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Ring - tome 1
Annick Laurent (traduit par)
Date de parution : 03/07/2014
Éditeurs :
12-21
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Ring - tome 1

Annick Laurent (traduit par)
Date de parution : 03/07/2014
 Ceux qui regardent ces images sont condamnés à mourir dans une semaine, exactement à la même heure...  Kazayuki Asakawa déglutit, les yeux rivés sur l'écran de télévision. Au fond de...  Ceux qui regardent ces images sont condamnés à mourir dans une semaine, exactement à la même heure...  Kazayuki Asakawa déglutit, les yeux rivés sur l'écran de télévision. Au fond de lui-même, il sait que c'est vrai, que ce n'est ni une plaisanterie, ni une menace en l'air.
Il sait que les...
 Ceux qui regardent ces images sont condamnés à mourir dans une semaine, exactement à la même heure...  Kazayuki Asakawa déglutit, les yeux rivés sur l'écran de télévision. Au fond de lui-même, il sait que c'est vrai, que ce n'est ni une plaisanterie, ni une menace en l'air.
Il sait que les quatre adolescents, dont sa propre nièce, qui ont regardé ensemble la cassette vidéo avant lui sont morts. S'il veut survivre, il lui faut comprendre...
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EAN : 9782823817584
Code sériel : 15724
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823817584
Code sériel : 15724
Façonnage normé : EPUB2
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • KhalyBouquine 12/07/2023
    Trilogie : RING de Ko#770;ji Suzuki • 📕AU PREMIER ABORD (qu’est ce qui m’a mene#769; a#768; lire ce livre?) • J’avais de#769;ja#768; vu le film Ring de Hideo Nakata et le remake ame#769;ricain ( Le Cercle) de Gore Verbinski j’avais de bons souvenirs, un film classique. J’ai achete#769; avant de partir au Japon en 2017, la trilogie en un seul livre, comprenant RING (1991), DOUBLE HE#769;LICE (1995), LA BOUCLE (1998). • 📗IMPRESSIONS/ANALYSE • Ayant revu le film re#769;cemment, il faut dire que E#769;NORMEMENT de de#769;tails ont e#769;te#769; omis. Le livre est une oeuvre complexe avec une re#769;flexion et un squelette d’ide#769;es tre#768;s solide. On y croit. Les re#769;fe#769;rences scientifiques sont cre#769;dibles malgre#769; le surnaturel japonais tre#768;s pre#769;sent dans les deux premiers tomes. Double he#769;lice est la suite direct de Ring et de la Boucle, (et important : ayant pour base les deux autres tomes) aborde quelque chose de clairement diffe#769;rent, de beaucoup plus associe#769; a#768; de la science- fiction qu’a#768; du thriller et horreur ( comme dans Ring et Double he#769;lice). Les 3 tomes font a#768; eux trois 1141 pages, et se lisent avec une aisance car on a envie de continuer et de savoir la suite, les pages s’enchai#770;nent. Le suspense est maitrise#769;. Il y a beaucoup d’e#769;motions diffe#769;rentes ressenties a#768; la lecture de ces romans. • •—-> La mort, la renaissance, la vengeance et la male#769;diction sont les mots d’ordre. • • 📘JE RECOMMANDE ?• Je recommande clairement pour les fans d’horreur de thriller Et de science fiction. Trilogie : RING de Ko#770;ji Suzuki • 📕AU PREMIER ABORD (qu’est ce qui m’a mene#769; a#768; lire ce livre?) • J’avais de#769;ja#768; vu le film Ring de Hideo Nakata et le remake ame#769;ricain ( Le Cercle) de Gore Verbinski j’avais de bons souvenirs, un film classique. J’ai achete#769; avant de partir au Japon en 2017, la trilogie en un seul livre, comprenant RING (1991), DOUBLE HE#769;LICE (1995), LA BOUCLE (1998). • 📗IMPRESSIONS/ANALYSE • Ayant revu le film re#769;cemment, il faut dire que E#769;NORMEMENT de de#769;tails ont e#769;te#769; omis. Le livre est une oeuvre complexe avec une re#769;flexion et un squelette d’ide#769;es tre#768;s solide. On y croit. Les re#769;fe#769;rences scientifiques sont cre#769;dibles malgre#769; le surnaturel japonais tre#768;s pre#769;sent dans les deux premiers tomes. Double he#769;lice est la suite direct de Ring et de la Boucle, (et important : ayant pour base les deux autres tomes) aborde quelque chose de clairement diffe#769;rent, de beaucoup plus associe#769; a#768; de la science- fiction qu’a#768; du thriller et horreur ( comme dans Ring et Double he#769;lice). Les 3 tomes font a#768; eux trois 1141 pages, et se lisent avec une aisance car on a envie de continuer et de savoir la suite, les pages s’enchai#770;nent. Le suspense est maitrise#769;. Il y a beaucoup d’e#769;motions diffe#769;rentes ressenties a#768; la...
