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Le Mouron rouge
Date de parution : 03/01/2018
Éditeurs :
Archipoche

Le Mouron rouge

Date de parution : 03/01/2018
Dans la tourmente de la Terreur, le très british Sir Percy Blakeney vole au secours des aristocrates français. Un classique indémodable du roman de cape et d'épée, indisponible en poche.
1792. Paris est aux mains des révolutionnaires, qui vouent les aristocrates à la geôle ou à la guillotine.Un chevalier anglais se donne pour mission de leur épargner la mort en... 1792. Paris est aux mains des révolutionnaires, qui vouent les aristocrates à la geôle ou à la guillotine.Un chevalier anglais se donne pour mission de leur épargner la mort en facilitant leur évasion outre-Manche. C’est le baron Percy Blakeney, champion du travestissement et as de la rapière, qui agit sous... 1792. Paris est aux mains des révolutionnaires, qui vouent les aristocrates à la geôle ou à la guillotine.Un chevalier anglais se donne pour mission de leur épargner la mort en facilitant leur évasion outre-Manche. C’est le baron Percy Blakeney, champion du travestissement et as de la rapière, qui agit sous le nom de « Mouron rouge ». Même son épouse, une actrice française expatriée, ne sait rien des manigances de son mari et de ses téméraires lieutenants.Jusqu’au jour où son frère est enlevé, menacé d’être tué si elle ne révèle pas au Comité de salut public l’identité du comploteur... L’agent Chauvelin, patriote fanatique, est quant à lui prêt à tout pour démasquer le Mouron rouge...Coups de théâtre, passion et trahison : aucun des ingrédients du genre ne fait défaut à ce fleuron du roman de cape et d’épée, à mi-chemin entre Dumas et Paul Féval. 
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EAN : 9782377351176
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 277
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782377351176
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 277
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Sidecar 09/07/2023
    Excellent roman de cape et d'épée sur fond historique dramatique, les protagonistes y jouant leur vie. Le style est tonique et l'action permanente. Le ton des dialogues rappelle que ce roman est une adaptation d'une pièce de théatre écrite en 1905. Le lecteur imagine sans peine les lieux et les scènes, les attitudes et la tension de l'intrigue, d'une grande finesse psychologique. Les illustrations de Frédéric Garcia, au trait vif, s'adaptent parfaitement au ton de ce roman enlevé.
  • nanouche 17/10/2022
    Le Mouron Rouge date de 1905. La baronne Orczy (1865-1947) est née en Hongrie. Elevée à Bruxelles et à Paris elle s'installe ensuite en Grande-Bretagne où elle se marie. Elle est l'auteur de romans policiers très populaires au début du 20° siècle mais c'est le Mouron Rouge qui fait sa célébrité. Quand j'étais adolescente j'ai lu avec plaisir ces aventures dans de vieilles éditions de la bibliothèque verte héritées de ma mère dont elles avaient fait les délices avant moi. Mais place à l'action. 1792, Marguerite Saint-Just, femme élégante et fine, fut la coqueluche du tout-Paris avant d'épouser Sir Percy Blakeney et de devenir un élément incontournable de la bonne société londonienne. En ces temps troublés un mystérieux Anglais qui signe le Mouron Rouge (une petite fleur) accomplit des exploits incroyables en arrachant à la guillotine des aristocrates français victimes de la Terreur. La malheureuse Marguerite est alors soumise à un horrible chantage : son frère chéri Armand, resté en France, républicain modéré, s'est compromis. Qu'elle livre des informations permettant de démasquer le Mouron Rouge sinon Armand sera exécuté. Que faire ? Trahir sa famille ou trahir l'honneur ? Marguerite ne sait auprès de qui chercher de l'aide et surement pas auprès de ce grand crétin de Sir Percy qui ne pense qu'à sa garde-robe... Quel suspense ! Quelle tension ! Les excès de la Terreur sont de plus l'occasion de superbes descriptions de la populace parisienne : "Une foule grouillante, bruissante et houleuse d'êtres qui n'ont d'humain que le nom, car à les voir et les entendre, ils ne paraissent que des créatures féroces, animées par de grossières passions et par des appétits de vengeance et de haine." Ca, c'est la première phrase du roman, la suite permettra de détailler plus sur la malpropreté et la grossièreté des partisans de la Révolution. A côté le peuple britannique