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A un détail près
Date de parution : 19/08/2021
Éditeurs :
Écriture

A un détail près

Date de parution : 19/08/2021
Il est plein de doutes, fracassé par le décès de son épouse. Elle, belle comme une Italienne, discrètement provocante. Ils se rencontrent à la bibliothèque Richelieu, en plein coeur de... Il est plein de doutes, fracassé par le décès de son épouse. Elle, belle comme une Italienne, discrètement provocante. Ils se rencontrent à la bibliothèque Richelieu, en plein coeur de Paris. Il reprend confiance, elle se laisse approcher. Les voilà amants.

Mais elle garde ses mystères. Plus ils sont intimes, plus...
Il est plein de doutes, fracassé par le décès de son épouse. Elle, belle comme une Italienne, discrètement provocante. Ils se rencontrent à la bibliothèque Richelieu, en plein coeur de Paris. Il reprend confiance, elle se laisse approcher. Les voilà amants.

Mais elle garde ses mystères. Plus ils sont intimes, plus elle lui échappe. Une séductrice ? Une adepte des boîtes échangistes ? Une authentique universitaire, comme lui ? Parfois elle lui rappelle Victoire, sa femme. Joue-t-elle de cette ressemblance ?

Pour tout compliquer, la belle s’appelle Manon. Comme l’héroïne de l’abbé Prévost – et du livre auquel il travaille. De qui est-elle le double ? A-t-elle une vie secrète ? Le diable est parfois dans les détails…

François Cérésa joue à nous perdre dans ce jeu de miroirs et de fauxsemblants, jusqu’au plus imprévu des dénouements. Un voyage sentimental à travers la France et l’Italie, la légèreté et la gravité.
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EAN : 9782359053487
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782359053487
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • michel.carlier15 13/10/2021
    Quand un rat de bibliothèque rencontre une femme fatale , au prénom prédestiné de surcroît , Manon , que voulez-vous qu'il arrive ? Qu'il en tombe amoureux est la chose la plus naturelle qui soit . Même s'il ne peut se détacher du souvenir de sa femme Victoire , même si son chagrin l'emporte parfois sur les sentiments qu'il éprouve pour Manon , il ne peut s'empêcher de succomber au charme vénéneux de cette femme qu'il a rencontré de manière fortuite à la bibliothèque Richelieu . Par un hasard extraordinaire , il se trouve qu'Antoine fait des recherches sur Manon Lescaut de l'abbé Prévost , ce qui ne manque pas de piquant , ce personnage de roman lui rappelle son épouse Victoire (il la soupçonne de l'avoir trompé avec son meilleur ami ) . L'autre Manon , quant à elle , semble faite pour le plaisir , elle ne pense qu'à la jouissance . A tel point qu'Antoine enquête sur sa maîtresse , il suppose qu'elle fréquente une boîte échangiste , à tort ou à raison . L'existence de Manon est entourée d'une aura de mystère , notre rat de bibliothèque ne sait plus à quel saint se vouer : elle disparait des jours entiers sans donner aucune nouvelle , puis elle réapparaît soudainement . A l'âge d'Antoine (il vient d'atteindre la soixantaine ) , cette histoire d'amour est inespérée . Mais elle est entourée de non-dits , de mystère et d'interrogations : qui est réellement cette Manon ? Ce que j'aime par-dessus tout chez François Cérésa , c'est le côté érudit sans forcer la note : il y a ces citations extraites de l'oeuvre de l'abbé Prévost , toujours placées dans le texte à bon escient , puis les anecdotes à propos du Grand Meaulnes , des aphorismes de Cioran , des propos sur les films de Woody ALLEN ou Dino RISI , sur la peinture du Caravage . Il évoque également le philosophe Otto Weininger , mort à 23 ans . C'est un véritable feu d'artifice au sein de ce roman (j'allais dire de cette romance !) Pour résumer , c'est un livre que je recommande volontiers : derrière une belle histoire d'amour , il y a une réflexion sur le deuil , sur le couple (peut-on avoir un "jardin secret" et ne pas tout se dire ?) et surtout sur la renaissance d'un homme enfermé dans le deuil (et âgé , 60 ans ) au contact d'une femme libre , émancipée , pétillante et solaire . Merci à Babelio et aux Editions Ecriture ! Quand un rat de bibliothèque rencontre une femme fatale , au prénom prédestiné de surcroît , Manon , que voulez-vous qu'il arrive ? Qu'il en tombe amoureux est la chose la plus naturelle qui soit . Même s'il ne peut se détacher du souvenir de sa femme Victoire , même si son chagrin l'emporte parfois sur les sentiments qu'il éprouve pour Manon , il ne peut s'empêcher de succomber au charme vénéneux de cette femme qu'il a rencontré de manière fortuite à la bibliothèque Richelieu . Par un hasard extraordinaire , il se trouve qu'Antoine fait des recherches sur Manon Lescaut de l'abbé Prévost , ce qui ne manque pas de piquant , ce personnage de roman lui rappelle son épouse Victoire (il la soupçonne de l'avoir trompé avec son meilleur ami ) . L'autre Manon , quant à elle , semble faite pour le plaisir , elle ne pense qu'à la jouissance . A tel point qu'Antoine enquête sur sa maîtresse , il suppose qu'elle fréquente une boîte échangiste , à tort ou à raison . L'existence de Manon est entourée d'une aura de mystère , notre rat de bibliothèque ne sait plus à quel saint se...
