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John Fitzgerald Kennedy
Collection : Tempus
Date de parution : 07/09/2017
Éditeurs :
Perrin

John Fitzgerald Kennedy

Collection : Tempus
Date de parution : 07/09/2017
« Pour rendre compte de la dimension romanesque du personnage, un biographe ne suffit pas, il faut un écrivain. Frédéric Martinez en est un, de grand talent et d'une intelligence confondante. » Le Figaro
Les coups de feu qui éclatent le 22 novembre 1963, à Dallas, font entrer dans la mythologie du XXe siècle John Fitzgerald Kennedy, idole Technicolor de l’Amérique, paladin d’une épopée... Les coups de feu qui éclatent le 22 novembre 1963, à Dallas, font entrer dans la mythologie du XXe siècle John Fitzgerald Kennedy, idole Technicolor de l’Amérique, paladin d’une épopée qui s’achève en roman noir. On a tout dit sur son assassinat. Beaucoup moins sur l’homme complexe qui se cache... Les coups de feu qui éclatent le 22 novembre 1963, à Dallas, font entrer dans la mythologie du XXe siècle John Fitzgerald Kennedy, idole Technicolor de l’Amérique, paladin d’une épopée qui s’achève en roman noir. On a tout dit sur son assassinat. Beaucoup moins sur l’homme complexe qui se cache derrière ce sourire de légende, icône flamboyante d’une société du spectacle qui tue aussi ceux qu’elle adore.
Frédéric Martinez dessine le portrait subtil et nuancé d’une figure éclipsée par son mythe, incarnation d’une Amérique idéalisée où le sublime côtoie le sordide, où le pathétique le dispute au tragique.
 
