Au cœur du quatrième arrondissement parisien, Vincent Malone reçoit des auteurs le temps d’un entretien intimiste et décontracté en forme d’analyse. Deux épisodes par mois, d’une quinzaine de minutes environ, qui racontent la vie qui se cache derrière les livres que nous aimons. Un traité musical élégant et poétique, dans la ligne des productions du Poste Général (à découvrir sur le site lepostegeneral.com et sur Instagram Lepostegeneral).
L’adolescence c’est la fin de la vie et le début de la vie. C’est toute la pureté, tout ce qui est neuf, tout ce qui arrive, tout ce qui se bouscule. Après tout ça, ce ne sont que des répétitions, on essaie de revenir à ce moment-là". Il y a tout juste un an, Cali publiait Seuls les enfants savent aimer, un vrai faux roman dans lequel le chanteur et compositeur racontait son enfance et notamment la disparition de sa mère. A ces mémoires enfantines, il vient de donner une suite tout en poésie, rage et sensualité. Cavale ça veut dire s’échapper est un roman d’apprentissage, une plongée directe dans les affres de l’adolescence. Invité du podcast Des livres et moi, la star est revenue sur ces années faites de liberté, d’amitiés, d’expériences et d’amour. "On croque l’éternité à ce moment-là. On se dit que ça serait pas mal que tout s’arrête là et ça serait pas mal que ça continue quand même", souffle-t-il au micro de Vincent Malone.
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