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Un jour plus que parfait
Maud Ortalda (traduit par)
Date de parution : 18/04/2019
Éditeurs :
12-21

Un jour plus que parfait

Maud Ortalda (traduit par)
Date de parution : 18/04/2019
La famille d’Esther Solar est maudite. Tous souffrent d’une phobie atroce qui les mènera tout droit dans la tombe.
• Le père d’Esther, agoraphobe, vit reclus dans la cave
depuis six ans.
• Son frère a peur du noir.
• Sa mère est terriblement superstitieuse.
Esther, elle, ne souffre (pour le moment) d’aucune...
• Le père d’Esther, agoraphobe, vit reclus dans la cave
depuis six ans.
• Son frère a peur du noir.
• Sa mère est terriblement superstitieuse.
Esther, elle, ne souffre (pour le moment) d’aucune terreur particulière. Mais tient à jour la liste non-exhaustive de ses pires cauchemars, au cas où. Lorsqu’elle croise à l’arrêt...
• Le père d’Esther, agoraphobe, vit reclus dans la cave
depuis six ans.
• Son frère a peur du noir.
• Sa mère est terriblement superstitieuse.
Esther, elle, ne souffre (pour le moment) d’aucune terreur particulière. Mais tient à jour la liste non-exhaustive de ses pires cauchemars, au cas où. Lorsqu’elle croise à l’arrêt de bus le mystérieux Jonah Smallwood, sa vie bien rangée bascule… Esther va être confrontée à la plus imprévisible et la plus redoutable de toutes les peurs… l’amour.
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EAN : 9782823845969
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823845969
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Kyrasu 07/06/2023
    Un roman qui nous perd entre le réel et le fantastique. La famille Solar est-elle vraiment maudite ou Esther est-elle trop profondément attachée aux histoires de son grand -père pour ouvrir les yeux sur son entourage et sa propre vie ? En lisant les premières pages je me suis demandée si j’allais parvenir à la fin de ce roman tellement les personnages me semblaient farfelus. Au final on comprend au fur et à mesure que chacun des membres de la famille Solar souffre d’une maladie mentale « dépression, Phobie ». L’arrivée de Jonah (Ancien camarade d’Esther) dans cette famille brisée va provoquer de nombreux changements pas toujours agréables mais qui s’avèreront bénéfiques. Plus on avance dans le livre plus l’on comprend que la malédiction n’était qu’un voile de fumée derrière lequel Esther s’est cachée pour ne pas voir les causes réels des souffrances de ses parents et de son frère. Mon début d’analyse peu sembler déprimante en même temps le sujet n’est pas joyeux, mais ce roman ma beaucoup plu et je le trouve très original, et au final pas si triste que ça .
  • Miaousev62 17/05/2023
    c'était tellement bien. Archi prenant ! Je ne m'attendais pas à tout ça, toutes ces émotions. Sûrement parce que le sujet des angoisses me touche de très près. Les personnages sont extrêmement touchants, pleins de failles, de peurs totalement improbables qui les empêchent de vivre. Jusqu'au jour où... On décide de dire stop, de vivre et de voir comment ça se passe. J'ai bien aimé aussi ce personnage de " la mort" j'ai du mal à expliquer pourquoi mais ça rend la mort beaucoup moins effrayante et surtout beaucoup plus humaine. Il y a aussi beaucoup d'amour dans ce livre, sous toutes ses formes. Vraiment c'est un livre très fort, qui m'a fait passer par tout un tas d'émotions. Super lecture !
