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L'horreur du West End
Date de parution : 01/04/2015
Éditeurs :
Archipoche

L'horreur du West End

Date de parution : 01/04/2015
À Londres, en mars 1895, des événements plus étranges les uns que les autres se succèdent : le critique théâtral Jonathan McCarthy est assassiné ; on intente un procès pour... À Londres, en mars 1895, des événements plus étranges les uns que les autres se succèdent : le critique théâtral Jonathan McCarthy est assassiné ; on intente un procès pour diffamation à la marquise de Queensberry ; une jeune ingénue est découverte la gorge tranchée ; enfin, un médecin de... À Londres, en mars 1895, des événements plus étranges les uns que les autres se succèdent : le critique théâtral Jonathan McCarthy est assassiné ; on intente un procès pour diffamation à la marquise de Queensberry ; une jeune ingénue est découverte la gorge tranchée ; enfin, un médecin de la police disparaît, emportant deux corps avec lui.Plusieurs personnalités influentes du milieu dramatique sont alors impliquées : un critique et écrivain sans le sous nommé George Bernard Shaw ; Ellen Terry, une actrice admirée pour sa beauté et son talent ; un guichetier suspect du nom de Bram Stoker ; Henry Irving, une idole à femmes sur le déclin ; un éditeur sans scrupule qui se fait appeler Frank Harris ; ainsi qu’un homme d’esprit controversé du nom d’Oscar Wilde.Tout ce beau monde se retrouve donc réunis sur la scène du crime, que Scotland Yard, dérouté, est sur le point de classer sans suite. Mais pour Sherlock Holmes, c’est élémentaire : un maniaque rôde. Et son nom est… Jack.
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EAN : 9782352877387
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 169
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352877387
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 169
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Pat0212 29/10/2018
    Voici un petit polar surprenant mettant en scène Sherlock Holmes. Il s’agit bien évidemment d’un apocryphe, même si l’auteur américain prétend l’avoir trouvé chez une héritière de Holmes. J’avais lu une critique intéressante sur un groupe et je l’ai acheté sur cette base, en plus je ne connais pas du tout la géographie londonienne n’y étant jamais allée; au vu du titre et de la couverture, je m’attendais à une histoire sur Jack l’Eventreur, eh bien, pas du tout. Il s’agit d’une intrigue dans le milieu du théâtre mettant en scène des personnages historiques, notamment Bernard Shaw et Oscar Wilde. Sherlock Holmes a décidé de faire une pause professionnelle pour se consacrer à l’étude des chartes médiévales anglaises. Son ami Bernard Shaw vient l’avertir qu’un critique à la plume particulièrement acérée et aux méthodes douteuses vient de se faire poignarder. Holmes ne peut résister à la tentation et s’empresse de se rendre sur le lieu du crime avec Shaw et Watson. Ils y retrouvent l’inspecteur Lestrade, qui ne comprend pas grand chose alors que le détective trouve un cigare de marque inconnue qui le mettra sur la piste de l’Inde. Le lendemain, c’est une jeune actrice qui est poignardée à son tour. Je ne peux pas en dire plus pour ne pas dévoiler l’intrigue qui est assez courte mais très originale. Comme toujours avec Holmes, on progresse peu à peu grâce aux discussions avec son ami Watson. C’est un roman policier classique de déductions, il y a assez peu d’action. La pseudo histoire du manuscrit et les notes sur le contexte de l’époque sont intéressantes et donnent vie à ce roman. C’est une lecture courte mais très agréable. J’ai lu plusieurs suites des aventures de Sherlock et je trouve que celle-ci est une des plus réussie.Voici un petit polar surprenant mettant en scène Sherlock Holmes. Il s’agit bien évidemment d’un apocryphe, même si l’auteur américain prétend l’avoir trouvé chez une héritière de Holmes. J’avais lu une critique intéressante sur un groupe et je l’ai acheté sur cette base, en plus je ne connais pas du tout la géographie londonienne n’y étant jamais allée; au vu du titre et de la couverture, je m’attendais à une histoire sur Jack l’Eventreur, eh bien, pas du tout. Il s’agit d’une intrigue dans le milieu du théâtre mettant en scène des personnages historiques, notamment Bernard Shaw et Oscar Wilde. Sherlock Holmes a décidé de faire une pause professionnelle pour se consacrer à l’étude des chartes médiévales anglaises. Son ami Bernard Shaw vient l’avertir qu’un critique à la plume particulièrement acérée et aux méthodes douteuses vient de se faire poignarder. Holmes ne peut résister à la tentation et s’empresse de se rendre sur le lieu du crime avec Shaw et Watson. Ils y retrouvent l’inspecteur Lestrade, qui ne comprend pas grand chose alors que le détective trouve un cigare de marque inconnue qui le mettra sur la piste de l’Inde. Le lendemain, c’est une jeune actrice qui est poignardée à son...
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  • athena1 09/08/2017
    Un pastiche des plus agréables.. La présence d'Oscar Wilde est un pur bonheur. L'atmosphère, les personnages, tous les ingrédients d'un bon Sherlock sont là.
