Nine Laügt vit dans le Midi. En 2002, elle a publié un premier roman – La Voix de l’innocence – qui a reçu un excellent accueil tant critique que public.
« Je suis morte. Je le vois, je le sais. Je suis bien, sereine. Je contemple mon corps. Je le regarde et j’existe. Il est mort, je vis. Je sais...
« Je suis morte. Je le vois, je le sais. Je suis bien, sereine. Je contemple mon corps. Je le regarde et j’existe. Il est mort, je vis. Je sais que je vis. »
L’horreur fond sur Nine Laügt dans la terrible banalité d’un accident de la route. Disloquée, elle...
« Je suis morte. Je le vois, je le sais. Je suis bien, sereine. Je contemple mon corps. Je le regarde et j’existe. Il est mort, je vis. Je sais que je vis. »
L’horreur fond sur Nine Laügt dans la terrible banalité d’un accident de la route. Disloquée, elle est conduite à l’hôpital, dans un état de coma avancé. Bien que « coupée du monde », elle perçoit des images de son environnement immédiat mais est aussi le témoin direct d’événements extérieurs.
Elle se souvient, ici, de cette longue nuit d’angoisses et de bonheurs mêlés qui la mena jusqu’à l’Extase… et rendit si difficile son retour à la vie.
Un témoignage poignant et d’autant plus fort qu’il rapporte des faits authentiques bien qu’encore inexpliqués.
Préface d'Yves Lignon
Nine Laügt vit dans le Midi. En 2002, elle a publié un premier roman – La Voix de l’innocence – qui a reçu un excellent accueil tant critique que public.