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Le miroir des ombres
Date de parution : 21/11/2013
Éditeurs :
12-21

Le miroir des ombres

Date de parution : 21/11/2013

En 1891, Louis Denfert, jeune et impétueux reporter au Petit Éclaireur, ronge son frein entre chroniques sportives et articles mineurs lorsqu’il est envoyé en reportage à Dijon sur une affaire...

En 1891, Louis Denfert, jeune et impétueux reporter au Petit Éclaireur, ronge son frein entre chroniques sportives et articles mineurs lorsqu’il est envoyé en reportage à Dijon sur une affaire au parfum de scandale : une honorable gouvernante anglaise a été retrouvée, dans le train de nuit Paris-Marseille, sauvagement égorgée...

En 1891, Louis Denfert, jeune et impétueux reporter au Petit Éclaireur, ronge son frein entre chroniques sportives et articles mineurs lorsqu’il est envoyé en reportage à Dijon sur une affaire au parfum de scandale : une honorable gouvernante anglaise a été retrouvée, dans le train de nuit Paris-Marseille, sauvagement égorgée et démembrée. Ce meurtre aurait-il un lien avec la disparition, un an auparavant, dans le même train, de Louis Aimé Augustin Leprince, un inventeur franco-anglais qui venait de mettre au point un appareil de projection d’images révolutionnaire ? Louis était impatient d’en découdre, il va être servi ! Brigitte Aubert plonge au cœur de la glorieuse épopée des pionniers du cinématographe. Dans les coulisses de la lanterne magique, péripéties, mystères et drames se succèdent à un train d’enfer !

