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Life - tome 20
Olivier Sart (traduit par)
Collection : mangas
Série : Life
Date de parution : 27/04/2017
Éditeurs :
12-21

Life - tome 20

Olivier Sart (traduit par)
Collection : mangas
Série : Life
Date de parution : 27/04/2017

Le vingtième et dernier volume de la série Life, tout en émotions.
 

Remise de la blessure reçue lors de son altercation avec Manami, Ayumu renoue avec son quotidien. Mais cet incident l'ayant profondément marquée, elle décide de porter plainte. Manami, que son...

Remise de la blessure reçue lors de son altercation avec Manami, Ayumu renoue avec son quotidien. Mais cet incident l'ayant profondément marquée, elle décide de porter plainte. Manami, que son père tente de protéger coûte que coûte, parviendra-t-elle encore une fois à échapper à toute sanction ? Ayumu prend courageusement...

Remise de la blessure reçue lors de son altercation avec Manami, Ayumu renoue avec son quotidien. Mais cet incident l'ayant profondément marquée, elle décide de porter plainte. Manami, que son père tente de protéger coûte que coûte, parviendra-t-elle encore une fois à échapper à toute sanction ? Ayumu prend courageusement sa vie en main, et ce malgré le déménagement forcé de Miki, dont le père doit subir une intervention chirurgicale.

