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Jeeves dans la coulisse
Claude Alengry (traduit par)
Date de parution : 16/01/2020
Éditeurs :
12-21

Jeeves dans la coulisse

Claude Alengry (traduit par)
Date de parution : 16/01/2020

Quand Jeeves part en vacances, Bertie, le narrateur, et « Hareng-Saur », son ami, connaissent les pires difficultés ! Pourtant, un séjour chez une vénérable ancêtre, la tante Dahlia de...

Quand Jeeves part en vacances, Bertie, le narrateur, et « Hareng-Saur », son ami, connaissent les pires difficultés ! Pourtant, un séjour chez une vénérable ancêtre, la tante Dahlia de Brinkley Court, semblait devoir remédier à cette terrible absence, mais, fiançailles rompues, menace de procès en diffamation, perte de travail,...

Quand Jeeves part en vacances, Bertie, le narrateur, et « Hareng-Saur », son ami, connaissent les pires difficultés ! Pourtant, un séjour chez une vénérable ancêtre, la tante Dahlia de Brinkley Court, semblait devoir remédier à cette terrible absence, mais, fiançailles rompues, menace de procès en diffamation, perte de travail, tout accable les jeunes gens. Ajoutez à ces « légers ennuis », selon Jeeves, la présence d’un psychiatre déguisé en maître d’hôtel, un faux vol, un imbroglio de prénoms de prétendants américains à la main de la fille du redoutable directeur d’école préparatoire… Voilà un Jeeves qui ne décevra pas les admirateurs de Wodehouse !