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  • Liliematis24 09/10/2021
    Antoine, la soixantaine, vit dans le souvenir de sa femme Victoire décédée trois ans plus tôt. La bibliothèque Richelieu devient alors son refuge. Antoine survit plus qu’il ne vit. La rencontre avec la belle, indépendante et mystérieuse Mme Duparc va ébranler les certitudes d’Antoine. Qui est cette femme qui lui rappelle tant Victoire? Quels mystères cachent Madame Duparc ? Et si Victoire n’était pas aussi lisse et sage qu’il le pensait ? C’est dans un jeu du chat et de la souris qu’Antoine va essayer de trouver les réponses à ses questions. Un roman tantôt léger, tantôt grave, qu’on lit d’une traite pour connaître les secrets de madame Duparc. Des citations distillées tout au long du récit donnent une profondeur littéraire à ce roman. C’est une belle découverte que la plume de François Cérésa. Je vais me mettre à la recherche d’un autre de ses romans en espérant y prendre autant de plaisir à le lire que celui-ci. Merci à Babélio de m’avoir permis de découvrir cet auteur dans le cadre de la masse critique.
  • audelagandre 09/09/2021
    Antoine, 63 ans est un veuf inconsolable. Voilà 3 ans déjà que sa femme Victoire 56 ans est décédée. Il l’aimait éperdument et sans elle, il ne vit pas, il survit. «#8201;Il ne faut pas mourir de son vivant, disaient-ils. Rectification : je ne me meurs pas de mon vivant, je vis comme un mourant. Trois ans que Victoire est morte. Je n’arrive pas à surmonter cette épreuve.#8201;» En se rendant fréquemment à la bibliothèque, il fait la connaissance de Madame Duparc. Solaire, lumineuse, pétillante, dégageant une incroyable joie de vivre, Madame Duparc fait tomber les réticences d’Antoine à retomber amoureux. Elle porte le même prénom que l’héroïne du roman de l’abbé Prévost sur lequel Antoine travaille : «#8201;Manon Lescaut#8201;» Manon est une femme mystérieuse qui cache bien des secrets, elle refuse de vivre dans «#8201;la norme#8201;», la tristesse ou le passé. «#8201;Je n’ai rien rompu du tout, Antoine. On ne rompt pas avec le passé, c’est le passé qui rompt avec vous.#8201;» Elle est le soleil qui permet à Antoine de sortir de sa nuit. Antoine est bouleversé dans ses certitudes, déstabilisé par cette femme qui n’est pas sans lui rappeler Victoire, troublé par la liberté de son corps, ébranlé par son naturel, son appétit, ses avis tranchés. Une histoire va naître entre eux. Une histoire d’amour#8201;? Chacun jugera. Une histoire où ensemble, ils se guérissent l’un l’autre, partagent, réveillent à la vie des corps endormis. Antoine se voit offrir «#8201;Cette merveilleuse chance qu’un autre vous aime quand vous ne vous aimez plus.#8201;» Pourtant, Manon Duparc a un sens inné pour le faire passer de l’allégresse à l’inquiétude, elle apparaît puis disparaît à sa guise, provoquant chez Antoine des émotions semblables à des montagnes russes. Lui, le rat de bibliothèque qui se réfugie dans des lieux sombres et poussiéreux, est bien obligé d’admettre que «#8201;La vie dans les livres n’est pas la vraie vie.#8201;» et que la vraie vie est beaucoup plus bouillonnante, exigeante, et peuplée de bonnes et de mauvaises nouvelles. Lors de leurs pérégrinations communes, un voyage en Italie, des rencontres avec des amis, le doute s’installe dans l’esprit d’Antoine quant à sa relation avec sa femme décédée. Était-elle aussi amoureuse qu’il le pensait#8201;? N’avait-elle pas des secrets qu’elle cachait avec acharnement#8201;? Leur relation était-elle aussi parfaite#8201;? La prise de conscience d’une autre réalité vient lentement écorcher le souvenir d’une relation fantasmée. Les morts ont l’avantage d’être intouchables… «#8201;À un détail près#8201;» est un roman doux, poétique sur le temps qui passe. L’évocation du passé vécu, regretté, est omniprésente, les promesses d’un futur commun également. La photographie lisse du couple en général se craquèle peu à peu pour laisser place à plus de vérité. J’ai trouvé judicieuse cette approche de laisser entendre que dans un couple, chacun a le droit de garder sa part secrète et qu’il est salvateur de ne pas tout dire, ou, de ne pas tout montrer. L’approche de l’auteur, délicate, tout en finesse propose de belles réflexions sur le deuil, sur la renaissance, et sur cette absence d’émotions qui se transforme progressivement en tourbillon lors de la découverte de l’autre. Les petits papillons dans le ventre m’ont rappelé mes seize ans, quand, dans une rencontre, tout reste encore possible… avant que la vie nous vole nos espérances et notre confiance. La vie qui fait voltiger nos émotions pour s’abattre plus violemment, parfois «#8201;À un détail près#8201;»….Antoine, 63 ans est un veuf inconsolable. Voilà 3 ans déjà que sa femme Victoire 56 ans est décédée. Il l’aimait éperdument et sans elle, il ne vit pas, il survit. «#8201;Il ne faut pas mourir de son vivant, disaient-ils. Rectification : je ne me meurs pas de mon vivant, je vis comme un mourant. Trois ans que Victoire est morte. Je n’arrive pas à surmonter cette épreuve.