde ils sont nombreux. Il faut donc cacher l’eau sur soi et la transporter rapidement, sans se faire repérer. Et malheur au waterback qui vole ou qui perd sa marchandise : c’est la mort assurée. La Water Cop ne plaisante... Les waterbacks sont ceux qui transportent l’eau dans ce monde où cette ressource est devenue une richesse quasiment inaccessible. Un métier dangereux entre ceux qui cherchent à récupérer votre précieux chargement, la Water Cop compagnie qui vous fera payer la moindre erreur etc. Plongez dans une dystopie écologique et un Paris désertique. J’avais adoré le précédent roman de Charles Mazarguil “Darius Gore”. Je me suis donc précipitée sur celui-ci quand les éditions Slalom l’ont proposé en SP. Ce n’est pas du tout le même style mais j’ai retrouvé des éléments qui m’avaient plu dans le précédent : des personnages forts et marquants, une plume efficace, une intrigue qui met les personnages à l’épreuve, de l’imagination… Une dystopie intéressante qui vous changera des trilogies habituelles (avec beaucoup d’amour !) Les waterbacks Ils fonctionnent en groupe et apportent de l’eau aux clients en toute discrétion. Leur métier est dangereux car ils peuvent devenir des cibles privilégiées pour tous ceux qui ont soif. Et dans ce nouveau monde ils sont nombreux. Il faut donc cacher l’eau sur soi et la transporter rapidement, sans se faire repérer. Et malheur au waterback qui vole ou qui perd sa marchandise : c’est la mort assurée. La Water Cop ne plaisante pas et doit faire des exemples pour que personne ne pense pouvoir voler l’eau. C’est pour ça que lorsque Larbin est attaqué et perd plusieurs litres d’eau, il sait qu’il va mourir. Aucune erreur n’est possible. Heureusement pour lui, son équipe (sa famille) décide de l’aider. Une chasse à l’homme dans un monde hostile Les waterbacks fuient la Water Cop et ses soldats lancés à leurs trousses. Ils ne peuvent faire confiance à personne car ils valent, dorénavant, plusieurs litres d’eau ; une fortune. Ils essaient de rejoindre le Nord car là-bas ils sont persuadés que la vie est plus douce. Les voilà sur des routes ultra dangereuses avec des sectes cannibales, des marchands d’esclaves, des soldats prêts à les tuer… et parfois des alliés inattendus. Dans “Waterbacks” il y a une tension constante qui tient le lecteur en haleine jusqu’au bout (surtout après leur fuite.) Le lecteur est très vite embarqué dans une succession d’événements qui touchent les personnages, sans répits, jusqu’à la fin. Le conseil de la bibliothécaire : Waterbacks est un roman accessible à partir de 13 ans (environ.) Il n’hésite pas à mettre les personnages dans des situations difficiles et à développer des scènes violentes. Je préfère toujours prévenir. Mais c’est une super dystopie (ou “cli-fi” comme on appelle ce sous-genre) qui pourra plaire aux adolescents (et plus grands) adeptes de romans post-apocalyptiques sans histoire d’amour trop présente (c’est un argument auquel je tiens car j’ai très souvent ce genre de demande de la part des ados lecteurs de la médiathèque.)
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  • juliettebcx 08/02/2023
    "Et bien c'est une lecture que j'ai lue sans aucune retenue.. Nous sommes plongés dans un monde je dirais.. postapocalyptique où, suite à une catastrophe naturelle, le monde que nous connaissons est devenu avec les années un champ de ruines monumental où la chaleur y est écrasante. À Paris, l'air est saturé, le sable a envahit les rues, les immeubles sont en majorité délabrés. La majeure partie de la population souffre de leur soif mordante. L'eau ( la bleue) est devenue une denrée rare que seuls les plus riches d'entres nous peuvent avoir le luxe de s'offrir par bidon de plusieurs litres. Ces bidons sont livrés par les Waterbacks. Ces gens sont des coursiers d'eau dirais-je, et pédalent sur leurs VTT toute la journée avec cette précieuse et lourde eau potable que tout le monde s'arrache. Le chef des Waterbacks a droit à sa ration journalière de 60ML d'eau seulement.. Imaginez simplement le calvaire des autres personnes.. Que l'on appelle " les desséchés". Sympa comme nom.. Mais très parlant. Un jour, un waterbacks va malencontreusement perdre l'eau qu'il devait livrer.. Son destin est donc tracé et clair pour lui : il va être exécuté par ses supérieurs. Pourquoi ? C'est comme ça.. Seulement, voilà, il... "Et bien c'est une lecture que j'ai lue sans aucune retenue.. Nous sommes plongés dans un monde je dirais.. postapocalyptique où, suite à une catastrophe naturelle, le monde que nous connaissons est devenu avec les années un champ de ruines monumental où la chaleur y est écrasante. À Paris, l'air est saturé, le sable a envahit les rues, les immeubles sont en majorité délabrés. La majeure partie de la population souffre de leur soif mordante. L'eau ( la bleue) est devenue une denrée rare que seuls les plus riches d'entres nous peuvent avoir le luxe de s'offrir par bidon de plusieurs litres. Ces bidons sont livrés par les Waterbacks. Ces gens sont des coursiers d'eau dirais-je, et pédalent sur leurs VTT toute la journée avec cette précieuse et lourde eau potable que tout le monde s'arrache. Le chef des Waterbacks a droit à sa ration journalière de 60ML d'eau seulement.. Imaginez simplement le calvaire des autres personnes.. Que l'on appelle " les desséchés". Sympa comme nom.. Mais très parlant. Un jour, un waterbacks va malencontreusement perdre l'eau qu'il devait livrer.. Son destin est donc tracé et clair pour lui : il va être exécuté par ses supérieurs. Pourquoi ? C'est comme ça.. Seulement, voilà, il n'a pas envie de mourir (on le comprend aisément d’ailleurs). Ses coéquipiers (également waterbacks) vont fuir cette dictature pour tenter de trouver refuge dans le grand Nord. Peut-être trouveront-ils là bas un coin sympa pour vivre sans cette menace permanente au dessus de leur tête ni cette chaleur étouffante et cette soif jamais étanchée. Je vous garantis un livre que vous aurez du mal à lâcher. Il fait moins de 300 pages et il se passe clairement beaucoup de choses à l'intérieur. J'apprécie énormément les livres qui ne traînent pas en longueur ( ça a le dont de m'exaspérer et m'ennuyer un peu je dois dire ). En l'occurrence dans ce livre, à chaques fois qu'une action particulièrement entraînante voir stressante ou triste se produisait, nous étions rapidement attrapés par une nouvelle action tout aussi prenante. J'en étais ravie et je dois même vous dire que, jusqu'à la dernière page il se passe des aventures et rebondissements ! C'est vous dire ! L'auteur, n'a pas manqué d'imagination ni de talent. J'ai choisis de lire ce livre car il m'a légèrement fait penser initialement à la série "the walkind dead" ou finalement, le monde n'est plus ce qu'il était, et, de par ce fait, les rapports entre humains, les politiques ont changé et il n'est question que de survie si je puis dire. C'est le genre de thématique dont je suis assez friande. Je recommande donc vivement ce livre qui vous donnera sûrement soif et vous transportera dans la course contre la montre et la chasse à l'homme et à l'eau (:"
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