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Les Fables de La Fontaine – Recueil de Fables illustrées – À partir de 6 ans
Collection : Contes et Poèmes
Date de parution : 18/11/2021
Éditeurs :
Gründ

Les Fables de La Fontaine – Recueil de Fables illustrées – À partir de 6 ans

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Collection : Contes et Poèmes
Date de parution : 18/11/2021
Les Fables de La Fontaine revisitées par Marc Boutavant !
C’est avec humour et impertinence que Marc Boutavant illustre à son tour les Fables de La Fontaine. Ces textes qui se transmettent de génération en génération, occupent dans notre mémoire... C’est avec humour et impertinence que Marc Boutavant illustre à son tour les Fables de La Fontaine. Ces textes qui se transmettent de génération en génération, occupent dans notre mémoire un souvenir tout particulier, celui de poèmes que nous récitions enfant sans parfois les comprendre mais qui sont toujours dans... C’est avec humour et impertinence que Marc Boutavant illustre à son tour les Fables de La Fontaine. Ces textes qui se transmettent de génération en génération, occupent dans notre mémoire un souvenir tout particulier, celui de poèmes que nous récitions enfant sans parfois les comprendre mais qui sont toujours dans un coin de notre tête. Marc Boutavant nous en propose sa vision et met à leur service son regard malicieux qui, indéniablement, fera de ce livre un classique pour une nouvelle génération !
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EAN : 9782324027208
Façonnage normé : RELIE-ALB.
Nombre de pages : 72
Format : 190 x 260 mm
EAN : 9782324027208
Façonnage normé : RELIE-ALB.
Nombre de pages : 72
Format : 190 x 260 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JBLM 03/04/2024
    On ne présente plus cette œuvre absolument emblématique de notre littérature, qui a su renouveler encore et encore son intérêt à travers les âges et les générations. De l’écolier qui apprend à apprendre en devant réciter par cœur telle fable, à l’adulte qui relit ladite fable avec un regard chaque fois renouvelé à l’aune de son expérience de la vie, les Fables appartiennent à ce cénacle extrêmement fermé des œuvres qui ne sont jamais trop puériles ou trop compliquées pour qui que ce soit, et jamais obsolètes quelle que soit l’époque. On connaît le principe repris de procédés littéraires hérités de la Grèce antique, notamment ceux d’Esope, même si les sources d’inspirations tendent, au fil des livres, à se romaniser ou à s’orientaliser : une morale, explicite ou implicite, est illustrée par une saynète ou une interaction entre des personnages-types, généralement des animaux mais aussi des plantes ou des hommes, qui incarnent des biais humains. C’est l’exemple qui met en évidence la validité de la leçon éthique ou philosophique, retient l’attention de son destinataire et marque sa mémoire. Pour autant, il n’est pas possible de ranger ces morales au sein d’une école particulière puisque les morales se contredisent ou se tempèrent les unes les autres. Le message global serait donc celui de la prudence en toutes choses. Ce qui est particulièrement amusant, c’est de voir les animaux, qui assument leur rôle en tant que tel, c’est-à-dire se dévorer, se poursuivre, se soumettre au joug de l’homme, tout en reprenant les codes de politesse et de comportement humains. La loi naturelle est suivie, mais elle n’est pas complètement le fruit de l’instinct : les animaux se sentent obligés de la justifier ou d’y parvenir par un raisonnement ou par le respect d’un principe, lesquels abondent systématiquement en tournures élégantes qui répercutent dans les rapports entre bêtes les marques de civilité en vigueur dans la