  • nathlie93100 04/03/2021
    Si Nos Coeurs en désaccord avait été une excellente lecture, ce nouveau roman le surpasse, et de loin ! J’ai été ravie de retrouver l’écriture de l’autrice et sa manière de rendre compte de la vie au travers de personnages hauts en couleur. Cette fois-ci nous faisons la rencontre d’Esther, une jeune fille qui vit dans une famille dysfonctionnelle. Son père vit dans le sous-sol de la maison suite à une attaque cardiaque, sa mère est complètement accro aux machines à sous et Eugene, son frère jumeau, a une peur panique du noir. Sans compter sur Hephzibah, sa meilleure amie, qui n’a jamais dit un seul mot devant elle. Ce sont ses retrouvailles avec Jonah, qu’elle avait perdu de vue depuis quelques années, qui vont lui faire voir ses peurs et la vie autrement. Il va l’aider à combattre ses pires peurs en les affrontant. Un jour plus que parfait est un très beau roman sur l’amour familial mais surtout sur les différents types de maladies mentales, thème central ici, et les manière de les soigner et de vivre avec. Il faut dire que l’autrice réussit a traiter en un seul livre de l’anxiété, des phobies, de l’addiction et de la dépression avec beaucoup d’indulgence et d’humanité. C’est un roman profond, parfois drôle mais surtout très triste, avec certains passages qui laissent avec la boule au ventre et les larmes aux yeux. L’autrice traite de son sujet avec brio, mêlant coup durs et indulgence envers ses personnages. Un roman à lire et une autrice à découvrir si ce n’est pas déjà fait !Si Nos Coeurs en désaccord avait été une excellente lecture, ce nouveau roman le surpasse, et de loin ! J’ai été ravie de retrouver l’écriture de l’autrice et sa manière de rendre compte de la vie au travers de personnages hauts en couleur. Cette fois-ci nous faisons la rencontre d’Esther, une jeune fille qui vit dans une famille dysfonctionnelle. Son père vit dans le sous-sol de la maison suite à une attaque cardiaque, sa mère est complètement accro aux machines à sous et Eugene, son frère jumeau, a une peur panique du noir. Sans compter sur Hephzibah, sa meilleure amie, qui n’a jamais dit un seul mot devant elle. Ce sont ses retrouvailles avec Jonah, qu’elle avait perdu de vue depuis quelques années, qui vont lui faire voir ses peurs et la vie autrement. Il va l’aider à combattre ses pires peurs en les affrontant. Un jour plus que parfait est un très beau roman sur l’amour familial mais surtout sur les différents types de maladies mentales, thème central ici, et les manière de les soigner et de vivre avec. Il faut dire que l’autrice réussit a traiter en un seul livre de l’anxiété, des phobies, de l’addiction et de la dépression...
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  • lupiotte 29/11/2020
    J’avais trouvé la couverture super originale et j’avais envie de découvrir ce roman. Je ne m’attendais pas à cela et j’ai été agréablement surprise. C’est un roman sous son semblant de légèreté qui parle de thèmes très important comme la dépression, le suicide, l’isolement, la peur mais pas que. Il ouvre les yeux sur pas mal de choses et c’est assez agréable comme lecture. J’aime comment il est fait et mené ! Esther est une jeune fille qui n’a pas une vie facile, il faut dire que sa famille semble particulière, son père est dans la cave car il a peur des gens, sa mère est accro aux jeux d’argent et elle vivote dans la maison car elle est superstitieuse sur tout et son frère a peur du noir. On ne parle même pas de sa meilleure amie qui semble ne pas exister et qui ne parle pas ou encore son grand-père qui pense connaître la mort en personne. Quand elle retrouve un de ses amis qui avait déménagé au début elle est en colère contre lui pour ce qu’il lui fait mais finalement grâce à lui elle va affronter ses peurs. Chaque chapitre est donc une rencontre avec une des ses 50 peurs. Cette aventure lui permet d’ouvrir les yeux sur beaucoup de choses et l’histoire tourne totalement différemment de ce que l’on pourrait penser. J’avoue