est beaucoup plus sympathique, composé de "rustres vêtus de blouses brodées et à la physionomie joyeuse et colorée." Je me régale aussi à lire les tourments de cette pauvre Marguerite qui manque défaillir à plusieurs reprises. Quant au Mouron Rouge, c'est Zorro avant l'heure, ma parole ! Rien d'impossible pour ce héros qui une fois sa mission accomplie rentre dans l'ombre et devient totalement insoupçonnable dans son personnage de tous les jours.Le Mouron Rouge date de 1905. La baronne Orczy (1865-1947) est née en Hongrie. Elevée à Bruxelles et à Paris elle s'installe ensuite en Grande-Bretagne où elle se marie. Elle est l'auteur de romans policiers très populaires au début du 20° siècle mais c'est le Mouron Rouge qui fait sa célébrité. Quand j'étais adolescente j'ai lu avec plaisir ces aventures dans de vieilles éditions de la bibliothèque verte héritées de ma mère dont elles avaient fait les délices avant moi. Mais place à l'action. 1792, Marguerite Saint-Just, femme élégante et fine, fut la coqueluche du tout-Paris avant d'épouser Sir Percy Blakeney et de devenir un élément incontournable de la bonne société londonienne. En ces temps troublés un mystérieux Anglais qui signe le Mouron Rouge (une petite fleur) accomplit des exploits incroyables en arrachant à la guillotine des aristocrates français victimes de la Terreur. La malheureuse Marguerite est alors soumise à un horrible chantage : son frère chéri Armand, resté en France, républicain modéré, s'est compromis. Qu'elle livre des informations permettant de démasquer le Mouron Rouge sinon Armand sera exécuté. Que faire ? Trahir sa famille ou trahir l'honneur ? Marguerite ne sait auprès de qui chercher de l'aide et surement...
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  • MercilesMadeleines 14/04/2021
    Une lecture intéressante quand on aime bien les super-héros de comics comme moi...On retrouve chez le Mouron Rouge les caractéristiques des héros de DC comme Superman et Batman, qui cachent leur héroïsme derrière la façade flegmatique de l'insignifiant Clark Kent ou l'oisiveté du milliardaire Bruce Wayne. C'est aussi assez rare pour notre époque cette figure de contre-révolutionnaire (je me souviens de l'avoir vu uniquement auparavant chez Dumas dans les Compagnons de Jéhu et dans un roman de Juliette Benzoni) et cela fait de ce roman l'équivalent littéraire d'un nanar : c'est délicieusement drôle de lire les descriptions des révolutionnaires et de la France révolutionnaire, c'est rempli d'anachronisme et l'autrice s'en donne à cœur joie dans la chronologie. J'ai vraiment beaucoup ri, ce qui fait de ce roman l'équivalent d'un plaisir coupable. J'ai aussi pu apprécier certains passages, sur l'amour en couple, sur les hésitations du personnage principal (qui est bien plus Marguerite que le Mouron Rouge, lequel reste dans l'ombre) qui ont été écrits avec plus de finesse que je m'y attendais. Il est cependant dommage que ces passages réussis qui émeuvent à la première lecture semblent avoir copié-collé à nouveau dans le dernier tiers du livre. Le roman s'essouffle, perdant même son caractère ridicule que j'avais trouvé si drôle. Une lecture intéressante quand on aime bien les super-héros de comics comme moi...On retrouve chez le Mouron Rouge les caractéristiques des héros de DC comme Superman et Batman, qui cachent leur héroïsme derrière la façade flegmatique de l'insignifiant Clark Kent ou l'oisiveté du milliardaire Bruce Wayne. C'est aussi assez rare pour notre époque cette figure de contre-révolutionnaire (je me souviens de l'avoir vu uniquement auparavant chez Dumas dans les Compagnons de Jéhu et dans un roman de Juliette Benzoni) et cela fait de ce roman l'équivalent littéraire d'un nanar : c'est délicieusement drôle de lire les descriptions des révolutionnaires et de la France révolutionnaire, c'est rempli d'anachronisme et l'autrice s'en donne à cœur joie dans la chronologie. J'ai vraiment beaucoup ri, ce qui fait de ce roman l'équivalent d'un plaisir coupable. J'ai aussi pu apprécier certains passages, sur l'amour en couple, sur les hésitations du personnage principal (qui est bien plus Marguerite que le Mouron Rouge, lequel reste dans l'ombre) qui ont été écrits avec plus de finesse que je m'y attendais. Il est cependant dommage que ces passages réussis qui émeuvent à la première lecture semblent avoir copié-collé à nouveau dans le dernier tiers du livre. Le roman s'essouffle,...