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EAN : 9782262074517
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782262074517
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MelancholiaXIX 11/10/2022
    L'image que JFK a laissé à la postérité est une image glamour. Il restera cette belle gueule doté d'un sourire magnifique avec une parfaite coupe en brosse. Il demeurera cette figure jeune, charismatique et magnétique (tout le contraire de l'occupant actuel de la Maison Blanche dont la sénilité pose certaines questions). Bref je m'égare. Toutefois l'Histoire a été très gentil avec JFK grâce/à cause de sa mort tragique. Selon moi JFK reste un président surestimé, il n'était pas mauvais mais pas non plus irréprochable. le mythe Camelot a beaucoup forgé sa légende (c'est oublié la désastreuse opération de la baie des Cochons). Mais il a tenu des discours marquants comme : "Ich bin ein Berliner". Cette biographie était intéressante car l'auteur n'encense pas JFK. Après nous ressentons qu'il n'apprécie pas spécialement JFK. Il faut donc faire certaines distinctions entre les faits et son ressenti personnel. Par contre, il y a deux choses négatives dans cette biographie. Premièrement, la politique Kennedy est survolé. J'ai grincé des dents lorsque la crise des missiles de Cuba ne durait qu'une demi page ! Pourtant la relation USA/Cuba est essentielle dans le déroulement de la Guerre Froide. Et JFK a tout de même évité une guerre nucléaire, ce n'est pas rien. Ce passage mérite plus de pages. Deuxièmement, une phrase que je trouve bizarre/stupide : "Et il sourit, Jack sourit". Monsieur Martinez doit penser que cette phrase fait un bel effet de style. Pour moi c'est too much et ça en devient agaçant puisque cette phrase est remise à toutes les sauces. En conclusion, la biographie reste intéressante car elle casse l'image idyllique de JFK. Don't let it be forgot, that once there was a spot, for one brief, shining moment that was known as Camelot. There'll be great presidents again… but there will never be another Camelot. Jackie Kennedy Onasis.L'image que JFK a laissé à la postérité est une image glamour. Il restera cette belle gueule doté d'un sourire magnifique avec une parfaite coupe en brosse. Il demeurera cette figure jeune, charismatique et magnétique (tout le contraire de l'occupant actuel de la Maison Blanche dont la sénilité pose certaines questions). Bref je m'égare. Toutefois l'Histoire a été très gentil avec JFK grâce/à cause de sa mort tragique. Selon moi JFK reste un président surestimé, il n'était pas mauvais mais pas non plus irréprochable. le mythe Camelot a beaucoup forgé sa légende (c'est oublié la désastreuse opération de la baie des Cochons). Mais il a tenu des discours marquants comme : "Ich bin ein Berliner". Cette biographie était intéressante car l'auteur n'encense pas JFK. Après nous ressentons qu'il n'apprécie pas spécialement JFK. Il faut donc faire certaines distinctions entre les faits et son ressenti personnel. Par contre, il y a deux choses négatives dans cette biographie. Premièrement, la politique Kennedy est survolé. J'ai grincé des dents lorsque la crise des missiles de Cuba ne durait qu'une demi page ! Pourtant la relation USA/Cuba est essentielle dans le déroulement de la Guerre Froide. Et JFK a tout de même évité une guerre nucléaire, ce...
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  • Nonna 19/11/2017
    Frédéric Martinez dresse le portrait de ce héros des temps modernes à la fois sans concession et sans agressivité . Il épluche la vie de Kennedy jusqu'à son accession à la présidence des Etats-Unis. Aucun détail ne nous est épargné et la vie de son épouse bien que peu évoquée révèle des détails méconnus. sur ses relations avec d'autres hommes . On échappe aux méandres de l'enquête sur l'assassinat . Un autre livre en perspective ?
  • silencieuse1 18/10/2013
    A quelques semaines du 50ème anniversaire de la mort brutale du président des Etats-Unis d’Amérique le plus mythique, je lis l’ouvrage de Frédéric Martinez et je m’attache à de nombreux détails qui viennent compléter l’image déjà bien chargée de rêves et de contradictions que nous avons en mémoire. L’ensemble est construit comme un jeu de pistes qui va nous mener au 22 novembre 1963 à 12h 30, au sourire éternel de JFK, au petit tailleur rose de Jackie, au fusil calibre 6,5 mm de Lee Harvey Oswald. Les parents, le frère, les femmes, Marilyn, la guerre, les souffrances d’un corps usé qui pourtant ne tient pas en place, c’est un personnage multiple qui nous est décrit, à la fois héros et coureur de jupons, l’homme le plus puissant du monde et fils soumis qui reste un petit garçon. Frédéric Martinez n’a pas écrit une biographie de plus mais un texte construit comme un roman à suspens qui nous donne envie de sauver notre héros, de lui éviter cette mort stupide à Dallas. Et de la même manière que Stephen King interrogeait l’histoire dans 22/11/63, on se demande ce qui se serait passé si, ce jour-là, Lee Harvey Oswald n’avait pas été caché dans le dépôt de livres, son funeste projet en tête. En fin de texte, alors que nous n’ignorons pas que le héros va mourir, la Lincoln noire du couple présidentiel devient le symbole de l’opération de charme pour laquelle JFK est venu à Dallas. La Lincoln rutilante démarre, roule, descend, tourne à gauche et s’engage sur le chemin de la mort. Nous avons vu mille fois ces images et nous gardons, quelque soit notre opinion politique, le sentiment de la fin d’un rêve, de l’éclatement d’un mythe que l’Amérique porte encore comme un héritage, après 50 ans de suppositions et d’hypothèses diverses. Bien écrit, parfaitement documenté et construit sur un rythme qui permet de bien comprendre l’ascension de JFK et la saga des Kennedy, le texte de Frédéric Martinez est une belle réussite. A quelques semaines du 50ème anniversaire de la mort brutale du président des Etats-Unis d’Amérique le plus mythique, je lis l’ouvrage de Frédéric Martinez et je m’attache à de nombreux détails qui viennent compléter l’image déjà bien chargée de rêves et de contradictions que nous avons en mémoire. L’ensemble est construit comme un jeu de pistes qui va nous mener au 22 novembre 1963 à 12h 30, au sourire éternel de JFK, au petit tailleur rose de Jackie, au fusil calibre 6,5 mm de Lee Harvey Oswald. Les parents, le frère, les femmes, Marilyn, la guerre, les souffrances d’un corps usé qui pourtant ne tient pas en place, c’est un personnage multiple qui nous est décrit, à la fois héros et coureur de jupons, l’homme le plus puissant du monde et fils soumis qui reste un petit garçon. Frédéric Martinez n’a pas écrit une biographie de plus mais un texte construit comme un roman à suspens qui nous donne envie de sauver notre héros, de lui éviter cette mort stupide à Dallas. Et de la même manière que Stephen King interrogeait l’histoire dans 22/11/63, on se demande ce qui se serait passé si, ce jour-là, Lee Harvey Oswald n’avait pas...
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