avoir été assez prise dans l’histoire et ne m’être pas attendu à cela surtout par rapport à son frère ou encore son grand-père. Difficile de s’y retrouver par moment et au final la chute est spéciale, inattendue et particulière mais le message est clair même si l’aboutissement est bizarrement fait. En résumé, Un Jour plus que parfait est un roman qui sort vraiment de l’ordinaire. Je n m’attendais pas forcément à cela et j’ai été agréablement surprise par cette lecture inattendue. L’héroïne est touchante et elle ouvre les yeux au fur et à mesure de l’histoire pour se rendre compte que sa famille a de réels problèmes par forcément maudite mais plutôt malade de différentes façons. Une manière d’abordée des sujets multiples qui sont importants pour que les personnes en prennent conscience et n’ait pas peur de le reconnaître pour espérer avancer et guérir grâce à des professionnels.J’avais trouvé la couverture super originale et j’avais envie de découvrir ce roman. Je ne m’attendais pas à cela et j’ai été agréablement surprise. C’est un roman sous son semblant de légèreté qui parle de thèmes très important comme la dépression, le suicide, l’isolement, la peur mais pas que. Il ouvre les yeux sur pas mal de choses et c’est assez agréable comme lecture. J’aime comment il est fait et mené ! Esther est une jeune fille qui n’a pas une vie facile, il faut dire que sa famille semble particulière, son père est dans la cave car il a peur des gens, sa mère est accro aux jeux d’argent et elle vivote dans la maison car elle est superstitieuse sur tout et son frère a peur du noir. On ne parle même pas de sa meilleure amie qui semble ne pas exister et qui ne parle pas ou encore son grand-père qui pense connaître la mort en personne. Quand elle retrouve un de ses amis qui avait déménagé au début elle est en colère contre lui pour ce qu’il lui fait mais finalement grâce à lui elle va affronter ses peurs. Chaque chapitre est donc une rencontre avec une...
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  • Ladroguerieecrite 18/04/2020
    « Entre fiction et réalité » Je ne cesse de supprimer ce que j’écris car, je ne sais pas comment commencer. Ce roman m’a tellement plus que j’ai peur de ne pas réussir à mettre les mots sur mon ressenti. Mais essayons par le début, j’arriverais peut-être à écrire quelque chose de potable. Nous sommes happés par l’histoire dès les premières pages. On commence à peine à lire que l’on nous parle déjà de phobies, chat noir et de la malédiction des Solar. Le thème a beau nous être donné dès le résumé on ne s’attend pas à ce que l’autrice mette carte sur table dès le début. J’ai cependant été agréablement surprise, car on oscille entre fiction et réalité, on nous parle de superstitions, de lapins et d’esprits hantant l’étage de la maison, aux monstres présents dans le noir au bout du couloir et au père, agoraphobe enfermé dans sa cave. On ne sait si l’on doit prendre la malédiction au sérieux ou y voir une forme plus réelle, plus douloureuse. C’est une métaphore de phobie, d’addiction et de maladie mentale, c’est une façon de ne pas vouloir voir le problème des personnes en face, c’est se persuader qu’en écrivant 50 de nos pires cauchemars sur papier rien ne nous arrivera. Ou bien que se vêtir comme Kill Bill ou Amélia Earhart fera que les autres les verront elles et non la personne qui s’habille ainsi. Et c’est pourtant ainsi que vie Esther, en espérant qu’aucune phobie ne la mène tout droit à sa tombe. Les personnages que dessine Krystal Sutherland me sont perçus comme des personnifications et, j’ai trouvé cela magnifique. On parle de sa mère comme faite de bois et manger par les termites, ou de son père aussi gris que la pierre, ou encore son frère, aussi transparent que la lumière. J’ai d’ailleurs énormément aimé ce personnage, si ce n’est pas adoré. Eugène nous est d’abord principalement montré comme un fantôme, une simple lueur mais, la plus importante pour Esther. Puis elle nous parle de son frère de sa