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  • Pennywise 17/02/2023
    Ring fait partie de ces œuvres découvertes au hasard d’une adaptation ciné. Au contraire des adaptations je me suis décidé à lire la série complète. Une trilogie placée sous le signe de l’horreur. Alors soyons francs, l’horreur est très présente lors du tome 1-Ring- mais laisse place à deux thrillers a la fois scientifiques et psychologiques( Double hélice , le Boucle) sur le reste de l’œuvre. Car effectivement une fois le mystère Sadako ( femme vengeresse) résolu, l’auteur se penche sur les origines de ce mystère et nous offre une réflexion sur les actes et les pouvoirs des hommes, et sa propension à se prendre pour Dieu. Cette trilogie se lit sur mille pages et soyez sûrs que l’auteur vous réserve quelques scènes qui resteront gravées dans votre mémoire, tout comme certaines images de Ring, le film, auront pu vous traumatiser. Bonne lecture.
  • irwingeltime 27/08/2021
    Asakawa est un journaliste qui enquête sur les circonstances étranges de la mort de sa nièce. Il va alors découvrir une cassette vidéo qui condamne toute personne la visionnant à mourir dans sept jours. À partir de là s'enclenche une course contre la montre afin de trouver une échappatoire à cette malédiction sans merci. Le premier tome de la trilogie est prometteur. On évolue dans un thriller paranormal au rythme bien dosé, qui instille une tension tout au long des pages. Bien que les personnages ne soient pour la plupart pas particulièrement attachants, abordés superficiellement, l'auteur parvient à nous captiver grâce à une intrigue de qualité. Dans le deuxième tome, "Double hélice", l'enquête se poursuit mais avec de nouveaux protagonistes, et s'oriente davantage vers le polar scientifique, délaissant l'atmosphère oppressante du premier volume pour un récit ayant moins de suspense. La trame reste néanmoins prenante, et c'est intéressant de mêler la science au paranormal, pour tenter de donner des explications aux phénomènes surnaturels. Le final est inattendu, assez renversant, une fin douce amère qui m'a touché. En revanche, si ces deux premiers tomes se sont révélés convaincants, je n'ai pas trouvé que le dernier était pertinent. L'histoire met du temps à démarrer, et se transforme en récit de science-fiction qui va beaucoup trop loin. J'aurais préféré que ce volet soit un bonus à la série (une fin alternative) plutôt qu'un troisième tome officiel, le dénouement du second se suffisant à lui-même. Le point positif de ce dernier volet sont les personnages, que l'auteur arrive mieux à dépeindre au fur et à mesure que l'on progresse dans la trilogie. Un autre bémol que j'ai remarqué, mais qui est surtout spécifique au premier tome, sont les personnages féminins qui sont souvent réduits à leur physique. Il y a deux évocations de viols, la manière dont ils sont abordés est un peu ambiguë. On sent tout de même que l'auteur ne cherche pas à les cautionner, même s'ils sont un peu trop romancés. Je recommande donc cette série à ceux qui aiment les thrillers paranormaux et scientifiques, dans un univers à la limite de la science-fiction pour le troisième tome. Une suite est sortie en 2012, "Sadako", mais j'hésite à la lire au vu des avis globalement négatifs. Asakawa est un journaliste qui enquête sur les circonstances étranges de la mort de sa nièce. Il va alors découvrir une cassette vidéo qui condamne toute personne la visionnant à mourir dans sept jours. À partir de là s'enclenche une course contre la montre afin de trouver une échappatoire à cette malédiction sans merci. Le premier tome de la trilogie est prometteur. On évolue dans un thriller paranormal au rythme bien dosé, qui instille une tension tout