Lisez! icon: Search engine

Paul Couturiau

Biographie de Paul Couturiau

Paul Couturiau
Crédit photo:
©Leokadia

Paul Couturiau est passé par tous les métiers de l’édition - traducteur, conseiller littéraire, directeur de département, il a même dirigé une maison d’édition à Bruxelles… Depuis 2002, il se consacre exclusivement à l’écriture. Lauréat du Grand Prix de littérature policière pour son premier roman, Boulevard des ombres en 1992 et du Prix Maisons de la Presse pour Le Paravent de soie rouge, Presses de la Cité, 2002, il a publié dans la collection Terres de France : En passant par la Lorraine (2003), L’Abbaye aux loups (2010) Les Silences de Margaret (prix roman 2011 des Conseils Généraux de Lorraine)  et Ce feu qui me dévore (2018) dont l’intrigue se déroule en Lorraine. Installé à Metz depuis 2018, il est auteur et scénariste de 6 documentaires sur sa région d’adoption et d’un long métrage de fiction.
 
 

Autres livres du même genre

Les Disparus de la Cour d'Or

Paul Couturiau
Un livre ne raconte pas qu’une histoire, il a aussi son histoire. À Metz, un conservateur de musée passionné et sa jeune acolyte remontent le fil du temps afin de retrouver la trace d’ouvrages précieux disparus pendant la Seconde Guerre mondiale.   Metz, septembre 1944. Josef Bürckel, haut fonctionnaire nazi, ordonne la destruction des archives allemandes ainsi que de trésors inestimables de la bibliothèque municipale.
Mai 2018. À la veille de prendre sa retraite, Michel Engberg, conservateur au musée de la Cour d’Or, à Metz, n’a jamais cru à cette destruction. Il aime rappeler qu’un fragment de manuscrit est réapparu dans une vente...
Découvrir le livre
Découvrir le livre
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés

Lisez maintenant, tout de suite !

  • News
    Presses de la Cité

    Les mots de Paul Couturiau

    « Metz, septembre 1944. Josef Bürckel, haut fonctionnaire nazi, ordonne la destruction des archives allemandes ainsi que de trésors inestimables de la bibliothèque municipale.
    Mai 2018. À la veille de prendre sa retraite, Michel Engberg, conservateur au musée de la Cour d’Or, à Metz, n’a jamais cru à cette destruction. Il aime rappeler qu’un fragment de manuscrit est réapparu dans une vente aux enchères en 1981. »

     

    Lire l'article