The Mortal Instruments - tome 1 La cité des Ténèbres : Le livre de Cassandra Clare

The Mortal Instruments est l'une de mes sagas favorites, sans doute dans mon top 3 en réalité. Et pourtant, je ne les ai lus qu'une seule fois ! Ayant goûté aux joies de la lecture audio, je n'ai pas résisté à l'idée de me refaire la saga de cette manière. La (re)découvrir en version audio a été une expérience très plaisante : la voix de Mélina Sia correspond exactement à celle que j’imaginais pour Clary. Elle varie les intonations, rendant chaque personnage distinct et vivant. Je n’ai jamais été bloquée dans l’écoute — au contraire, c’était particulièrement immersif ! J’ai beaucoup apprécié de retrouver les différents personnages, bien qu’on sente que c’est encore très introductif. Alec, Isa et Magnus sont à peine effleurés, mais l’autrice nous donne déjà un aperçu de l’évolution qui leur sera réservée. Quant à l’univers, c’est tout ce que j’adore : une quête d’identité, des secrets familiaux, des loups-garous, des vampires… et surtout un combat entre le Bien et le Mal, entre Anges et Démons. J’ai adoré redécouvrir les Chasseurs d’Ombres, leurs origines et leurs pouvoirs à travers les runes. Là aussi, on a qu'une introduction, mais pour avoir lu bien d'autres tomes et sagas de l'univers, c'est quelque chose de vraiment très bien construit. Ce tome se concentre surtout sur Clary, qui découvre le Monde Obscur et ses propres origines, et sur Jace, jeune Chasseur d’Ombres à l’humour douteux et à l’arrogance légendaire. Lors de ma première lecture, Jace avait été un coup de cœur — et je dois avouer que son charme a à nouveau opéré. Il a tout pour qu’on le déteste : il nous insupporte, son arrogance donne envie de l’envoyer promener, et pourtant on ne peut pas s’empêcher de l’aimer. À plus d’une reprise, la relation entre Clary et Jace m’a rappelé celle du dessin animé Anastasia, entre elle et Dimitri. Ils ne sont pas ennemis, puisque Jace est son allié dans sa quête pour sauver sa mère, mais ils passent leur temps à se provoquer — avec une tension toujours palpable. La fin du premier tome a, je me souviens, beaucoup divisé les fans. Certains ont arrêté leur lecture ici, troublés et dégoutés. D'autres ont continué et ... on sait très bien que ça en a valu le coup. Comme je le disais, l’équipe n’est pas encore soudée, mais on commence à entrevoir son potentiel. Les Lightwood ont chacun un caractère fort : Alec avec son amour interdit pour Jace, Isabelle avec sa jalousie à l’égard de Clary, et Simon, l’humain qui tente de trouver sa place. Ils restent en retrait pour l’instant, mais on devine déjà l’importance qu’ils prendront. En revanche, Valentin m’a profondément agacée et mise en colère. Il est haïssable, manipulateur, et sa manière de traiter ses proches est tout simplement infecte. En tant qu’antagoniste principal, il est parfaitement réussi. J’ai aussi été frappée par la jeunesse des personnages : à 15-16 ans, leurs réactions peuvent parfois sembler immatures, surtout quand on lit aujourd’hui des romans avec des héros plus âgés. Mais cela n’enlève rien à mon attachement à cette plume, à ces personnages et à ces intrigues. Cassandra Clare a le don de créer un univers dense et peuplé de personnages charismatiques, toujours portés par un humour sarcastique qui fait mouche. J’ai vraiment hâte de poursuivre cette relecture : je me rends compte que si je me souviens des grandes lignes, je mélange certains événements entre les tomes. En réalité, je crois ne plus me souvenir de grand-chose du tome 2… ce qui rend la redécouverte encore plus excitante !

On ne la présente plus et comme toute lectrice aimant la littérature fantastique, je ne pouvais pas passer à côté de cette saga ! Comme beaucoup, j'ai d'abord vu le film puis dévoré la série. J'ai donc décidé de me lancer dans la lecture des livres et j'ai adoré ! L'univers créé par l'autrice est riche et nous donne envie d'en apprendre toujours plus sur ce monde et sur les chasseurs d’ombres. On se plonge très facilement dans ce monde mêlant tout type de créatures fantastiques. Si vous aimez les créatures fantastiques, la romance et les scènes de combat, cette saga est faite pour vous !