au long des pages. Bien que les personnages ne soient pour la plupart pas particulièrement attachants, abordés superficiellement, l'auteur parvient à nous captiver grâce à une intrigue de qualité. Dans le deuxième tome, "Double hélice", l'enquête se poursuit mais avec de nouveaux protagonistes, et s'oriente davantage vers le polar scientifique, délaissant l'atmosphère oppressante du premier volume pour un récit ayant moins de suspense. La trame reste néanmoins prenante, et c'est intéressant de mêler la science au paranormal, pour tenter de donner des explications aux phénomènes surnaturels. Le final est inattendu, assez renversant, une fin douce amère qui m'a touché. En revanche, si ces deux premiers tomes se sont révélés convaincants, je n'ai pas trouvé que le dernier était pertinent. L'histoire met du temps à démarrer,...
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  • wired421 06/03/2020
    Une lecture très surprenante après avoir vu les films tant ici tout est différent. Pour la frayeur, elle ne fut pas de la partie, ça reste gentil, mais l'écriture est superbe, et le côté policier du premier tome fonctionne a fond. Le deuxième tome est vraiment bon, le troisième lui est fou et vraiment singulier. Une bonne découverte.
  • Gonavon 17/09/2019
    (Critique de Ring seulement, non des deux tomes suivant) Voilà une lecture des plus intrigantes. Le peu d'attentes que j'avais a été complètement dépassé et détourné. À noter, avant la critique, que je n'ai regardé aucun des films avant la lecture, et que par l'osmose culturel, j'étais déjà au courant du puits, de la VHS hantée, du coup de téléphone et de la fille pâle aux longs cheveux noirs qui en est la cause. C'est tout. Je ne savais rien d'autre. LE LIVRE : Il s'agit d'une intégrale de la série en version Pocket, un pavé rouge venant avec un ruban qui indique que le livre a été porté à l'écran. Je recommande de plier ce ruban et de s'en servir de signet, car il est assez gênant pendant la lecture et il n'a aucune utilité sinon ça. Visuellement, le livre est plutôt sobre mais un peu banal. Les lettres ont un reflet différent, la couverture n'est pas très robuste mais le dos est quand même solide. Après environ un mois de manipulations et de voyages au fond d'un sac, la page couverture est toujours repliée, il y a plusieurs entailles, un recoin est déchiré et accumule les saletés. Beaucoup des pages minces et fragiles sont pliées, creusés, salies et aux rebords brunis. C'est une édition de poche, ce n'est pas un Beau Livre avec des majuscules, donc je m'y attendais. LE TEXTE : Commençons par la prose. Troisième personne au présent, mais avec des divagations en première personne (longues de quelques paragraphes et plutôt distancées) qui, à mon avis, sont trop peu contextualisées et donnent l'impression que Suzuki avait oublié qu'il écrivait en troisième personne. La prose ne s'envole jamais et, selon cette même mentalité, n'attire jamais l'attention sur elle-même, ce que je peux tout à fait respecter. J'ignore si c'était là l'intention de Suzuki, mais il n'y a aucune honte à un livre qui s'occupe strictement de l'histoire. Très peu de moments poétiques ou de phrases remarquables, mais toutes les phrases sont à leur place, le récit coule comme il se doit et Suzuki ne divague pas trop et sait où il nous emmène. La prose est digérable, si j'avais à la comparer à de la nourriture, je dirais que c'est de l'eau; aucun goût, neutre. J'ignore quel degré de sa plume s'est perdu dans la traduction, mais quoi qu'il en soit, je n'ai aucun grand problème contre sa maîtrise des mots, bien que je préfère le passé et la troisième personne. Il m'était venu l'impression, au début de ma lecture, que le texte était