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EAN : 9782823874679
Code sériel : 1793
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823874679
Code sériel : 1793
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lebelier 01/10/2021
    Et l’on retrouve nos amis Bertie Wooster et son fidèle majordome, Jeeves dans des aventures rocambolesques. Seulement ici, Jeeves doit partir en vacances et Bertie est convoqué par sa tante Daliah à Brinkley où celle-ci a invité moult personnalités dont l’ancien directeur de pension de Bertie et du « Hareng Saur » (Reginald Herring), sévère et de triste mémoire. Ajoutons à cela un psychiatre déguisé en larbin, les amours de fille un peu fofolle du directeur avec un américain dont les actes sont justement surveillés par ledit psychiatre. Ajoutons à cela divers canulars et quiproquos tout aussi loufoques les uns que les autres allant d’un article du Times au vol d’un pot à crème hideux mais cher à l’oncle qui doit mener une affaire avec les parents du jeune américain, tout le monde marche sur des œufs diplomatiques. On regrette juste que Jeeves soit assez absent de ces imbroglios bien que Bertie l’appelle à la rescousse lorsqu’il se retrouve acculé, comme d’habitude par l’enchaînement de ces évènements, ses « certainement, Monsieur » nous manquent. Mais c’est tout de même lui qui sort tout le monde du pétrin, justement « dans la coulisse » avec son flegme et sa discrétion habituels. On passe donc un bon moment. Les romans de Wodehouse réchauffent le cœur. Et puis tout est tellement « anglais »! Cet humour absurde qu’on aime chez nos amis britanniques est prégnant tout au long de la lecture. Un seul regret : je ne l’ai pas lu en version originale ! La traduction de l’édition Omnibus est souvent à la limite : confusion entre « Editor » = « rédacteur en chef d’un journal » et « éditeur », « nuts » = « fou » traduit par « noix » !, « agony » = « angoisse » traduit littéralement par « agonie » ! On se demande où ce traducteur a appris l’anglais. On flaire l’anglicisme à cent mètres. Enfin, qu’importe les flacons. Et à l’heure où j’écris ces lignes je dirais même plus : qu’importe les flocons (20 décembre 2013), j’ai lu mon Wodehouse d’hiver ! Et l’on retrouve nos amis Bertie Wooster et son fidèle majordome, Jeeves dans des aventures rocambolesques. Seulement ici, Jeeves doit partir en vacances et Bertie est convoqué par sa tante Daliah à Brinkley où celle-ci a invité moult personnalités dont l’ancien directeur de pension de Bertie et du « Hareng Saur » (Reginald Herring), sévère et de triste mémoire. Ajoutons à cela un psychiatre déguisé en larbin, les amours de fille un peu fofolle du directeur avec un américain dont les actes sont justement surveillés par ledit psychiatre. Ajoutons à cela divers canulars et quiproquos tout aussi loufoques les uns que les autres allant d’un article du Times au vol d’un pot à crème hideux mais cher à l’oncle qui doit mener une affaire avec les parents du jeune américain, tout le monde marche sur des œufs diplomatiques. On regrette juste que Jeeves soit assez absent de ces imbroglios bien que Bertie l’appelle à la rescousse lorsqu’il se retrouve acculé, comme d’habitude par l’enchaînement de ces évènements, ses « certainement, Monsieur » nous manquent. Mais c’est tout de même lui qui sort tout le monde du pétrin, justement « dans la coulisse » avec son flegme et sa discrétion...
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  • Nikoz 29/05/2013
    Toujours le même sens de l'imb.... de quoi dejà Jeeves? de l'imbroglio monsieur...
  • BVIALLET 21/04/2012
    Bertie a la très désagréable surprise de découvrir dans le « Times » un article annonçant officiellement ses fiançailles avec Bobbie, un de ses anciennes dont il pensait être débarrassé à tout jamais. En fait, il est victime d’une manœuvre de celle-ci pour se rapprocher de sa belle-famille. Pour ne rien arranger, sa chère tante Dahlia l’invite dans sa propriété en lui confiant la mission de veiller à ce que sa filleule ne tombe pas dans las bras d’un play-boy new-yorkais célèbre pour ses frasques, ses trois divorces et un état mental un peu défaillant. Cerise sur le gâteau, sont invités également un psychanalyste qui se fait passer pour un majordome et un ancien maître d’études qui autrefois prenait plaisir à déchainer sa canne sur le postérieur du pauvre Bertie alors potache… Encore une situation compliquée au départ et qui devient inextricable au fur et à mesure que notre jeune aristocrate naïf tente de l’arranger. Ce livre reprend toutes les bonnes ficelles de la série des Jeeves. Wodehouse tenait une bonne recette, il l’exploita jusqu’au bout et sans doute jusqu’à complet épuisement de l’auteur et du lecteur. 90 romans à son palmarès. 40 ans se sont écoulés entre celui-ci et les premiers « Jeeves ». La formule est rôdée, peaufinée et fonctionne toujours comme un magnifique mouvement d’horlogerie : vaudeville, quiproquos, catastrophes en chaine et situations ou annotations cocasses au détour de chaque paragraphe. Pour les amateurs d’humour anglais.Bertie a la très désagréable surprise de découvrir dans le « Times » un article annonçant officiellement ses fiançailles avec Bobbie, un de ses anciennes dont il pensait être débarrassé à tout jamais. En fait, il est victime d’une manœuvre de celle-ci pour se rapprocher de sa belle-famille. Pour ne rien arranger, sa chère tante Dahlia l’invite dans sa propriété en lui confiant la mission de veiller à ce que sa filleule ne tombe pas dans las bras d’un play-boy new-yorkais célèbre pour ses frasques, ses trois divorces et un état mental un peu défaillant. Cerise sur le gâteau, sont invités également un psychanalyste qui se fait passer pour un majordome et un ancien maître d’études qui autrefois prenait plaisir à déchainer sa canne sur le postérieur du pauvre Bertie alors potache… Encore une situation compliquée au départ et qui devient inextricable au fur et à mesure que notre jeune aristocrate naïf tente de l’arranger. Ce livre reprend toutes les bonnes ficelles de la série des Jeeves. Wodehouse tenait une bonne recette, il l’exploita jusqu’au bout et sans doute jusqu’à complet épuisement de l’auteur et du lecteur. 90 romans à...
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