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  • Lunartic 26/05/2019
    Tout d'abord, un grand merci aux éditions L'Archipel pour ce bel envoi qui m'intriguait beaucoup. En effet, la saga à succès du début des années 1900 Le Mouron rouge m'était tout à fait inconnue avant cette sublime réédition en poche, à la couverture dont le ciel est saturé de rouge, ce qui me fait grandement penser au danger que court notre intrépide héros so british tout au long de cette première aventure sur papier, alors que le Scarlet Pimpernel (surnom original du héros) né sous la plume de la fascinante Baronne Orczy n'a pas été que le fleuron de la mode de la cour anglaise de la fin dix-huitième siècle. Ce héros sans peur et sans reproche s'est vu, suite à ses florissantes et palpitantes intrigues en romans, star de cinéma, de comédie musicale et même de feuilletons télévisés ! Ce n'est pas rien tout de même ! Sir Percy Blakeney a eu sacrément la côte au vingtième siècle et je remercie grandement les éditions L'Archipel de redonner un second souffle à sa réputation à notre époque en publiant dans leur catalogue ce grand classique du roman de cape et d'épée, cette fois au temps de la sanglante Révolution française. C'est amusant tiens, ce combat rouge contre rouge. Le rouge de la fleur dite du mouron, une fleur écarlate à la jolie et plaisante forme d'étoile, contre le rouge de la fleur de la cocarde tricolore, le rouge de la hampe à laquelle pend le drapeau de la République française, flottant au vent comme pour mettre un pied de nez à ces Anglais et ces Autrichiens royalistes, impérialistes, ennemis numéro 1 avec les Aristocrates à la lanterne qui abreuvent nos sillons, le rouge enfin de la Terreur et de la mère guillotine. Guillotine que, par ailleurs, la Baronne Emmuska, appelée Emma sur le sol français, personnifie très bien. Aux yeux de personnages odieux comme Chauvelin (qui a été incarné par Ian McKellen, j'adorerais voir ça tiens !), représentant hautain et sans pitié (la Baronne le souligne à de nombreuses reprises, c'est son trait de caractère principal), la bien-aimée guillotine mérite bien de se nourrir du sang des traîtres. Le sang de la violence, de la brutalité qui fait froid dans le dos, des Révolutionnaires embrigadés d'un côté, et le rouge de la lutte sans répit pour l'Humanité et la liberté, pour la décence de l'Homme et sa solidarité de l'autre, donne au roman son atmosphère et sa couleur si singulière. Bien que née un siècle presque après ces événements drastiques du passage d'un monde ancien de royauté et de privilèges à celui d'un monde soit-disant nouveau des Droits de l'Homme, qui s'érige dans l'injustice et le bain de sang, la Baronne Orczy a elle aussi connu, dès son plus jeune âge, la haine que le petit peuple porte à ces "damnés aristos" et ce que cette haine viscérale peut les pousser à faire. Traumatisée par ce passé qui ne passe pas dans sa mémoire, si l'on met en lumière le récit des aventures de Percy Blakeney en sachant ce que l'autrice a vécu, cette façon de peindre d'un côté les braves Anglais et de l'autre les vils Français ne nous surprend guère. Emmuska, appelons-là par son si joli et exotique prénom, s'est effectivement aussi nourrie du matériau de son histoire pour teinter son récit de rouge éclatant, ce qui ne le rend que plus intense et crédible à nos yeux. Cependant, si l'on pourrait penser le récit empreint d'un certain manichéisme, cela n'est assurément pas le cas pour moi. La réalité s'offre à nous : le Comité de Salut Public, des personnalités telles que Robespierre, Marat ou Danton, ne se souciaient guère des hommes, femmes et enfants ; de l'être humain dans son essence même. A partir du moment où la personne était accusée d'être née avec une cuillère en argent dans la bouche, les têtes roulaient et on s'en donnait à cœur joie. Il n'y a pas de billevesées dans ce que la Baronne Orczy nous raconte. Certes, elle a romancé avec sa plume féministe, séduisante, mordante et appelant d'un cri qui s'échappe des pages au respect de ces "Droits de l'Homme" ce pan sombre de l'Histoire en inventant les ruses et astuces extraordinaires de Percy Blakeney pour échapper à la Dame guillotine et à ses adorateurs. De quoi faire briller nos yeux, de la façon semblable dont ces derniers sont captivés et scintillants lorsqu'on lit Les trois Mousquetaires de Dumas et les péripéties de ces derniers au temps de Richelieu et de Louis XIII. Ce que je puis vous assurer, c'est que l'autrice ne triche pas, qu'elle nous livre une histoire pleine de rebondissements, de frayeurs, de vertus héroïques et sacrées, enracinées dans l'Homme profondément bon ou qui devrait aspirer à l'être, mais cependant elle n'enjolive pas l'atroce réalité de ce temps-là, elle ne la dénature pas. Au contraire, dès les premières pages, cette dernière nous est balancée brute de pomme avec un bourreau qui tranche une tête sur une place publique qui semble impossible à franchir pour les aristocrates, dont c'est pourtant l'échappatoire afin de pouvoir sortir des portes de Paris, Paris l'ensanglantée, Paris la terrorisée. Mais tromper habilement l'ennemi, c'est le grand art de Percy Blakeney, mesdames et messieurs. Ce grand homme