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Hamatora - Tome 1
Fabien Nabhan (traduit par)
Collection : mangas
Série : Hamatora
Date de parution : 12/03/2020
Éditeurs :
12-21

Hamatora - Tome 1

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Fabien Nabhan (traduit par)
Collection : mangas
Série : Hamatora
Date de parution : 12/03/2020
Découvrez la nouvelle série de l'auteur de Blood Lad : Hamatora ! Au programme : des détectives déjantés à l’humour décapant !
Dans la ville de Yokohama, au Japon, Nice et Murasaki, de l'agence de détectives privés Hamatora, ont recueilli des informations sur un tueur en série qui s'attaque aux personnes nées avec le « Minimum », un pouvoir dont un petit nombre d'individus est pourvu. Possédant eux-mêmes ce pouvoir, les deux enquêteurs se retrouvent malgré eux entraînés dans cette affaire...
EAN : 9782823876536
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823876536
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • clara54410 13/11/2019
    J'avoue avoir d'abord craquer pour la couverture... Je l'ai dévorer, j'aime bien l'histoire et les personnages :D Et les dessins sont superbes
  • Follepicarde 31/07/2019
    Je suis tombée par hasard sur cette série à la BM. Je ne connaissais pas non plus l'anime. Cette découverte et une bonne surprise ! Murasaki est chargé par l'institut Facultas, une école qui forme les humains détenteurs d'un "minimum ", une faculté surnaturelle. Il est chargé de retrouver un ancien élève de l'institut, Nice, le plus brillant que l'école n'est jamais eue, mais qui n'a pas achevé sa formation. Il travaille désormais en tant détective free-lance. Il excelle dans son domaine en dépit de on apparente nonchalance. Ce qui ne manque pas d'agacer Murasaki, jaloux de cet élève meilleur que lui. Il se retrouve embarqué malgré lui dans une affaire d'enlèvement mêlant la pègre locale et une jeune fille capable de devenir une bombe humaine. J'ai beaucoup aimé les trois premiers tomes de cette série. Même si on retrouve les schémas classiques : l'intello plein de principe qui est fidèle à l'école et ses principes, le rebelle doué et nonchalant, mais qui a un grand sens de la morale, les jeunes filles en détresse ! Mais les personnages sont sympathiques, le scénario bien ficelé.
  • RosenDero 15/11/2016
    Nice (drôle de prénom) est à la tête d'une agence de détectives privés. Enfin, dans l'agence, il n'y a en vérité que lui et Hadime. Les deux jeunes gens sont détenteurs d'un « Minimum », un pouvoir qui varie en fonction des individus, et grâce auquel ils résolvent toutes les enquêtes qui leur sont confiées. Le seul hic, c'est que Nice a stoppé son entraînement à l'Académie pour monter son agence free-lance, et que l'agent Murasaki (lui aussi détenteur d'un Minimum) a été chargé de le ramener, coûte que coûte. --- Dans la famille des séries courtes de Manga à haut potentiel (et, si l'on en croit Babelio) relativement peu connues, je voudrais Hamatora. Le pitch et le background de l'histoire sont très sympas : le monde regorge d'individus possédant des pouvoirs ou capacités hors du commun. Une Académie gouvernementale est chargée d'étudier et développer ces dons, quitte à causer quelques dommages collatéraux. Dans cet univers, on suit un héros principal, Nice, jeune homme hyper-doué doté d'un minimum également hyper-puissant (un poil pervers sur les bords, et