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Merci, Jeeves
Benoît de Fonscolombe (traduit par)
Date de parution : 17/01/2019
Éditeurs :
12-21

Merci, Jeeves

Benoît de Fonscolombe (traduit par)
Date de parution : 17/01/2019

Bertie Wooster, jeune aristocrate londonien, s'est pris de passion pour le banjo. Cette nouvelle lubie est loin de plaire à Jeeves, son fidèle majordome, et encore moins à ses voisins...

Bertie Wooster, jeune aristocrate londonien, s'est pris de passion pour le banjo. Cette nouvelle lubie est loin de plaire à Jeeves, son fidèle majordome, et encore moins à ses voisins exaspérés. Contraint de déménager, Bertie se retire avec son instrument chéri dans un cottage de la campagne anglaise, chez son...

Bertie Wooster, jeune aristocrate londonien, s'est pris de passion pour le banjo. Cette nouvelle lubie est loin de plaire à Jeeves, son fidèle majordome, et encore moins à ses voisins exaspérés. Contraint de déménager, Bertie se retire avec son instrument chéri dans un cottage de la campagne anglaise, chez son ami le baron Chuffnell. Les choses se compliquent quand le jeune homme y retrouve son ex fiancée, Pauline, dont Chuffnell est tombé fou amoureux.  D’imbroglios en quiproquos, la situation déjà fort embarrassante dégénère. Heureusement, Jeeves veille au grain et sauvera, comme toujours, Wooster de la catastrophe…

Humour british et loufoquerie sur fond de vieille Angleterre où la campagne est loin d’être bucolique : un opus  à consommer sans modération.

