Uglies - tome 1 : Le livre de Scott Westerfeld

J'ai beaucoup aimé ce roman jeunesse. Il s'agit d'une dystopie qui se déroule environ trois siècles après la chute de la civilisation que nous connaissons. L'héroïne, Tally, aura bientôt 16 ans. Pour le moment, elle est une ugly mais à son anniversaire elle sera transformée en pretty. De 12 à 16 ans les Uglies vont à l'école et on tolère leurs bêtises. À 16 ans, une opération chirurgicale les transforme en Pretty's. Ils pourront ensuite s'amuser et faire la fête. Je ne vous raconte pas la suite de l'histoire pour ne rien spoiler mais évidemment tout ne se passera pas comme prévu. Outre la manière dont sont décrit les personnages, j'ai aimé le rôle que tient la nature dans ce livre ainsi que le regard écologique qui transparaît de temps en temps. J'ai hâte de lire le tome suivant car le tome 1 s'arrête sur u formidable Cliffhanger.

Waouh ! Quelle claque !! J’ai vraiment adoré !! Ce livre est en un sens proche de la ferme des animaux que j’avais déjà beaucoup aimé la ferme des animaux mais la c’est un autre niveau. Cette utopie cache une dystopie/contre-utopie (comme vous préférez) car la beauté absolue peut cacher un piège… (mais bon on va éviter d’en dire trop) Ce livre est l’un de mes premiers de ce genre mais je sens que je vais en acheter d’autres Ceci est mon avis faites vous le votre

Petite lecture sympathique Personnages attachants dans l’ensemble. Pas de grand frisson juste un livre basé sur le devenir beau et se taire avec fête en perspective sans grande grande réflexion Je me demande où l’auteur a trouvé l’idée de cette histoire quand même Quoi que…. On vit déjà dans un monde de moutons

Ces livres mêlant science-fiction et fantastique m'ont beaucoup plu. On découvre une Tally à la fois sensible, déterminée et courageuse qui veut avant tout préserver son monde. On s'aperçoit que même un petit groupe peut faire bouger les choses. Beaucoup visent la beauté parfaite, c'est pour cela que cette société à créée ce système, mais il cache pourtant des défauts et on se rend compte que l'excellence n'existe pas.