qui, « comme de par hasard » et « afin d'attirer le chaland », rencontrera toutes sortes de jeunes femmes adeptes de Lolo Ferrari ou de Sharon Stone (même si côté dessin on retrouve très peu de diversité : les deux mêmes obus, les mêmes mini-jupes, les mêmes poses suggestives...). Se rattachent à cela le personnage de Hajime, plutôt discret dans ce tome mais néanmoins indispensable et attachant (elle bouffe, cause pas beaucoup, mais elle envoie du pâté comme on dit), et celui de Murasaki dans le rôle de Némésis naïf et jaloux, aveuglé par sa fidélité au gouvernement et à l'Académie, mais qui ne tardera pas, à n'en pas douter, à retourner sa veste voyant que l'institut forme les citoyens présentant un quelconque intérêt, dans l'intérêt de la nation. L'intérêt supérieur de la nation. Et donc, s'il faut sacrifier quelques citoyens lambda au passage, c'est une simple formalité, cela fait partie des dommages collatéraux, acceptables. Mais pas pour tout le monde ;) C'est assez easy dans le déroulé, et quand même plein d'incohérences ou de déductions sorties de nulle part (« Tu t'es rapproché de ta cible : ça veut donc dire que tu ne peux pas utiliser ton pouvoir plusieurs fois de suite ! » ; « Tu peux aller à la vitesse du son : cela veut dire que tu es l'anihilateur de Minimum » ; « Quelqu'un s'est introduit sur ton balcon : ça ne peut être qu'une personne doté d'un corps extensible !, etc., etc., etc.,). Mais bon, ça passe car on a très envie de voir la suite des aventures. D'autant plus que de nouveaux personnages se greffent sans arrêt, de nouveaux Minimums sont révélés (« Il est capable de produire des sons ultra aigus avec sa gorge » : merci de cette précision, des fois qu'on pense qu'il puisse le faire avec autre chose…), de nouvelles enquêtes sont confiées à l'agence Hamatora. Quant aux dessins, ils sont vraiment appréciables. Une recette qui marchera sans aucun problème auprès du jeune public, ou comme bon défouloir / divertissement pour les autres. Allé, un nouveau Manga dont on commandera certainement la suite et donc on regrettera peut-être qu'elle se termine en 3 tomes ;) (car si on doit regarder l'anime, on n'est pas rendus...) Nice (drôle de prénom) est à la tête d'une agence de détectives privés. Enfin, dans l'agence, il n'y a en vérité que lui et Hadime. Les deux jeunes gens sont détenteurs d'un « Minimum », un pouvoir qui varie en fonction des individus, et grâce auquel ils résolvent toutes les enquêtes qui leur sont confiées. Le seul hic, c'est que Nice a stoppé son entraînement à l'Académie pour monter son agence free-lance, et que l'agent Murasaki (lui aussi détenteur d'un Minimum) a été chargé de le ramener, coûte que coûte. --- Dans la famille des séries courtes de Manga à haut potentiel (et, si l'on en croit Babelio) relativement peu connues, je voudrais Hamatora. Le pitch et le background de l'histoire sont très sympas : le monde regorge d'individus possédant des pouvoirs ou capacités hors du commun. Une Académie gouvernementale est chargée d'étudier et développer ces dons, quitte à causer quelques dommages collatéraux. Dans cet univers, on suit un héros principal, Nice, jeune homme hyper-doué doté d'un minimum également hyper-puissant (un poil pervers sur les bords, et qui, « comme de par hasard » et « afin d'attirer le chaland », rencontrera toutes sortes de jeunes femmes adeptes de Lolo Ferrari ou de...