haute société française. Et il est assez troublant, quoique divertissant, de remarquer que les procédés rhétoriques les plus habiles et les valeurs les plus nobles peuvent être mises au service de l’instinct le plus primitif. Les premiers livres sont sans doute les plus passionnants, les six derniers proposant par moments des morales moins évidentes, des adresses particulièrement longues et théoriques, et moins de personnages à poils, à écailles ou à plumes. Si les premières ont la plupart du temps une issue plutôt comique, la dimension personnelle qui grandit dans les dernières, avec la présence croissante d’un « je » vieillissant mélancolique, fait évoluer le ton général vers le lyrique, voire le tragique. On prend par instants un peu de recul sur la langue en réalisant d’où sort telle expression passée dans le langage courant. En tout cas, j’ai retrouvé l’envie d’apprendre quelques fables autres que celles consacrées par l’école, et qui sont pourtant tout aussi excellentes.On ne présente plus cette œuvre absolument emblématique de notre littérature, qui a su renouveler encore et encore son intérêt à travers les âges et les générations. De l’écolier qui apprend à apprendre en devant réciter par cœur telle fable, à l’adulte qui relit ladite fable avec un regard chaque fois renouvelé à l’aune de son expérience de la vie, les Fables appartiennent à ce cénacle extrêmement fermé des œuvres qui ne sont jamais trop puériles ou trop compliquées pour qui que ce soit, et jamais obsolètes quelle que soit l’époque. On connaît le principe repris de procédés littéraires hérités de la Grèce antique, notamment ceux d’Esope, même si les sources d’inspirations tendent, au fil des livres, à se romaniser ou à s’orientaliser : une morale, explicite ou implicite, est illustrée par une saynète ou une interaction entre des personnages-types, généralement des animaux mais aussi des plantes ou des hommes, qui incarnent des biais humains. C’est l’exemple qui met en évidence la validité de la leçon éthique ou philosophique, retient l’attention de son destinataire et marque sa mémoire. Pour autant, il n’est pas possible de ranger ces morales au sein d’une école particulière puisque les morales se contredisent ou se...
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  • Amangerdufoin 01/04/2024
    "Hélas on voit que de tout temps Les petits ont pâti des sottises des grands." C'est ce qu'il y a malheureusement de bien avec ces fables, c'est qu'elles sont et seront toujours d'actualité... Alors régalez-vous à observer nos travers... Rousseau disait qu'il ne fallait pas les faire lire aux enfants, car c'est trop subtil... Ce qui est certain c'est qu'il n'y a pas d'âge pour les (re) découvrir...
  • MaujeanClement 07/03/2024
    Les Fables de Jean de La Fontaine demeurent un trésor intemporel de la littérature enfantine, qui continue de charmer et d'enseigner aux jeunes lecteurs des leçons de vie universelles. À travers ses vers rythmés et ses fabuleuses illustrations, La Fontaine donne vie à une galerie de personnages animaux, dotés de traits humains, qui nous captivent par leurs aventures et leurs péripéties. Chaque fable, avec sa morale subtile et ses récits ingénieux, invite les enfants à réfléchir sur des thèmes comme la sagesse, la tolérance, l'amitié et la ruse. Le style simple et accessible de La Fontaine, mais non pas pauvre, permet aux lecteurs de tous âges de s'immerger dans ces récits intemporels, qui résonnent encore aujourd'hui avec une pertinence incontestable. En somme, les Fables de La Fontaine demeurent un indétrônable classique de l'enfance, un trésor littéraire qui continue d'éduquer, de divertir et d'inspirer les jeunes et les moins jeunes générations.