dégingandé m'a impressionnée car non seulement, il est un maître du déguisement et a réussi à me berner comme un bleu à chaque nouveau personnage pour lequel il se faisait passer, mais surtout il a à cœur de protéger ceux qui ne peuvent pas se défendre et qui ont besoin de lui, de sa malice et de son cran, ici les aristocrates français piégés dans les méandres de la Terreur, qui n'épargne personne et établit des procès sommaires et qui n'en sont guère. Sous ses apparences de benêt nonchalant se cache un cœur de lion en or massif, une âme de meneur de gentlemen aux nobles intentions et à la jeunesse insouciante, doublé d'une grande sensibilité. Bref, Percy Blakeney a de quoi charmer tous les médias et plaire au plus grand nombre, difficile de lui résister. Et à son bras, la "femme la plus fine d'Europe", j'ai nommé Marguerite Saint-Just. Expatriée anglaise, Marguerite est dans ce récit l'avatar de la citoyenne fidèle à sa patrie et à ses élans de liberté et d'égalité entre les peuples et qui cependant réprouve en son âme et conscience la barbarie de ses compatriotes. La splendide et éblouissante Margot incarne la révolutionnaire modérée, celle qui veut faire avancer les différents membres de la société main dans la main sans que celles-ci soient couvertes du sang d'innocents. Marguerite est un personnage exquis et de femme extrêmement intéressant. De prime abord, elle m'a fait très mauvaise impression car, à l'image des nobles français assez effacés de ce récit, son orgueil borné la rend désagréable et presque agaçante. Or, Marguerite va connaître une belle évolution au fur et à mesure qu'elle va réaliser que son esprit raffiné n'est pas si perspicace qu'elle ne le croyait. De la femme qui cherchait à combler son cœur de l'amour sans bornes d'un homme lui étant dévoué des pieds à la tête, la jeune femme-enfant, en réalité encore bien fragile et incertaine dans ses sentiments et dans ses idées, va s'épanouir avec cet amour grandissant en elle, cet amour pour son respectueux mari et pour son combat, de la femme qui attend d'être servie, Marguerite deviendra celle qui se salira les mains et la tenue et qui prendra tous les risques, sans délai, pour protéger ceux qu'elle aime. Qui plus est, son attachement vital et débordant d'amour à son frère, Armand Saint-Just (à ne pas confondre avec Louis Antoine de Saint-Just, dit « L'Archange de la Terreur », qui a véritablement existé, lui), ainsi qu'à la mignonne petite Française Suzanne, sa sœur de cœur de couvent, ne la rend que plus touchante et plus belle. Cette façon dont la Baronne a de peindre l'âme et les tourments du cœur d'une femme, sa fragilité et sa grande force à la fois, donne à ce premier tome une valeur d'autant plus précieuse. Pour conclure, le premier tome phare de la rivalité du héros vénéré par les Anglais du Mouron rouge se sera révélé plein de surprise et de richesse pour moi. J'ai grandement apprécié cette lecture, qui m'a fait faire des aller-retours constants entre une France qui se construit sur la rancœur et l'effroi et une Angleterre élégante et vertueuse, digne de tous les éloges. On sent que la Baronne Orczy a grandement apprécié son exil à Londres, où est d'ailleurs né son charmant héros, si je ne m'y trompe pas. Tout comme la Baronne à la genèse de sa grande œuvre d'aventure, de sentiments profonds et complexes et de lutte entre le gentil et le vilain, j'ai vu de mes propres yeux le grand gaillard Percy, vêtu de la plus fine dentelle et du complet le plus chic d'Angleterre, au coin du trottoir, face à l'aigri et rêche Chauvelin et à ses yeux perçants, inquisiteurs et intimidants de renard (c'est méchant pour les renards, sniff), ils étaient palpables, ils étaient réels. J'espère de tout cœur que les éditions L'Archipel publieront la suite des histoires de Sir Blakeney chez eux, car il me tarde de retrouver cette ligue de personnages et de savoir ce qu'ils sont devenus ! Je croise les doigts pour que cela se fasse et je remercie encore mille fois L'Archipel pour ce savoureux envoi, j'ai été conquise, c'est le mot !Tout d'abord, un grand merci aux éditions L'Archipel pour ce bel envoi qui m'intriguait beaucoup. En effet, la saga à succès du début des années 1900 Le Mouron rouge m'était tout à fait inconnue avant cette sublime réédition en poche, à la couverture dont le ciel est saturé de rouge, ce qui me fait grandement penser au danger que court notre intrépide héros so british tout au long de cette première aventure sur papier, alors que le Scarlet Pimpernel (surnom original du héros) né sous la plume de la fascinante Baronne Orczy n'a pas été que le fleuron de la mode de la cour anglaise de la fin dix-huitième siècle. Ce héros sans peur et sans reproche s'est vu, suite à ses florissantes et palpitantes intrigues en romans, star de cinéma, de comédie musicale et même de feuilletons télévisés ! Ce n'est pas rien tout de même ! Sir Percy Blakeney a eu sacrément la côte au vingtième siècle et je remercie grandement les éditions L'Archipel de redonner un second souffle à sa réputation à notre époque en publiant dans leur catalogue ce grand classique du roman de cape et d'épée, cette fois au temps de la sanglante Révolution française. C'est amusant...