  • Souri7 25/09/2016
    Une série mettant en scène le grand enquêteur Sherlock Holmes et son acolyte, le Dr Watson…. Je ne pouvais me priver de les lire ! Ces pastiches sont de véritables bijoux de par le récit, les enquêtes, l'humour et … la distance que prend l'auteur avec les nombreux autres récits du même style. Sans le moindre problème, je peux vous certifier que lire ces pastiches, c'est être sûr de passer de superbes moments de lecture. Ajouté le cadre pseudo réaliste dans lequel nos héros évoluent et vous avez de quoi halluciné et rêvé ! ( Les livres se présentent toujours sous la forme de manuscrits écrits par Watson et découvert très longtemps après (le premier en vidant un grenier, le second d'un héritier de la logeuse de Sherlock et le dernier découvert dans un inventaire de bibliothèque). Le second tome, L'horreur du West End entraîne nos héros dans le monde du spectacle et vont leur permettre de faire la connaissance de Bram Stocker (auteur de Dracula). L'enquête va connaître de nombreux rebondissements avec un dénouement affreux. Ce livre mélange à la fois l'histoire de Jack l'Eventreur, de Dracula et un peu de l'histoire de l'Angleterre pour nous donner un résultat plutôt bluffant.
  • Davalian 14/09/2016
    Avec son deuxième roman apocryphe Nicholas Meyer frappe très fort. Voici une intrigue aussi courte que bien écrite. Elle est d’autant plus remarquable qu’elle ne nécessite pas la lecture préalable de La solution à 7 %. Il est d’ailleurs difficile de comparer les deux récits entre eux car ils sont radicalement différents. L’auteur parvient une nouvelle fois à justifier adroitement la découverte d’un nouvel écrit de Watson tombé dans l’oubli. Son habilité va jusqu’à rendre plausible ses nombreuses notes de bas de page… toujours pertinentes ou presque. De nouvelles personnalités viennent faire ici une apparition plus au moins longue (Bernard Shaw, Bram Stocker, Oscar Wilde pour les plus connus). Leur rôle est plus réduit que celui joué par Freud précédemment. Ce choix ôte au récit toute trace d’humour : apocryphe, oui, mais pas pastiche pour autant. Cette fois-ci c’est le West End et le microcosme du théâtre qui sont mis en lumière ou plutôt qui deviennent la cible des ténèbres. Les lecteurs des Quatre de Baker street (série de bande dessinée que je recommande à tous les fans du grand détective) se souviendront d’un certain « oiseau » (Le rossignol de Stepney) et les adeptes de Dracula ne pourront qu’être étonnés de certains passages amusants… L’intrigue en elle-même est hélas courte… très courte, trop courte peut-être. Le roman ne s’embarrasse donc pas de considérations inutiles. En revanche, l’intrigue est un peu poussive. Si le déroulement colle davantage au canon originel le format est légèrement trop important pour être du Conan Doyle. Malgré quelques petits défauts et la difficulté de trouver une identité propre à ce roman (difficile à acquérir qui plus est), voilà un bon divertissement. L’auteur se surpasse pour proposer quelque chose de différent de ce qu’il a déjà écrit tout en ancrant les aventures de Sherlock Holmes dans une certaine modernité. Il nous apporte du neuf et du bon et le résultat vaut le détour ! Et pour achever de vous convaincre outre le dénouement original, les échanges entre Holmes et Shaw sont savoureux ! Avec son deuxième roman apocryphe Nicholas Meyer frappe très fort. Voici une intrigue aussi courte que bien écrite. Elle est d’autant plus remarquable qu’elle ne nécessite pas la lecture préalable de La solution à 7 %. Il est d’ailleurs difficile de comparer les deux récits entre eux car ils sont radicalement différents. L’auteur parvient une nouvelle fois à justifier adroitement la découverte d’un nouvel écrit de Watson tombé dans l’oubli. Son habilité va jusqu’à rendre plausible ses nombreuses notes de bas de page… toujours pertinentes ou presque. De nouvelles personnalités viennent faire ici une apparition plus au moins longue (Bernard Shaw, Bram Stocker, Oscar Wilde pour les plus connus). Leur rôle est plus réduit que celui joué par Freud précédemment. Ce choix ôte au récit toute trace d’humour : apocryphe, oui, mais pas pastiche pour autant. Cette fois-ci c’est le West End et le microcosme du théâtre qui sont mis en lumière ou plutôt qui deviennent la cible des ténèbres. Les lecteurs des Quatre de Baker street (série de bande dessinée que je recommande à tous les fans du grand détective) se souviendront d’un certain « oiseau » (Le rossignol de Stepney) et les adeptes de Dracula ne pourront qu’être étonnés de certains...
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  • WonderBook 12/09/2015
    Un auteur qui a su reprendre le flambeau de Sir Arthur Conan Doyle ! j'ai adoré ma lecture !
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