écrit comme un scénario de film, ou dans l'intention de faciliter une telle chose. Autrement dit, je croyais que la prose ne ferait pas plein usage du format écrit, ce qui s'est avéré faux assez vite. Plusieurs fois Suzuki utilise le format pour créer et évoquer des sensations impossibles à l'écran, ce qui justifie à mon sens que l'histoire soit un roman. Je ne sais pas si le manque d'artifices dans la prose est dû à la traduction ou non. Il s'agit là de mon premier roman japonais, je sais que ce sont deux langues très différentes et que beaucoup peut se perdre en traduction, mais je n'irais pas jusqu'à blâmer quoi que ce soit sur le traducteur. J'ai, cependant, croisé une ou deux coquilles, chose étrange à voir dans une intégrale. Rien de trop grave, aucun mot mal épelé, juste des mauvais mots, issus selon mon expérience de l'inattention, des doigts qui glissent sur les touches (par exemple, à un moment, il est écrit « pas » au lieu de « par »). Au sujet du style, bien que banal, il fait son travail et il n'exsude aucune prétention. Plusieurs fois je me suis surpris à sortir mon crayon et à rayer des phrases complètes qui répétaient une information déjà dite quelques pages plus tôt ou qui expliquaient une chose évidente qu'un enfant comprendrait. C'est la première fois que je me permets de faire autant de marques dans un livre, l'éditeur imaginaire en moi rageait dès qu'il y avait la moindre répétition stupide. Je pourrais faire un commentaire, dire que ce phénomène d'énoncer l'évident s'applique à la majorité des fictions japonaises, mais ce serait sans doute une hyperbole, une généralisation, et seulement issu de ma perception biaisée de la chose, n'étant pas tant familier avec l'ensemble des arts de ce peuple. Je tiens seulement à souligner que le stéréotype des animes, où les personnages disent à voix haute ce qui se produit sur l'écran, est ici bien présent. Et ça m'énerve. Maintenant, le contenu en soi. Le récit est très bien ficelé, j'étais surpris au début de voir à quel point Suzuki était concis et précis. Aucune scène ne me parait superflue, et celles qui pourraient être ôtées demanderaient quand même beaucoup d'ajustement ailleurs dans le texte pour justifier leur absence. Donc chapeau à l'auteur, il a le sens du rythme, il perd peu de temps et sait sur quel point émotionnel mettre l'emphase. La relation d'Asakawa avec sa femme et sa fille se ressent, on le voit se donner corps et âme pour eux, plusieurs fois on le voit divaguer et se faire du sang de cochon à l'idée qu'elles soient en danger. C'est donc brillant de la part de Suzuki qu'elles aient aussi regardé la vidéo, car ça hausse l'enjeu et tend davantage la tension, et ça donne une motivation décuplée de résoudre le mystère. Ryuji m'a laissé songeur. Je dois l'admettre, je n'ai pas tout à fait compris ce que Suzuki essayait de dire en rapport au viol, donc je ne vais pas taper l'ours. Je ne serais pas surpris si des gens sont offensés par la façon dont le viol est présenté et discuté dans le roman. Il n'y a rien de graphique, mais disons que sa place dans l'histoire (à part ce qui concerne la mort de Sadako) est assez étrange, d'un lien logique ténu avec la tragédie de Sadako, affiché comme une sorte de pouvoir maléfique mental qui s'éprend des hommes par hasard, comme un vieil instinct primaire et sauvage qui refait surface. Le tout projeté sous l'angle que l'acte se produit malgré eux. Je ne connais rien au viol, je suis un vrai ignare sur ce sujet, donc je vais éviter de m'étendre dessus – mais même moi, j'ai trouvé étrange la façon dont il était traité. Je crois comprendre ce qu'il essaye de dire, et d'où vient son point de vue, mais c'est une façon vraiment bizarre et maladroite