Dans ce premier tome, on entre dans un monde Fantastique, avec pour principale personnage : Clary. Elle est une mortelle parmis tant d’autre, mais lorsqu’en soirée, elle voit le jeune homme sur qui elle a flashé commettre à ses yeux un meurtre, sont monde bascule, surtout lorsqu’elle a vue la scène, alors qu’elle n’aurait jamais dû la voir, surtout pas une simple mortelle ! Cette mortelle à qui ont a caché sa véritable nature. Et lorsqu’elle se rendra compte de cette évidence et de ses dons, sa petite vie tranquille avec son meilleur ami Simon va être chamboulée. L’histoire débute ainsi. Elle rencontre Jace, l’homme sur qui elle a flashé, puis sur ses frères et soeurs (Alec et Isabelle) qui s’avère ne pas être des humains ordinaire. Ce sont des Chasseurs d’Ombres. Dangeureux, et beaux, ils sont présent pour tué ce qui leur font du tord (démons). Jace, qui est arrogant, et fière, va aussi craquer pour Clary, et un début de couple va débuter. Ainsi, de révélation en découvertes et d’action en péripéties, l’histoire va se dérouler sans temps-morts, et de plus en plus fascinant... emouvant... palpitant... De plus, Chaque personnages secondaires vont prendre peu à peu une plus grande place dans le bouquin, et deviennent attachant et drole. Un excellent début de série qui promet une suite palpitante. Cette série d’adolescent est un régale, même si la fin et très, très, frustrante !

J’ai le premier tome de la série The mortal instrument depuis quelques années dans ma bibliothèque. Et j’aurais dû le lire plus tôt ! Aujourd’hui, ce n’est plus pour moi. Il y a quelques années, cela aurait pu être mon genre même si j’ai une nette préférence pour Supernatural. Ce n’est pas la même chose mais c’est similaire sur beaucoup de points. Cela reste une pensée très manichéenne, un poil chrétienne, du bien et du mal. Ce sont des jeunes, en fin d’adolescence, qui sont embarqués dans quelque chose de plus grand qu’eux, essaient de gérer mais ne le peuvent tout simplement pas. Aujourd’hui, j’ai eu la forte impression de faire du babysitting même avec les adultes parce qu’ils ne savent tout simplement pas communiquer. Se taire pour protéger restera toujours du bullshit à mes yeux. Aussi, c’est vraiment prévisible. Chacun des retournements de situation ne m’a absolument pas retourné le cerveau. Par contre, j’aurai très certainement adoré, il y a ne serait-ce que 4 ans. Parce que j’avais lu moins de récits dans le genre. S’il y a un bon point que je ne peux pas lui enlever, c’est que pour un livre publié en 2012, il y a une bonne représentation des personnes racisées et des différentes orientations sexuelles. Ce n’est que très peu souligné dans le livre et je ne suis pas concernée (donc pas la meilleure placée pour en parler) mais j’ai trouvé que pour l’époque, c’est quand même pas mal. Il y a un effort qui est fait de ce côté là, et parfois même plus que dans certains livres populaires d’aujourd’hui. Si on oublie le passage sur le vaudou, qui est comme toujours la même représentation dans la fiction qui n’est vraiment qu’une caricature et encore de ce que peut représenter le vaudou, réellement. C’est pourquoi, je ne lui mettrais ni une bonne ni une mauvaise note. Je pense sincèrement qu’il peut plaire à beaucoup de monde. Si vous aimez supernatural, il y a de fortes chances que vous aimiez The mortal instrument. C’est vraiment la même veine en plus centré ange et “artefact”. Pour moi, c’était une lecture très rapide (c’est écrit si gros, je suis plus habituée), sympa mais sans plus pour laquelle je n’étais pas totalement dedans et avec des personnages qui ne m’ont pas touché.