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  • JeGeekJePlay 14/03/2016
    Le Minimum… Ce terme est utilisé pour toute personne détentrice d’un pouvoir et nous allons justement faire la connaissance de Nice, détective à l’agence Hamatora, et Murasaki, tous deux dotés du Minimum. Nous suivons donc Murasaki qui a pour mission de ramener Nice à l’académie Facultas, ce dernier ayant déguerpi en pleine formation. Cette mission pouvant s’avérer simple prendra une toute autre tournure quand Murasaki, premier de sa promotion, apprend que Nice est lui aussi détenteur du Minimum et qu’il est bien plus doué que lui. Sa mission ne s’annonce pas aisée mais Murasaki compte bien amener Nice à l’institut et ce peu importe dans quel état. Murasaki va donc proposer à Nice une mission, celle de retrouver un « égaré » et s’il échoue alors il devra rentrer à l’institut avec lui. Cependant, une chose en amenant une autre, une nouvelle enquête va les mener face à un autre détenteur du Minimum, qui d’un claquement de doigt peut éradiquer toute vie humaine sur cette planète. Ce premier tome me conforte de suite de par son style graphique dans la même lignée que Blood Lad, digne de Yûki Kodoma. Les dessins sont très dynamiques, l’action est bien présente et elle est menée tambour battant par son auteur qui nous y plonge en plein cœur d’un milieu urbain des rues de Yokohama. J’apprécie beaucoup les vignettes bien diversifiées. Qu’elles soient en milieu intérieur ou en extérieur, le détail est de mise. Il en va de même pour les effets d’ombres que l’on perçoit davantage sur les personnages. On profite aussi de belles perspectives avec certains angles de vue plus dynamiques et de gros plans bien travaillés. On retrouve des scènes en double pages très réussies et j’ai trouvé particulièrement agréable et bien maîtrisée la superposition d’un personnage sur deux vignettes, notamment lors d’un combat par exemple. On n’oublie pas de constater la présence d’onomatopées qui viennent ponctuer une action ou toute autre scène humoristique. Et en parlant d’humour ce tome n’en manque pas, au contraire. Le passage des cènes humoristiques à de plus sérieuses est ici bien adapté. On s’attache aux personnages, préférant telle ou telle personnalité mais chacun des protagonistes a son charme. Je ne vais pas y aller par quatre chemins, Nice a vraiment la classe. Bien qu’il soit un peu « pervers », il a un style bien à lui, très sûr de lui, faisant comme bon lui semble et son Minimum est largement plus stylé que celui de Murasaki. Bien que Nice n’agisse pas toujours de manière très sérieuse, aimant bien draguer les jolies filles ou reluquer une belle poitrine, il sait agir en fonction du danger et sait se ressaisir au bon moment. Certaines personnes ont du style, elles naissent avec, d’autres non et puis il y a Nice ! Je le trouve assez charismatique comme personnage, maintenant, ce n’est là que mon avis, qui n’est pas susceptible de changer sur les prochains tomes, mais cela reste encore à voir. Aussi, l’attitude et la présence de Hajime, légèrement en retrait, est agréable à suivre. Non pas qu’elle soit au second plan mais on ne s’attarde pas beaucoup sur elle, pour le moment. J’ai donc hâte d’en savoir davantage à son sujet. Je me suis plutôt bien marré en lisant ce tome de très bonne facture soit dit en passant. J’ai eu plaisir à découvrir les postface des auteurs en fin de tome tout comme la présence de jolies esquisses. L’édition proposée par Kurokawa est sans reproche avec des pages épaisses et blanches comme on les aime. Je vous laisse donc imaginer la qualité du dessin quand le noir vient ponctuer une scène d’action… C’est du tout bon ! Côté scénario, l’histoire est plutôt originale et bien dynamique. On ne s’ennuie pas et je dirais même qu’on en redemande tellement les enquêtes et le dénouement sont bien menés. Sachant que l’intégrale comporte 3 tomes, j’espère ne pas rester sur ma faim tellement je n’ai fait qu’une bouchée de ce premier. « C’est déjanté et méticuleusement bien dessiné. Le travail graphique est vraiment poussé nous transportant au centre de l’action, dans un univers urbain dynamisé par les mains de l’auteur de Blood Lad et cela se ressent ! »Le Minimum… Ce terme est utilisé pour toute personne détentrice d’un pouvoir et nous allons justement faire la connaissance de Nice, détective à l’agence Hamatora, et Murasaki, tous deux dotés du Minimum. Nous suivons donc Murasaki qui a pour mission de ramener Nice à l’académie Facultas, ce dernier ayant déguerpi en pleine formation. Cette mission pouvant s’avérer simple prendra une toute autre tournure quand Murasaki, premier de sa promotion, apprend que Nice est lui aussi détenteur du Minimum et qu’il est bien plus doué que lui. Sa mission ne s’annonce pas aisée mais Murasaki compte bien amener Nice à l’institut et ce peu importe dans quel état. Murasaki va donc proposer à Nice une mission, celle de retrouver un « égaré » et s’il échoue alors il devra rentrer à l’institut avec lui. Cependant, une chose en amenant une autre, une nouvelle enquête va les mener face à un autre détenteur du Minimum, qui d’un claquement de doigt peut éradiquer toute vie humaine sur cette planète. Ce premier tome me conforte de suite de par son style graphique dans la même lignée que Blood Lad, digne de Yûki Kodoma. Les dessins sont très dynamiques, l’action est bien présente et elle est...