Traduit de l’anglais par Benoît de Fonscolombe
 

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EAN : 9782823823707
Code sériel : 1496
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823823707
Code sériel : 1496
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • collectifpolar 27/05/2023
    Coup de cœur pour humoriste « glacé et sophistiqué » – merci Gottlieb pour la formule ! – D’abord, le nom de l’auteur qui semble à lui seul une invention tout à fait britannique pour ses sortes de roman du début du XXe siècle, les personnages que l’on peut retrouver dans des « romans pour dames » de Somerset Maugham ou même quelquefois d’Agatha Christie lorsqu’on s’enfonce dans la campagne anglaise… Trêve de suspense, il s’appelle Pelham Grenville Wodehouse, P-G – prononcer à l’anglaise, of course–pour les intimes et les couvertures où l’on manque de place pour le titre. S’ensuit toute une série de romans où le personnage principal est le valet, inégalable de perfection, d’intelligence et d’entregent, qui répond au doux prénom de Jeeves ! Autour de lui gravite un tas d’incapables, aristocrates plus ou moins désargentés, parasites, prisonniers d’un conformisme étroit et stupide où une simple veste blanche pour un dîner devient un Hiroshima diplomatique, où la futilité le dispute à la bêtise, mais tout cela avec un humour et un sens du rebondissement tout à fait divertissant. Un regard tendre, ironique et drôle sur la bonne société anglaise. Un couple irrésistible : Bertram Wooster et son valet Jeeves, débrouillard et diplomate, flegmatique et génial, qui aide son jeune et riche maître à se sortir des situations impossibles dans lesquelles il se met.. Heureusement Jeeves est là et il est maître de toutes les situations, attentif au bien-être de chacun, aux lubies des uns comme aux chagrins d’amour des autres. Évasion garantie pour qui aime le délicat fumet d’un thé de Chine dans une porcelaine anglaise avec quelques délicieux scones, de la whipped cream et de la confiture de framboise.Coup de cœur pour humoriste « glacé et sophistiqué » – merci Gottlieb pour la formule ! – D’abord, le nom de l’auteur qui semble à lui seul une invention tout à fait britannique pour ses sortes de roman du début du XXe siècle, les personnages que l’on peut retrouver dans des « romans pour dames » de Somerset Maugham ou même quelquefois d’Agatha Christie lorsqu’on s’enfonce dans la campagne anglaise… Trêve de suspense, il s’appelle Pelham Grenville Wodehouse, P-G – prononcer à l’anglaise, of course–pour les intimes et les couvertures où l’on manque de place pour le titre. S’ensuit toute une série de romans où le personnage principal est le valet, inégalable de perfection, d’intelligence et d’entregent, qui répond au doux prénom de Jeeves ! Autour de lui gravite un tas d’incapables, aristocrates plus ou moins désargentés, parasites, prisonniers d’un conformisme étroit et stupide où une simple veste blanche pour un dîner devient un Hiroshima diplomatique, où la futilité le dispute à la bêtise, mais tout cela avec un humour et un sens du rebondissement tout à fait divertissant. Un regard tendre, ironique et drôle sur la bonne société anglaise. Un couple irrésistible : Bertram Wooster et son valet Jeeves, débrouillard et...
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  • Errant 16/12/2021
    J'ai tellement souri en lisant ce vaudeville à l'humour british décapant. Les situations sont loufoques mais c'est vraiment dans les dialogues incisifs que tout l'art de l'auteur se manifeste. Jouant avec habilité sur moults quiproquos, mettant en scène des personnages à la dégaine rapide, entrecroisant les situations embarrassantes, Wodehouse a créé un bouquin aussi drôle que rafraîchissant. L'autodérision du narrateur, le caractères exacerbé des autres protagonistes, la placidité du fameux Jeeves, l'imperturbable majordome que rien n'étonne et au sang-froid à toute épreuve font de ce livre un pur objet de délassement. C'est la quatrième tome d'une série mais ne pas connaître les épisodes précédents n'a pas nui à l'appréciation de celui-ci. Et j'en lirai d'autres !
  • lebelier 01/10/2021
    Revoilà donc le fidèle Jeeves, butler du très distingué et loufoque gentleman, Bertram Wooster. Bertie apprend le banjo, ce que ne supportent plus ses voisins londoniens ainsi que Jeeves. L'épisode commence donc par une séparation de Jeeves et de son maître et de celui-ci avec Londres. Tout ce petit monde ce retrouve à la campagne pour des aventures rocambolesques car Jeeves est entré au service de Chuffy, propriétaire d'un château à vendre et de cottages qu'habite justement Bertie, avec un autre valet, Brinkley. Ce qu'on aime retrouver chez Wodehouse , c'est cet inaltérable humour anglais, ce style si particulier du majordome qui sort toujours tout le monde de situations des plus délirantes ainsi que ce détachement tragi-comique sur la société anglaise, agrémenté ici d'une critique du système américain, incarné par Stoker et sa fille, la belle Pauline, que Bertie faillit épouser lors du précédent épisode. Tout converge vers les amours de l'ami d'enfance de Bertie, Chuffy avec la jolie américaine. Bertie est voué au célibat et voit d'un bon oeil cette union. Mais ce n'est pas si simple car Stoker veut racheter le château de Chuffy, ruiné, et celui-ci se fait passer pour un coureur de dot, vu l'héritage important qu'attend Stoker. On assiste à un vrai comique de situation où lequel Bertie va jusqu'à se grimer en "nègre" (sic) avec du cirage qui ne part qu'avec du beurre, où son nouveau valet est un fou qui poursuit les gens à coup de hachoir, où les nuits sont bien agitées, d'autant que rôdent les gendarmes auxquels il n'est pas facile d'expliquer chaque fait et geste. Jeeves semble le pendant comique d'un autre butler plus récent de la littérature anglaise, le Stevens de Ishiguro dans les vestiges du jour . Tout se rejoint : la présence de l'américain acheteur de châteaux et l'époque, bien sûr, les années 30. Replonger dans Jeeves quand on n'a pas le moral est une excellente thérapie... Revoilà donc le fidèle Jeeves, butler du très distingué et loufoque gentleman, Bertram Wooster. Bertie apprend le banjo, ce que ne supportent plus ses voisins londoniens ainsi que Jeeves. L'épisode commence donc par une séparation de Jeeves et de son maître et de celui-ci avec Londres. Tout ce petit monde ce retrouve à la campagne pour des aventures rocambolesques car Jeeves est entré au service de Chuffy, propriétaire d'un château à vendre et de cottages qu'habite justement Bertie, avec un autre valet, Brinkley. Ce qu'on aime retrouver chez Wodehouse , c'est cet inaltérable humour anglais, ce style si particulier du majordome qui sort toujours tout le monde de situations des plus délirantes ainsi que ce détachement tragi-comique sur la société anglaise, agrémenté ici d'une critique du système américain, incarné par Stoker et sa fille, la belle Pauline, que Bertie faillit épouser lors du précédent épisode. Tout converge vers les amours de l'ami d'enfance de Bertie, Chuffy avec la jolie américaine. Bertie est voué au célibat et voit d'un bon oeil cette union. Mais ce n'est pas si simple car Stoker veut racheter le château de Chuffy, ruiné, et celui-ci se fait passer pour un coureur de dot, vu l'héritage important qu'attend...