  • Pasoa 03/01/2024
    C'est toujours avec un sentiment très particulier que je reviens vers les Fables de Jean de la Fontaine. Elles sont inséparables du souvenir de mes premières lectures, du par-coeur qu'écolier on nous imposait pour ensuite les réciter devant la classe, des illustrations qui les accompagnaient… Jamais l'imaginaire de l'enfance ne fut autant sollicité que par ces fables, que par tous ces animaux et cette nature doués de parole et d'action, que par cet univers si particulier. Si les souvenirs de l'enfance font leur chemin, c'est encore avec une vraie curiosité que je les relis aujourd'hui. La Fontaine est-il un moraliste ou un poète ? Davantage un poète selon moi. Dans ce qu'il considérait lui-même comme un divertissement, un badinage, un « enjouement », il fait dans ses Fables un usage de la rime et d'un style qui sont proprement poétiques. Aussi attachantes soient-elles, étrangement, les Fables portent chacune en elles un moment de tension, un jeu de pouvoir, un rapport de force. Deux ou plusieurs protagonistes se rencontrent qui font entendre un désaccord, une rivalité que leur nature, leur position leur imposent. de cet antagonisme, La Fontaine en tire une leçon de morale particulière où triomphent bien plus souvent la force et la ruse, que le bon droit. La Fontaine est un moraliste sans tout à fait l'être. S'il se sert des fables pour imposer la question morale sur de nombreux thèmes qui touchent aux caractères humains (la vanité, la duperie, la colère, la naïveté, l'imprévoyance, la flagornerie, etc.), il ne répond que sur leurs conséquences, sans jamais les blâmer tout à fait. Ce qu'il faut penser du loup qui menace l'agneau, du renard qui dupe le bouc ou encore de la fourmi impitoyable face à la cigale, etc. La Fontaine n'en dit rien. Il laisse au lecteur la possibilité d'en décider : « En toute chose, il faut considérer la fin. » « LE RENARD ET LE BUSTE Grands, pour la plupart, sont masques de théâtre ; Leur apparence impose au vulgaire idolâtre L'Ane n'en sait juger que par ce qu'il en voit. Le Renard au contraire à fond les examine, Les tourne de tout sens ; et quand il s'aperçoit Que leur fait n'est que bonne mine, Il leur applique un mot qu'un Buste de Héros Lui fit dire fort à propos. C'était un Buste creux, et plus grand que nature. Le Renard, en louant l'effort de la sculpture : Belle tête, dit-il; mais de cervelle point. Combien de grands Seigneurs sont Bustes en ce point ? » Un singe et un dauphin, un lion et un âne, un lièvre et une tortue, un loup et une cigogne, un rat et une huître,… Autant de rencontres improbables qui nous rendent les animaux des Fables, tous doués de parole, vraiment fascinants. Si La Fontaine met en scène d'autres personnages, tantôt tirés de la mythologie romaine, tantôt du monde paysan ou de la Cour, chacun d'eux nous parait comme familier. le récit, la fable poétique nous tient cependant comme à distance d'eux, pour que nous puissions mieux les considérer chacun. Une manière pour l'auteur de magnifier tous ses personnages, de les rendre inoubliables, mais aussi de surprendre et d'édifier le lecteur-spectateur. C'est un précieux héritage que nous a laissé Jean de la Fontaine. « Bornons ici cette carrière. Les longs Ouvrages me font peur. Loin d'épuiser une matière, On n'en doit prendre que la fleur. Il s'en va temps que je reprenne Un peu de forces e d'haleine Pour fournir à d'autres projets. Amour, ce tyran de ma vie, Veut que je change de sujets : Il faut contenter son envie. (…) » . C'est toujours avec un sentiment très particulier que je reviens vers les Fables de Jean de la Fontaine. Elles sont inséparables du souvenir de mes premières lectures, du par-coeur qu'écolier on nous imposait pour ensuite les réciter devant la classe, des illustrations qui les accompagnaient… Jamais l'imaginaire de l'enfance ne fut autant sollicité que par ces fables, que par tous ces animaux et cette nature doués de parole et d'action, que par cet univers si particulier. Si les souvenirs de l'enfance font leur chemin, c'est encore avec une vraie curiosité que je les relis aujourd'hui. La Fontaine est-il un moraliste ou un poète ? Davantage un poète selon moi. Dans ce qu'il considérait lui-même comme un divertissement, un badinage, un « enjouement », il fait dans ses Fables un usage de la rime et d'un style qui sont proprement poétiques. Aussi attachantes soient-elles, étrangement, les Fables portent chacune en elles un moment de tension, un jeu de pouvoir, un rapport de force. Deux ou plusieurs protagonistes se rencontrent qui font entendre un désaccord, une rivalité que leur nature, leur position leur imposent. de cet antagonisme, La Fontaine en tire une leçon de morale particulière où triomphent bien plus souvent la force...