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  • yanndallex 12/01/2016
    Voici une petite bombe de manga que Kurokawa nous édite en France ! Ce manga fait l'objet de 3 tomes au Japon et sert de préquel pour l'animé. Le dessin, la mise en scène : Le dessin de ce manga est remarquable dans un style semi-réaliste avec beaucoup d'effets, de jeux d'ombre et de lumière, quelques détails exceptionnels, des décors agréables et des trames originales. L'ensemble rend un dynamisme très appréciable pour les amateurs d'actions tel que je le suis. Les perspectives sont bien proportionnées, les effets de plongée/contre-plongée parfaitement maitrisés et les débordements de cases sont particulièrement bien placés. Certaines particularités supplémentaires donnent aussi beaucoup d'attrait et de diversité à cette lecture comme le raccord de 2 cases par une bulle, de grosses onomatopées, des trames de fond différentes des autres multiples mangas etc... Les personnages ont tous un caractère bien défini et trempé, mais ils sont affectueux, y compris ceux qui ne parlent pratiquement pas... L'auteur a su aussi soigner ses fonds de vignettes, certaines d'entre elles, bien que simple d'approche, rendent un résultat superbe, comme par exemple dans les parkings ou dans les entrepôts... Il lui arrive de pousser le détail très loin comme en page 124, première vignette, 4 minuscules petites photos sont dessinées avec talent (voir ci-dessous). Les ombres et lumières sont eux, bien servis par l'usage excellent des trames. Le scénario, le découpage : L’idée du Minimum est originale et ouvre de nombreux horizons mais elle donne aussi cette impression de déjà-vu... Sur ce concept, je ne peux m’empêcher de penser par exemple aux « Lanfeust » qui exploitent aussi cette idée, dans un autre contexte et univers, et sur un autre ton. Cependant le scénario, et surtout cette approche de détective privée, est vraiment prenant et étonnant. Les situations sont cocasses et marrantes. Les intrigues sont bien amenées et les dénouements souvent (plus ou moins) inattendus ! Les personnages gardent tous un soupçon de mystère (surtout la petite Hajime). On s’y attache très vite, et au final, nous ne souhaitons pas connaître les clés de leurs mystères, sinon l’enchantement serait rompu… Le découpage est idéalement réalisé, le rythme soutenu, tout va toujours très vite à tel point que l’on peut être frustré à la fin du tome car on en voudrait plus ! En bref, j'ai adoré ce manga par son dynamisme, son originalité et sa touche d'humour. Je me suis évidement empressé d'acquérir le tome 2 tellement j'ai été séduit par cette histoire, et j'ai hâte que le tome 3 sorte en librairie (sortie prévue le 15/01/2016). Kurokawa nous fourni donc une petite pépite de manga avec cette licence ! Voici une petite bombe de manga que Kurokawa nous édite en France ! Ce manga fait l'objet de 3 tomes au Japon et sert de préquel pour l'animé. Le dessin, la mise en scène : Le dessin de ce manga est remarquable dans un style semi-réaliste avec beaucoup d'effets, de jeux d'ombre et de lumière, quelques détails exceptionnels, des décors agréables et des trames originales. L'ensemble rend un dynamisme très appréciable pour les amateurs d'actions tel que je le suis. Les perspectives sont bien proportionnées, les effets de plongée/contre-plongée parfaitement maitrisés et les débordements de cases sont particulièrement bien placés. Certaines particularités supplémentaires donnent aussi beaucoup d'attrait et de diversité à cette lecture comme le raccord de 2 cases par une bulle, de grosses onomatopées, des trames de fond différentes des autres multiples mangas etc... Les personnages ont tous un caractère bien défini et trempé, mais ils sont affectueux, y compris ceux qui ne parlent pratiquement pas... L'auteur a su aussi soigner ses fonds de vignettes, certaines d'entre elles, bien que simple d'approche, rendent un résultat superbe, comme par exemple dans les parkings ou dans les entrepôts... Il lui arrive de pousser le détail très loin comme en page 124, première vignette, 4 minuscules petites photos sont dessinées...
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