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EAN : 9782264058164
Code sériel : 4155
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782264058164
Code sériel : 4155
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ADAMSY 07/04/2019
    Louis, journaliste, a la charge d'enquêter sur le meurtre d'une jeune femme, anglaise, Mathilda, coupée en morceaux dans un train. L'enquête le mène donc en Angleterre. Mathilda aurait eu un lien avec les partisans d'une secte satanique. Ce n'est pas le seul lien. Elle aurait aussi évolué dans un milieu d'artistes peintres (appréciant la peinture morte, mais je vous laisse découvrir ce que j'entends par là) et de scientifiques. Elle aurait été en contact notamment avec l'inventeur du cinéma. Louis a la chance d'être aidé par plusieurs personnes rencontrées au hasard de ses aventures. Difficile cependant de suivre l'histoire car les meurtriers possibles se multiplient et certaines personnes ne forment ensuite plus qu'une, ayant une double identité sans compter leurs multiples complices. Bref, une vaste organisation. L'intérêt est de pouvoir replonger dans cette Angleterre de la fin 19ème siècle et de redécouvrir ces inventions telles que le cinéma, la caméra ou le téléphone...
  • VALENTYNE 06/01/2013
    Paris 1891. Louis Denfert, le héros de ce roman policier, est journaliste à Paris. Il apprend qu’une jeune gouvernante anglaise, Mathilda Courray, a été assassinée dans le train de nuit Paris – Marseille. Son rédacteur en chef l’envoie enquêter à Dijon. Sur place, une piste le mène à partir pour Londres où il enquête sur un chercheur, porté disparu, Ce chercheur était sur le point de commercialiser son invention, une machine fabuleuse, ancêtre du cinématographe. En chemin, il s'associe avec un ancien militaire Emile. J’ai bien aimé ce livre , plus pour l’ambiance et le fourmillement d’anecdotes historiques que pour l’enquête policière en elle-même, somme toute assez classique. Le personnage de Louis Denfert est dynamique, pas un temps de répit dans cette enquête menée tambour battant. Ce livre resitue bien l’époque, avec des personnages connus que l’on croise plus ou moins rapidement Degas, Emile Zola, Octave Mirbeau, Charles Chaplin à 5 ans ... et même Jack L'éventreur en filigrane. Comme souvent, je n'avais pas trouvé le coupable avant la fin. J'ai également bien aimé le décalage avec les policiers actuels où l'autopsie de la victime peut être très détaillée (type les experts ou Patricia Cornwell). De plus, le fait qu'une bonne partie du roman se passe à Londres est très dépaysant (et les jeux de mots que les deux français Louis et Emile, ne comprennent pas sont bien expliqués au lecteur). En conclusion : une bonne lecture pour mes vacances d'hiver, au coin du feu. Paris 1891. Louis Denfert, le héros de ce roman policier, est journaliste à Paris. Il apprend qu’une jeune gouvernante anglaise, Mathilda Courray, a été assassinée dans le train de nuit Paris – Marseille. Son rédacteur en chef l’envoie enquêter à Dijon. Sur place, une piste le mène à partir pour Londres où il enquête sur un chercheur, porté disparu, Ce chercheur était sur le point de commercialiser son invention, une machine fabuleuse, ancêtre du cinématographe. En chemin, il s'associe avec un ancien militaire Emile. J’ai bien aimé ce livre , plus pour l’ambiance et le fourmillement d’anecdotes historiques que pour l’enquête policière en elle-même, somme toute assez classique. Le personnage de Louis Denfert est dynamique, pas un temps de répit dans cette enquête menée tambour battant. Ce livre resitue bien l’époque, avec des personnages connus que l’on croise plus ou moins rapidement Degas, Emile Zola, Octave Mirbeau, Charles Chaplin à 5 ans ... et même Jack L'éventreur en filigrane. Comme souvent, je n'avais pas trouvé le coupable avant la fin. J'ai également bien aimé le décalage avec les policiers actuels où l'autopsie de la victime peut être très détaillée (type les experts ou Patricia Cornwell). De plus,...
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  • Sharon 01/06/2011
    Un excellent roman policier et un excellent moment de lecture. Certes, je me plains souvent que les romans policiers s'égarent, et nous parlent de bien autres choses que d'une enquête policière. Ce livre avait donc au départ peu de chances de me plaire : le héros n'est ni détective ni policier, il est journaliste. Il découvre les pionniers du cinématographe, et cherche à comprendre leurs inventions. De longs passages leur sont consacrés. Mais Louis est un personnage extrêmement attachant. Aidé par un informateur (un policier !), il enquête non seulement pour avoir le scoop avant ses collègues, mais aussi pour trouver le coupable. Louis ressent de la compassion pour les victimes, s'indigne du sort qu'elles ont subi, et cette idignation le motive pour poursuivre son enquête, qui le mène de Paris à Londres. Louis a beau être journaliste, en couple avec une jeune chanteuse, il reste très naïf. Je ne pouvais m'empêcher de sourire quand je comprenais avant lui les véritables penchants d'Albert, assistant du médecin légiste et authentique illusionniste. Louis noue des amitiés durables dans cette oeuvre. La présentation des personnages se fait au fil du récit, sans lourdeur ni manichéisme : chacun a ses défauts, ses faillures, issues d'un passé douloureux, et ce sont ses petites failles qui les rendent si proches du lecteur. L'enquête est résolue, pourtant il reste suffisamment de matière pour un second tome, que j'ai hâte de lire.Un excellent roman policier et un excellent moment de lecture. Certes, je me plains souvent que les romans policiers s'égarent, et nous parlent de bien autres choses que d'une enquête policière. Ce livre avait donc au départ peu de chances de me plaire : le héros n'est ni détective ni policier, il est journaliste. Il découvre les pionniers du cinématographe, et cherche à comprendre leurs inventions. De longs passages leur sont consacrés. Mais Louis est un personnage extrêmement attachant. Aidé par un informateur (un policier !), il enquête non seulement pour avoir le scoop avant ses collègues, mais aussi pour trouver le coupable. Louis ressent de la compassion pour les victimes, s'indigne du sort qu'elles ont subi, et cette idignation le motive pour poursuivre son enquête, qui le mène de Paris à Londres. Louis a beau être journaliste, en couple avec une jeune chanteuse, il reste très naïf. Je ne pouvais m'empêcher de sourire quand je comprenais avant lui les véritables penchants d'Albert, assistant du médecin légiste et authentique illusionniste. Louis noue des amitiés durables dans cette oeuvre. La présentation des personnages se fait au fil du récit, sans lourdeur ni manichéisme : chacun a ses défauts, ses faillures, issues...
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  • MissAlfie 26/07/2010
    Avec "Le miroir des ombres", Brigitte Aubert signe son premier polar historique puisque, contrairement à ses autres ouvrages qui se passaient de nos jours, elle nous entraîne avec celui-ci à la fin du XIXe siècle, dans une Europe en pleine mutation, qui voit l'arrivée du métro à Londres, les prémices du cinéma et le développement des communications... Bref, le Progrès, avec un grand P ! L'intrigue, bien menée, bien ficelée, contient tous les ingrédients pour en faire un excellent roman policier. Mais en plus, Brigitte Aubert introduit quelques personnages de l'époque tel qu'Oscar Wilde, ou Gaston Leroux... Et une collection de détails sur la vie quotidienne et les mœurs qui rendent l'histoire d'autant plus pétillante. A ce sujet, elle indique à la fin du roman ce qui relève de la fiction et ce qui relève de l'histoire réelle, tout en indiquant que sa base de travail n'est pas les connaissances que nous avons aujourd'hui sur les faits qui ont pu se passer à l'époque et qu'elle évoque, mais les connaissances que l'on en avait en 1891, ce qui donne au roman une touche encore plus réaliste. Ceci dit, il me faut bien trouver une critique à formuler... Peut-être la déception que j'ai ressenti en devant quitter Louis et ses complices d'enquête... Déception bien vite atténuée en sachant que le deuxième volume de cette série est d'ors et déjà disponible... Autant dire que décidément, je peine à trouver une critique négative tellement je me suis plongée avec délice dans ce premier opus !Avec "Le miroir des ombres", Brigitte Aubert signe son premier polar historique puisque, contrairement à ses autres ouvrages qui se passaient de nos jours, elle nous entraîne avec celui-ci à la fin du XIXe siècle, dans une Europe en pleine mutation, qui voit l'arrivée du métro à Londres, les prémices du cinéma et le développement des communications... Bref, le Progrès, avec un grand P ! L'intrigue, bien menée, bien ficelée, contient tous les ingrédients pour en faire un excellent roman policier. Mais en plus, Brigitte Aubert introduit quelques personnages de l'époque tel qu'Oscar Wilde, ou Gaston Leroux... Et une collection de détails sur la vie quotidienne et les mœurs qui rendent l'histoire d'autant plus pétillante. A ce sujet, elle indique à la fin du roman ce qui relève de la fiction et ce qui relève de l'histoire réelle, tout en indiquant que sa base de travail n'est pas les connaissances que nous avons aujourd'hui sur les faits qui ont pu se passer à l'époque et qu'elle évoque, mais les connaissances que l'on en avait en 1891, ce qui donne au roman une touche encore plus réaliste. Ceci dit, il me faut bien trouver une critique à formuler... Peut-être la déception que j'ai...
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  • elfe 17/02/2009
    A un train d'enfer, ce livre vous emporte au coeur de son intrigue. On y croise de nombreuses célébrités, mais aussi d'autres moins connus et sur lesquels nous nous interrogeons, qui sont-ils? Ont-ils un lien avec le meurtre? L'écriture est captivante, l'intrigue bien menée! Bref un très très bon moment de lecture!!!
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