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  • FrancoMickey 03/01/2024
    Il y a trois bonnes raisons à ma venue sur Babelio en ce 3 janvier, oui vous avez bien lu, trois, le nombre de Rois Mages. Coïncidence ? Je n'crois pas. Mais voyons ensemble ces trois raisons avant de rentrer dans le vif du sujet : 1. Je n'ai plus que quelques heures pour pondre une critique de mon énième roman brillamment gagné au dernier Masse Critique (ou celui d'avant j'suis perdu m’en fous). Eh oui, je suis à la bourre et fidèle à moi-même, mais c'est à cause de mon fils, il est prenant dirons-nous. Bah quoi ? Les gosses ça sert à avoir des excuses non ? 2. Je sais que je vous manquais donc je vous devais bien un petit détour par ici pour vous faire coucou et accessoirement rigoler un coup. Et vu que vous me demandez oui vous m'avez manqué, mais un tout petit peu. 3. Qui dit nouvelle année dit meilleurs vœux. Pour qui me prenez-vous ? Je suis un gentleman. Bonne année mes mignonnes et mes mignons, j'vous souhaite le meilleur et surtout la santé pour vous et vos proches. Allez fini de tailler le bout de gras, passons aux choses sérieuses. Aujourd’hui je vais vous parler des Fables de Lafontaine, mais d’une édition en particulier, celle de Tom-Pousse (d’ailleurs je les remercie chaleureusement et leur envoie plein d’amour). Il s’agit d’une version illustrée agrémentée de dessins magnifiques qui subliment une poésie déjà culte, si culte d'ailleurs que je ne reviendrai pas sur la qualité incroyable de ces textes qui n'ont pas pris une ride (comme vous d'ailleurs mes chères amies Babelio, vous êtes ravissantes). Attendez, faisons pause quelques secondes. Il est vrai que je suis parti du postulat que tout le monde connaissait cette œuvre majeure mais si jamais il y en avait qui ne savaient pas de quoi nous parlions, soit vous êtes un(e) complotiste survivaliste qui vit reclus(e) dans une grotte perdue au fin fond de l’Auvergne (coucou à mes voisins au passage je n’ai rien contre vous, mais vous êtes simplement moins nombreux que les vaches dans votre coin), soit vous appartenez à la société amish. Sur ce dernier point je vous arrête tout de suite hé ', je n'ai rien contre les barbe j'en porte moi-même une. Bon, finalement et après réflexion, dans tous les cas vous ne pouvez pas lire ma critique. Oublions donc cette digression. En fin de compte pas besoin d’épiloguer, les fables n’ont pas changé en 30 ans, les dessins d’illustration sont superbes et, en bonus, il y a une version audible qui est jointe et ça, c’est vraiment sympa car oui, ce détail va être un sérieux atout pour les jeunes parents en détresse qui n’en peuvent plus de lire et relire encore et encore à longueur de journée ces *§!+# de bouquins à leurs enfants. Eh oh, je suis très calme rassurez-vous. Et je suis un père aimant. Si si. Sur ces belles paroles empreintes d’amour, je vous souhaite (encore) un heureux début d’année 2024. Bisous. Il y a trois bonnes raisons à ma venue sur Babelio en ce 3 janvier, oui vous avez bien lu, trois, le nombre de Rois Mages. Coïncidence ? Je n'crois pas. Mais voyons ensemble ces trois raisons avant de rentrer dans le vif du sujet : 1. Je n'ai plus que quelques heures pour pondre une critique de mon énième roman brillamment gagné au dernier Masse Critique (ou celui d'avant j'suis perdu m’en fous). Eh oui, je suis à la bourre et fidèle à moi-même, mais c'est à cause de mon fils, il est prenant dirons-nous. Bah quoi ? Les gosses ça sert à avoir des excuses non ? 2. Je sais que je vous manquais donc je vous devais bien un petit détour par ici pour vous faire coucou et accessoirement rigoler un coup. Et vu que vous me demandez oui vous m'avez manqué, mais un tout petit peu. 3. Qui dit nouvelle année dit meilleurs vœux. Pour qui me prenez-vous ? Je suis un gentleman. Bonne année mes mignonnes et mes mignons, j'vous souhaite le meilleur et surtout la santé pour vous et vos proches. Allez fini de tailler le bout de gras, passons aux choses sérieuses. Aujourd’hui je vais vous parler des Fables...
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