#8201;» En se rendant fréquemment à la bibliothèque, il fait la connaissance de Madame Duparc. Solaire, lumineuse, pétillante, dégageant une incroyable joie de vivre, Madame Duparc fait tomber les réticences d’Antoine à retomber amoureux. Elle porte le même prénom que l’héroïne du roman de l’abbé Prévost sur lequel Antoine travaille : «#8201;Manon Lescaut#8201;» Manon est une femme mystérieuse qui cache bien des secrets, elle refuse de vivre dans «#8201;la norme#8201;», la tristesse ou le passé. «#8201;Je n’ai rien rompu du tout, Antoine. On ne rompt pas avec le passé, c’est le passé qui rompt avec vous.#8201;» Elle est le soleil qui permet à Antoine de sortir de sa nuit. Antoine est bouleversé dans ses certitudes, déstabilisé par cette femme qui n’est pas sans lui rappeler Victoire, troublé par la liberté de son corps, ébranlé...
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  • antigoneCH 01/09/2021
    J’étais pleine de doutes à la réception de ce roman de rentrée, la couverture, le titre, mais quelque chose avait retenu mon attention quand je l’avais choisi, et je ne m’étais pas trompée… Antoine est veuf, il adorait Victoire, sa femme. A plus de soixante ans, il a conscience des ravages de l’âge, et de confier un peu trop sa vie à son envahissante femme de ménage, Maria. En ce moment, il passe le plus clair de son temps à la bibliothèque Richelieu. Il étudie Manon Lescaut. Il va rencontrer un beau jour là-bas, Madame Duparc, mystérieuse, séductrice, un brin menteuse. Malgré ses défauts et ses absences, le voilà subjugué de plaire ainsi à celle qui s’appelle finalement Manon, comme l’héroïne du livre qui le préoccupe. De rendez-vous en rendez-vous, alors que certains mystères autour de la vie de Madame Duparc s’épaississent, alors qu’ils voyagent et rencontrent des amis, Antoine reprend confiance en lui. En parallèle, le personnage de Victoire, son épouse décédée, apparaît de moins en moins lisse. Les deux femmes, d’ailleurs, se ressemblent étrangement… Antoine ne se tromperait-il pas en pensant que toutes les zones d’ombre sont expliquées par la présence d’une boîte échangiste à deux pas de chez sa maîtresse ? Antoine ne se tromperait-il pas sur tout ?… Ce roman surfe en quatrième de couverture sur une piste un brin sulfureuse distillée en début de récit. Mais en réalité, il ne faut pas s’en tenir à ce qui n’est qu’un détail de l’histoire, une impasse. Ce qui est vraiment intéressant dans ce livre est la manière dont l’auteur met en scène les amours d’Antoine et de Manon, la fraîcheur des sentiments et l’âge des corps, sans rien édulcorer. C’est également un roman remplit de références littéraires, assez savoureuses. Et je suis plutôt d’accord avec la conclusion du pitch de l’éditeur… « Un voyage sentimental à travers la France et l’Italie, la légèreté et la gravité. »J’étais pleine de doutes à la réception de ce roman de rentrée, la couverture, le titre, mais quelque chose avait retenu mon attention quand je l’avais choisi, et je ne m’étais pas trompée… Antoine est veuf, il adorait Victoire, sa femme. A plus de soixante ans, il a conscience des ravages de l’âge, et de confier un peu trop sa vie à son envahissante femme de ménage, Maria. En ce moment, il passe le plus clair de son temps à la bibliothèque Richelieu. Il étudie Manon Lescaut. Il va rencontrer un beau jour là-bas, Madame Duparc, mystérieuse, séductrice, un brin menteuse. Malgré ses défauts et ses absences, le voilà subjugué de plaire ainsi à celle qui s’appelle finalement Manon, comme l’héroïne du livre qui le préoccupe. De rendez-vous en rendez-vous, alors que certains mystères autour de la vie de Madame Duparc s’épaississent, alors qu’ils voyagent et rencontrent des amis, Antoine reprend confiance en lui. En parallèle, le personnage de Victoire, son épouse décédée, apparaît de moins en moins lisse. Les deux femmes, d’ailleurs, se ressemblent étrangement… Antoine ne se tromperait-il pas en pensant que toutes les zones d’ombre sont expliquées par la présence d’une boîte échangiste à deux pas de...