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  • mfrance 28/07/2021
    Ne vous arrêtez pas à l'histoire. Il n'y en a pas, ou presque pas, et d'ailleurs elle n'a ni queue ni tête, ou presque. Et c'est vraiment sans importance. Ce que vous trouverez ici et qui vous réjouira le coeur ce sont des personnages totalement déjantés, à commencer par le héros, un aristo très british, qui parce qu'il joue abominablement du banjo, est obligé de déménager pour s'exiler dans la campagne anglaise et plus précisément dans le manoir de son ami le cinquième Baron Chuffnell, dit Chuffy, ami d'enfance précisons-le, puisqu'ils ont usé de conserve leurs fonds de culotte sur les bancs d'Eton, puis d'Oxford. Ce que vous trouverez encore et qui vous amusera prodigieusement, c'est un américain riche, culotté et grossier, parangon du détestable yankee, affublé d'une fille bien libérée et fort entreprenante. Mais ce que vous trouverez surtout, et que vous désirerez passionnément embaucher, c'est un admirable butler, la crème du majordome, j'ai nommé Jeeves, celui qui résout tous les problèmes, y compris et surtout les situations les plus inextricables. Indispensable pour vous simplifier l'existence, ce Jeeves et vous envierez ce bougre de Wooster d'avoir une telle perle à son service. Jugez plutôt : intelligent, plein de ressources et sacrément cultivé de surcroît ! D'ailleurs le poète Pope a dit ..... mais je me fiche de ce que ce satané poète Pope a pu dire ! Enfin ce que vous savourerez tout au long de cette improbable affaire c'est le style enlevé et réjouissant, l'humour décoiffant de P.G. Wodehouse et son sens de l'absurde, qui a sans doute inspiré les Monty Python, il suffit de regarder les épisodes du Flying circus pour s'en convaincre ! En ce qui me concerne, je m'en régale sans m'en lasser .... et si vous êtes amateur, jetez-vous sans tarder sur cet ouvrage ! Ne vous arrêtez pas à l'histoire. Il n'y en a pas, ou presque pas, et d'ailleurs elle n'a ni queue ni tête, ou presque. Et c'est vraiment sans importance. Ce que vous trouverez ici et qui vous réjouira le coeur ce sont des personnages totalement déjantés, à commencer par le héros, un aristo très british, qui parce qu'il joue abominablement du banjo, est obligé de déménager pour s'exiler dans la campagne anglaise et plus précisément dans le manoir de son ami le cinquième Baron Chuffnell, dit Chuffy, ami d'enfance précisons-le, puisqu'ils ont usé de conserve leurs fonds de culotte sur les bancs d'Eton, puis d'Oxford. Ce que vous trouverez encore et qui vous amusera prodigieusement, c'est un américain riche, culotté et grossier, parangon du détestable yankee, affublé d'une fille bien libérée et fort entreprenante. Mais ce que vous trouverez surtout, et que vous désirerez passionnément embaucher, c'est un admirable butler, la crème du majordome, j'ai nommé Jeeves, celui qui résout tous les problèmes, y compris et surtout les situations les plus inextricables. Indispensable pour vous simplifier l'existence, ce Jeeves et vous envierez ce bougre de Wooster d'avoir une telle perle à son service. Jugez plutôt : intelligent, plein de ressources et sacrément...
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  • Krout 18/06/2020
    Non je ne bouderai pas le plaisir d'avoir suivi les aventures burlesques de Bertie Wooster et de son fidèle ex-majordome, l'ineffable Jeeves. Ex car la tocade de ce grand bourgeois désoeuvré, aussi inattendue qu'incongrue, pour le banjo vient perturber la symbiose qui les unissait de longue date, enclenchant ipso facto les aventures burlesques susnommées. C'est du théâtre de boulevard de haut voltige que ce livre, à l'après que l'unité de temps et de lieu ne sont pas respectées. le tout évoluant au temps des années folles dans la haute avec l'ami d'enfance de Bertie le Baron Chuffnell, cinquième du nom. Les dialogues entre Bertie et Chuffy ont créé dans mon esprit l'association avec Danny Wild et Lord Brett Sinclair (*) en plus huppé et excentrique. Quel humour, et toujours ces réparties pleines de retenue et de finesse, tellement anglaises. Un livre pour et à déconfiner ! En film à sketch, je lui prédirais un succès proche des tontons flingueurs. Ah si Paul Meurisse avait pu interpréter ce butler de Jeeves, on mettrait Paris en bouteille de Rhum d'où sortirait un djinn Bombay, mais non l'intrigue se passe bien dans Londres et ses environs. La quatrième de mon édition commence ainsi "Il n'y a que deux sortes de lecteurs de Wodehouse, affirmait un critique anglais, ceux qui l'adorent et ceux qui ne l'ont pas lu." Et ma foi sur ce coup aucune perfidie venue d'Albion. Un excellent moment de dérision. Merci, Jeeves. (*) Amicalement vôtre.Non je ne bouderai pas le plaisir d'avoir suivi les aventures burlesques de Bertie Wooster et de son fidèle ex-majordome, l'ineffable Jeeves. Ex car la tocade de ce grand bourgeois désoeuvré, aussi inattendue qu'incongrue, pour le banjo vient perturber la symbiose qui les unissait de longue date, enclenchant ipso facto les aventures burlesques susnommées. C'est du théâtre de boulevard de haut voltige que ce livre, à l'après que l'unité de temps et de lieu ne sont pas respectées. le tout évoluant au temps des années folles dans la haute avec l'ami d'enfance de Bertie le Baron Chuffnell, cinquième du nom. Les dialogues entre Bertie et Chuffy ont créé dans mon esprit l'association avec Danny Wild et Lord Brett Sinclair (*) en plus huppé et excentrique. Quel humour, et toujours ces réparties pleines de retenue et de finesse, tellement anglaises. Un livre pour et à déconfiner ! En film à sketch, je lui prédirais un succès proche des tontons flingueurs. Ah si Paul Meurisse avait pu interpréter ce butler de Jeeves, on mettrait Paris en bouteille de Rhum d'où sortirait un djinn Bombay, mais non l'intrigue se passe bien dans Londres et ses environs. La quatrième de mon édition commence ainsi "Il...
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