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EAN : 9782823854657
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823854657
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Kloliane 06/08/2016
    Bien avant la publication de la série « Life », j’avais déjà lu un one-shot de Keiko Suenobu, « Vitamine » qui traitait lui aussi de ce même thème. On pouvait y voir déjà le potentiel de la mangaka dans ce court volume et sa manière assez juste de traiter ce sujet sensible. C’était donc avec joie que j’ai appris la publication de « Life ». Lorsque j’ai vu la couverture du premier volume, j’étais assez étonnée par le style. Mais comme tout est une histoire d’apparence et de non-dits dans ce genre de situations, il s’avère que c’est un bon choix. Ayumu est une jeune fille sensible qui a du mal à exprimer ses sentiments et les cachent derrière des « sourires ». Souffrant d’avoir perdu l’amitié de Shii, elle arrive à expier sa douleur qu’en se scarifiant. Et sa rentrée à Nishidate ne fait qu’augmenter ses remords d’avoir voler le rêve de sa meilleure amie. Mais sa rencontre avec Manami et le début d’une nouvelle amitié lui apporte un certain apaisement. Seulement la jeune fille, là encore sous ses grands sourires et sa gentillesse feinte, cache un caractère bien plus sombre. Manami et sa bande d’amies s’amusent, au début de la série, à brimer une autre camarade de la classe, Hatori Miki. Et la consigne est simple pour Ayumu: Soit elle suit, soit elle est considérée comme traite. Malgré la crainte de se faire rejeter et d’être de nouveau seule, Ayumu ne peut pas participer à cela. Entre son choix et un autre événement que je garde secret, la descente en enfer va alors commencer pour elle. Ayumu est un personnage qui m’a vraiment touchée, tout d’abord face à sa douleur, puis à sa détermination à rester forte malgré les brimades de toute une classe. Dès le premier tome, on comprend sa peur d’être seule et le sentiment de n’avoir sa place nulle part: Sa mère qui semble bien plus se préoccuper de sa petite sœur, une très bonne élève; la crainte de perdre l’amitié de Shii au point de vouloir aller dans le même lycée et celle d’être mise à l’écart par Manami et les autres filles de sa nouvelle classe. Et cette peur et cette souffrance, elle n’arrive qu’à l’exprimer en se faisant mal. Keiko Suenobu arrive très bien à nous les faire ressentir à travers des images fortes dont certaines peuvent heurter les plus sensibles. Mais sa rencontre avec Miki (un véritable soutien pour notre jeune héroïne ) puis avec Yuki (ancienne victime de brimades au collège et comprenant les sentiments de la jeune fille) vont donner le courage à Ayumu de s’affirmer et tenir tête aux divers manigances de Manami et d’un autre personnage dont, là encore, je vous dévoilerai pas le nom afin ne rien spoiler. Il est clair que, malgré le « character design » style shôjo des personnages, on est loin de la romance lycéenne. Et le choc des images est bien plus forte (Lorsque la haine ou la folie se dessine sur les visages de certains personnages, on a l’impression que les masques se brisent pour laisser place à leurs véritables identités). Et on y ressent très bien l’ambiance malsaine qui règne dans cette classe à travers les dessins. La mangaka nous offre aussi une critique du corps enseignants qui ne veut pas voir ce qu’il se passe (sauf une, mais c’est bien peu) , de même que la direction afin de ne pas salir l’image de l’établissement. Les parents seront aussi visés par leur manque d’attention à leurs enfants ou au contraire, les différentes pressions qu’ils leurs imposent pour réussir leurs études. En ce qui concerne la psychologie des personnages, Ayumu, Yuki, Hatori et quelques personnes secondaires sont très bien travaillés, donnant beaucoup de profondeurs et de justesse dans leurs sentiments et leurs actions. Je le désigne encore mais Yuki m’a aussi beaucoup touchée en tant qu’ancienne victime de brimades (au point d’en avoir encore des marques sur le corps) mais aussi lors de ses retrouvailles avec son « bourreau », un peu plus loin dans les tomes suivants (Quelle confrontation ! Et cette phrase…Cette scène m’a littéralement marquée). Mais le manga n’est pas sans défaut. La mangaka donne l’impression de vraiment s’acharner sur la pauvre Ayumu en lui faisant subir de terribles événements. Heureusement, les scènes entre ses véritables amis et l’évolution positive de sa relation avec sa mère au fil des pages désamorce l’effet de fatalité. J’étais un peu dubitative sur le caractère de Manami et de certains personnages. Tant de mépris, de manipulations, et de violences dans de si jeunes élèves semblent impensable. Pourtant, quand on lit certains faits-divers, je me dis que la mangaka n’est pas très loin de la vérité. Et en ce qui concerne la fin, après de nombreuses scènes hautes en tension , je suis restée étonnée par la fin très positive. Tant mieux pour Ayumu mais là, j’avoue préférer la fin du drama qui me semble plus proche de la réalité. CONCLUSION: « Life » est une série incontournable sur le sujet du harcèlement scolaire qui mérite d’être lu. Mais je préfère vous prévenir, il y’a de nombreuses scènes qui peuvent heurter les plus sensibles (scarification, agressions….). D’ailleurs, j’ai préféré vous occulter un élément assez violent de l’histoire qui est la raison principale des brimades de Manami envers Ayumu, afin d’éviter de vous spolier une grande partie de l’histoire. Comme je l’ai souligné plus haut, on sent que ce sujet tient beaucoup à coeur Keiko Suenobu et on le constate encore dans une autre de ses séries, « Limit » qui n’est malheureusement pas encore publié en France. De personnages forts, des événements poignants et à forts impacts, Life aura le mérite d’être une oeuvre « coup de poing » sur un sujet qui est malheureusement toujours d’actualité.Bien avant la publication de la série « Life », j’avais déjà lu un one-shot de Keiko Suenobu, « Vitamine » qui traitait lui aussi de ce même thème. On pouvait y voir déjà le potentiel de la mangaka dans ce court volume et sa manière assez juste de traiter ce sujet sensible. C’était donc avec joie que j’ai appris la publication de « Life ». Lorsque j’ai vu la couverture du premier volume, j’étais assez étonnée par le style. Mais comme tout est une histoire d’apparence et de non-dits dans ce genre de situations, il s’avère que c’est un bon choix. Ayumu est une jeune fille sensible qui a du mal à exprimer ses sentiments et les cachent derrière des « sourires ». Souffrant d’avoir perdu l’amitié de Shii, elle arrive à expier sa douleur qu’en se scarifiant. Et sa rentrée à Nishidate ne fait qu’augmenter ses remords d’avoir voler le rêve de sa meilleure amie. Mais sa rencontre avec Manami et le début d’une nouvelle amitié lui apporte un certain apaisement. Seulement la jeune fille, là encore sous ses grands sourires et sa gentillesse feinte, cache un caractère bien plus sombre. Manami et sa bande d’amies s’amusent, au début de la...
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  • yuya46 11/07/2015
    ... Ayumu arrive dans un nouveau lycée. Elle pense que la vie sera différente, qu'elle aura des amies sur qui compter, des camarades de classe sympas mais il n'en est rien, elle devient le souffre-douleur d'un groupe de filles. Pour échapper à tout ça, elle se mutile en se tailladant les veines... Et pourtant la mystérieuse Miki va l'aider à lutter et reprendre gout à la vie. Sauf que ses camarades de classe ne l'entendent pas de la même oreille.
  • Sanchan 29/03/2013
    Fin de cette série choc. Ayumu s'est battue avec force pour donner de l'espoir à toutes les victimes. Enfin un tome plein de vie!
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