de traiter de la chose. Mais Ryuji, en tant que personnage, j'ai trouvé des plus fascinants. L'homme qui veut voir le monde être détruit, le grand pessimiste mais aussi le grand réaliste, le grand sérieux, le grand penseur et, quand vient le temps, le petit homme émotionnel qui sait rire et profiter du moment. Une contradiction sur pattes. Un personnage qui détonnait, qui exerçait un parfait contrepoids à la nature sporadique et émotive d'Asakawa. Les deux allaient bien ensemble, et dès qu'il est entré en scène, le roman est devenu beaucoup plus captivant. Les descriptions vers la fin donnent encore plus de dimensions à son personnage, le décrivant comme une sorte d'âme errante, quelqu'un de confus qui jouait des rôles pour compenser, impression facile à avoir pendant toute la lecture. Et (spoilers) il est particulièrement poignant de voir qu'il commet le même acte, avant sa mort, qu'Asakawa a fait quand ils achetaient l'équipement pour déterrer Sadako, soit d'appeler une personne qu'il aime, même si ça n'avance rien à la situation. J'aurais aimé en avoir plus de Ryuji. Mon voeu serait exaucé dans les suites, selon ce que j'ai rapidement lu du reste du pavé, mais après une visite sur Wikipédia, j'ai vite changé d'idée. Il y a (selon ce que j'ai compris) une histoire de ressuscitation, de réincarnation, de Ryuji qui est né de Sadako, du virus qui prend d'autres formes, et ça semble devenir tout un bordel incompréhensible sur lequel je ne m'attarderai pas. Ring est bien à lui seul, je n'ai aucune envie ou raison de continuer ma lecture. D'autant plus que l'existence de suites gâche la fin merveilleusement ambiguë et sinistre. J'aimais bien l'aspect un peu fou-fou et pseudo-scientifique de Ring, mais les suites semblent déraper dans tous les sens et y aller à fond avec l'absurde. PLAISIR DE LECTURE: Une bonne lecture. On ne s'arrête pas pour admirer la vue, mais le train roule vite, il y a peu d'arrêts, peu de vagabondage, l'histoire est solide et sait où elle va. Le début est un peu sec et ennuyant, mais le récit devient vite captivant; Ryuji le rehausse, le compte à rebours l'ancre fermement dans un bon rythme, et au dernier tiers c'est devenu un véritable tourne-page. Ce n'est pas de l'horreur, par contre. Psychologique peut-être, une sorte de thriller, mais il n'y a pas de fantôme, de fille qui passe par la TV pour ramper par terre. C'est surtout un mystère, quasiment policier, qui a un tournant très morbide et nihiliste. Mais si ça sonne comme votre genre de lecture, alors je le recommande. (Critique de Ring seulement, non des deux tomes suivant) Voilà une lecture des plus intrigantes. Le peu d'attentes que j'avais a été complètement dépassé et détourné. À noter, avant la critique, que je n'ai regardé aucun des films avant la lecture, et que par l'osmose culturel, j'étais déjà au courant du puits, de la VHS hantée, du coup de téléphone et de la fille pâle aux longs cheveux noirs qui en est la cause. C'est tout. Je ne savais rien d'autre. LE LIVRE : Il s'agit d'une intégrale de la série en version Pocket, un pavé rouge venant avec un ruban qui indique que le livre a été porté à l'écran. Je recommande de plier ce ruban et de s'en servir de signet, car il est assez gênant pendant la lecture et il n'a aucune utilité sinon ça. Visuellement, le livre est plutôt sobre mais un peu banal. Les lettres ont un reflet différent, la couverture n'est pas très robuste mais le dos est quand même solide. Après environ un mois de manipulations et de voyages au fond d'un sac, la page couverture est toujours repliée, il y a plusieurs entailles, un recoin est déchiré et accumule les saletés. Beaucoup des pages minces...
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