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  • LesLecturesDeLaDiablotine 21/02/2018
    Nous sommes à Paris, en 1792 où la révolution fait rage. En Angleterre, un mystérieux aventurier, le "Mouron Rouge" s'est promis de faire échapper ces aristocrates qui sont promis à la guillotine ! Ses exploits intriguent bon nombre de personne, le monde entier est en admiration ou pas des exploits de cet homme. Si les personnes sont admiratives, il n'en est rien pour les hommes de loi mais surtout pour Fouquier-Tinville... La question qui brûle toutes les lèvres : qui est le "Mouron rouge" ? Qui se cache derrière ce costume qui fait tourner en bourrique tout le monde ? C'est la mission de Chauvelin qui va découvrir qui est ce "Mouron rouge". Pour se faire, il va faire appel à la charmante Lady Marguerite Blakeney en lui faisant un abominable chantage pour qu'elle accepte de l'aider : la vie de son frère en échange de son aide... Marguerite n'aura d'autre choix que d'accéder à cette requête... Lorsque l'on fait connaissance de Marguerite, elle n'inspire pas confiance, on l'exècre mais lorsque l'on sait pourquoi elle agit ainsi, on ne peut que s'inquiéter pour elle et vouloir l'aider. C'est un personnage fort courageux qui force l'admiration parce qu'elle n'est pas dans une position des plus faciles. Percy est l'époux de cette chère Marguerite qui joue parfaitement la comédie ! Tout le monde le prend pour le plus gros idiot qui existe mais queneni, il ne faut pas se fier aux apparences ! Il manipule son monde comme personne, il est bluffant, il faudrait lui décerner un oscar du meilleur acteur ! Il est un véritable James Bond, il se fond dans la masse, il sait manipuler les gens avec brio, et il a tel pouvoir sur les gens, comme un véritable magicien, on se laisse subjuguer par son talent. La plume de l'auteur est simple, fluide et addictive. J'ai beaucoup aimé sa façon de nous décrire les personnages, les émotions qui émanaient d'eux. Tout ça pour vous dire que si vous ne connaissez pas l'histoire du "Mouron rouge" et que vous êtes fan des histoires de capes et d'épées telle que Les trois mousquetaires, ce livre devrait vous plaire ! Nous sommes à Paris, en 1792 où la révolution fait rage. En Angleterre, un mystérieux aventurier, le "Mouron Rouge" s'est promis de faire échapper ces aristocrates qui sont promis à la guillotine ! Ses exploits intriguent bon nombre de personne, le monde entier est en admiration ou pas des exploits de cet homme. Si les personnes sont admiratives, il n'en est rien pour les hommes de loi mais surtout pour Fouquier-Tinville... La question qui brûle toutes les lèvres : qui est le "Mouron rouge" ? Qui se cache derrière ce costume qui fait tourner en bourrique tout le monde ? C'est la mission de Chauvelin qui va découvrir qui est ce "Mouron rouge". Pour se faire, il va faire appel à la charmante Lady Marguerite Blakeney en lui faisant un abominable chantage pour qu'elle accepte de l'aider : la vie de son frère en échange de son aide... Marguerite n'aura d'autre choix que d'accéder à cette requête... Lorsque l'on fait connaissance de Marguerite, elle n'inspire pas confiance, on l'exècre mais lorsque l'on sait pourquoi elle agit ainsi, on ne peut que s'inquiéter pour elle et vouloir l'aider. C'est un personnage fort courageux qui force l'admiration parce qu'elle n'est pas dans une position...
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