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  • coquinnette1974 01/09/2021
    Autre roman découvert grâce à Mylène des éditions L'Archipel : À un détail près de François Cérésa. Antoine est plein de doutes, fracassé par le décès de son épouse Victoire malgré les mois qui passent. A la bibliothèque Richelieu, en plein cœur de Paris il LA rencontre. Elle, belle comme une Italienne, discrètement provocante. Il reprend confiance, elle se laisse approcher. Les voilà amants. Mais elle garde ses mystères. Plus ils sont intimes, plus elle lui échappe. Qui est t-elle vraiment ?? Parfois elle lui rappelle son épouse disparu et il se demande si elle ne jouerais pas de cette ressemblance.. Pour tout compliquer, la belle s'appelle Manon. Comme l'héroïne de l'abbé Prévost – et du livre auquel il travaille. De qui est-elle le double ? A-t-elle une vie secrète ? Le diable est parfois dans les détails... A un détail près est un roman plaisant à lire qui nous fait vivre une tranche de vie, celle d'Antoine à un moment bien précis de sa vie : son histoire avec l'insaisissable Manon. Notre narrateur est veuf, il a beaucoup de mal à passer à autre chose. Il n'est pas question de l'oublier, évidemment. Mais il serait temps au bout de plus de trois ans d'avoir une vie sociale, pourquoi pas une aventure.. Le destin, à la bibliothèque, met sur sa route l'insaisissable Manon.. qui se prénomme comme Manon Lescaut, l’héroïne du roman de l'Abbé Prévost sur lequel Antoine travaille. Faut t-il y voir un signe ? Notre narrateur mène l'enquête sur Manon, il cherche à savoir qui elle est vraiment. J'ai pris plaisir à voir jusqu'où tout ça allait le mener. Antoine est naïf et il ne veut pas voir la vérité. Il est vrai qu'il est tellement facile, dans le vie, de ne voir réellement que ce que l'on souhaite vraiment ! Il est si facile de se voiler la face.. Antoine imagine des choses sur cette femme. Ils jouent ensemble un jeu plein de cabotinage. Et il passe à coté d'une vérité pourtant simple que j'avais deviné avant lui, bien avant lui.. L'auteur prend plaisir à nous perdre dans ce jeu de miroirs et de faux-semblants. L'écriture est pointue, fluide et la plume est vraiment bien maîtrisée aussi bien au niveau de l'histoire, des personnages et des sentiments. Le dénouement en surprendra certains, ce ne fût pas mon cas car je me doutais vraiment que ça risquait de finir ainsi. J'ai lu ce roman rapidement, mais j'ai bien observé les petits détails disséminés ici et là. En étant attentif, on peut deviner les secrets que cache cette femme. Encore une bonne surprise, je vous le recommande avec plaisir. Ma note : 4 étoiles. #RentreeLitteraire2021Autre roman découvert grâce à Mylène des éditions L'Archipel : À un détail près de François Cérésa. Antoine est plein de doutes, fracassé par le décès de son épouse Victoire malgré les mois qui passent. A la bibliothèque Richelieu, en plein cœur de Paris il LA rencontre. Elle, belle comme une Italienne, discrètement provocante. Il reprend confiance, elle se laisse approcher. Les voilà amants. Mais elle garde ses mystères. Plus ils sont intimes, plus elle lui échappe. Qui est t-elle vraiment ?? Parfois elle lui rappelle son épouse disparu et il se demande si elle ne jouerais pas de cette ressemblance.. Pour tout compliquer, la belle s'appelle Manon. Comme l'héroïne de l'abbé Prévost – et du livre auquel il travaille. De qui est-elle le double ? A-t-elle une vie secrète ? Le diable est parfois dans les détails... A un détail près est un roman plaisant à lire qui nous fait vivre une tranche de vie, celle d'Antoine à un moment bien précis de sa vie : son histoire avec l'insaisissable Manon. Notre narrateur est veuf, il a beaucoup de mal à passer à autre chose. Il n'est pas question de l'oublier, évidemment. Mais il serait temps au bout de plus de trois ans...
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