peur pour le noir. Même si on comprend vite qu’il s’agit surtout de la noirceur en lui qu’Eugène craint. Quand je parle de fictions, je ne fais pas allusion qu’aux monstres dans le placards, mais à bien plus encore. J’ai principalement en tête la mort, ou du moins la représentation humaine de celle-ci dans le roman, celle qui a maudit d’après Esther la famille Solar, la source de tout leurs problèmes. Des passages lui sont consacrés dans le roman, de son point de vue ou de celui de Esther relatant les récits de son grand-père ayant rencontré la mort en personne. Cette mort, ayant été désigné et qui désignera à son tour. J’ai vraiment apprécié ce côté ou c’est à nous de choisir ou non son existence, de se dire qu’elle est digne d’un conte pour enfants raconté au coin du feu. Je n’ai pas évoqué un personnage, Jonah, le fameux garçon qui va tout chambouler. Au début j’ai vraiment eu peur que ce soit un peu cliché, la romance type du garçon qui va sauver la fille et qui vivront heureux pour toujours blablabla. Et j’ai -encore une fois- été vraiment surprise, il n’est que secondaire dans l’histoire, presque tertiaire tant Eugène est important pour Esther. Ce que j’ai apprécié, c’est que nous sommes très loin de la romance brut, répétitive que l’on trouve absolument partout. Celle ci est douce, adorable et triste à la fois, elle n’est en rien habituelle et fait sentir une force énorme. En effet la relation, qu’importe soit-elle, pousse Esther vers le haut, elle lui apprend à nager seule au lieu de se noyer, elle lui apprend à voir le monde, le vrai. C’est grâce à Jonah qu’elle trouve la force de parer ses peurs et de défier la mort pour sauver sa famille. Et c’est beau. Je vais m’arrêter là par peur de trop dire sur le roman et, de vous gâcher la lecture. La seule chose que je trouve dommage au fond, c’est son changement de couverture, aussi intrigante soit elle, l’original collait beaucoup plus au livre, tout comme le titre « A Semi-Definitive List of Worst Nightmares » qui s’apprêtait plus que » un jour plus que parfait qui sonne un peu trop comme » Tous Nos Jours Parfaits » Là, sont les seuls défauts du roman qui est génial en soit, et je remets en cause mon « abandon » de son premier roman et, lui redonner une chance, en espérant être aussi surprise. En soit, un jour plus que parfait, c’est un roman original avec des personnages atypiques et un monde entre réalité et fiction, je le recommande chaudement pour noël, parfait pour combattre ses plus grandes peurs. « Je ne la déteste pas pour ce qu’elle est devenue. Je le voudrais, mais je n’y arrive pas. Je l’aime trop. C’est le problème. C’est ce qui cloche dans l’amour. Une fois qu’on aime quelqu’un, peu importe qui il est, on le laisse toujours nous détruire. A chaque fois. » Love, a. Merci à Pocket jeunesse pour l’envoi !« Entre fiction et réalité » Je ne cesse de supprimer ce que j’écris car, je ne sais pas comment commencer. Ce roman m’a tellement plus que j’ai peur de ne pas réussir à mettre les mots sur mon ressenti. Mais essayons par le début, j’arriverais peut-être à écrire quelque chose de potable. Nous sommes happés par l’histoire dès les premières pages. On commence à peine à lire que l’on nous parle déjà de phobies, chat noir et de la malédiction des Solar. Le thème a beau nous être donné dès le résumé on ne s’attend pas à ce que l’autrice mette carte sur table dès le début. J’ai cependant été agréablement surprise, car on oscille entre fiction et réalité, on nous parle de superstitions, de lapins et d’esprits hantant l’étage de la maison, aux monstres présents dans le noir au bout du couloir et au père, agoraphobe enfermé dans sa cave. On ne sait si l’on doit prendre la malédiction au sérieux ou y voir une forme plus réelle, plus douloureuse. C’est une métaphore de phobie, d’addiction et de maladie mentale, c’est une façon de ne pas vouloir voir le problème des personnes en face, c’est se persuader qu’en écrivant 50 de...
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