Lisez! icon: Search engine
La Fabrique de poupées
Karine Reignier-Guerre (traduit par)
Date de parution : 09/01/2020
Éditeurs :
Lizzie
En savoir plus
PRIX CONSEILLÉ
22.99 €

La Fabrique de poupées

Karine Reignier-Guerre (traduit par)
Date de parution : 09/01/2020
La liberté est une chose précieuse… Un roman campé à Londres, en pleine époque victorienne, où il est question d’amour, d’art, d’obsession et de possession.
Londres, 1850. L’Exposition universelle va bientôt ouvrir ses portes dans le tout nouveau Crystal Palace, et les badauds se pressent déjà dans Hyde Park pour venir admirer cette merveille. Parmi... Londres, 1850. L’Exposition universelle va bientôt ouvrir ses portes dans le tout nouveau Crystal Palace, et les badauds se pressent déjà dans Hyde Park pour venir admirer cette merveille. Parmi eux, Iris, une modeste employée dans un magasin de poupées, à la beauté mâtinée de difformité, qui rêve de devenir... Londres, 1850. L’Exposition universelle va bientôt ouvrir ses portes dans le tout nouveau Crystal Palace, et les badauds se pressent déjà dans Hyde Park pour venir admirer cette merveille. Parmi eux, Iris, une modeste employée dans un magasin de poupées, à la beauté mâtinée de difformité, qui rêve de devenir artiste peintre. Et puis il y a Silas, un taxidermiste amateur de macabre et de curiosités, qui voudrait exposer ses œuvres dans ce gigantesque musée. Ces deux-là se croisent, et leurs destins en seront à jamais bouleversés.
Iris accepte en effet bientôt de poser pour Louis Frost, un jeune peintre de l’école préraphaélite, exigeant en retour qu’il lui enseigne sa technique. Peu à peu, le champ des possibles s’élargit pour le modèle avide de liberté, qui découvre l’art et l’amour. Mais c’est compter sans Silas, qui rôde non loin de là, tapi dans l’ombre, et n’aura de cesse qu'il n'ait fait sienne celle qui occupe désormais ses pensées, jusqu’à l’obsession…

 
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9791036605970
Façonnage normé : MP3
Durée : 705 min
Lizzie
En savoir plus
PRIX CONSEILLÉ
22.99 €
EAN : 9791036605970
Façonnage normé : MP3
Durée : 705 min

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ecureuil73 19/01/2024
    Un décor à la Dickens, le brouillard du Londres des années 1850 et de l'exposition universelle, des rues que l'on ressent comme des coupe-gorges, les odeurs putrides, les conditions de vie rudes et sommaires où malgré tout on découvre des êtres remplis de soif de vivre et de volonté à tirer leurs épingles du jeu. Une Angleterre victorienne où l'on hume les légumes pourris, le feu de bois, la fumée des pipes, la puanteur des rues... On y entend les roues des voitures, le vacarme de la rue, les cris des animaux livrés à eux-mêmes ... On y ressent l'humidité froide et poisseuse, le soleil qui réchauffe les maisons et quelques âmes, la rudesse de la vie... Et puis parmi cette crasse, une fleur éclos et veut vivre une vie d'artiste et ainsi s'émanciper de tous les jougs tout en rencontrant l'amour. Iris ne lâchera rien et même si le roman se termine sur une notre d'espoir, elle ne révèle rien de la suite de son histoire et espérant que celle ci soit heureuse à l'image d'une peinture vivante.
  • Calliope2017 14/01/2024
    Quel coup de cœur ! Et dire que j’ai pendant longtemps repoussé cette lecture à cause des commentaires le mentionnant comme un « conte fantastique » (fantastique dont je n’ai pas trouvé la trace dans le roman, qui est au contraire d’un réalisme méticuleux)… j’ai tout simplement adoré cette lecture ! Elizabeth MacNeal nous plonge dans le Londres de l’époque victorienne, en plein pendant l’Exposition Universelle de 1851 au Crystal Palace, à travers trois personnages principaux, que l’on suit en alternance au fil des chapitres. Iris, l’héroïne, travaille dans un magasin de poupées, souhaite devenir artiste et va découvrir le milieu des peintres préraphaélites auprès de Louis Frost ; Silas Reed est un inquiétant taxidermiste ; Albie est un gamin des rues qui assure le lien entre ces 4 protagonistes. Le roman est très bien documenté, et nous fait découvrir la plus grande misère comme la bourgeoisie londonienne avec réalisme, mais aussi les milieux artistiques. Si le peintre Louis Frost est fictif, les autres artistes que la romancière met en scène ont bien existé, tout comme les critiques d’art ou les expositions qui apparaissent au cours du récit, et l’ambition du mouvement préraphaélite est parfaitement restituée. Ce livre montre également la condition féminine de l’époque, à laquelle souhaite échapper Iris, en quête de liberté. Mais surtout, ce roman devient un véritable page-turner dans sa dernière partie. C’est là que les différents destins se rejoignent clairement, que l’intrigue prend tout son sens et devient plus sombre, et que l’on mesure à quel point on s’est attaché aux personnages (du moins, ceux qui sont positifs) tant on vibre avec eux ! La Fabrique des poupées est le genre de livres dont les personnages occupent encore notre esprit après l’avoir refermé, et je ne peux que chaudement recommander sa lecture !Quel coup de cœur ! Et dire que j’ai pendant longtemps repoussé cette lecture à cause des commentaires le mentionnant comme un « conte fantastique » (fantastique dont je n’ai pas trouvé la trace dans le roman, qui est au contraire d’un réalisme méticuleux)… j’ai tout simplement adoré cette lecture ! Elizabeth MacNeal nous plonge dans le Londres de l’époque victorienne, en plein pendant l’Exposition Universelle de 1851 au Crystal Palace, à travers trois personnages principaux, que l’on suit en alternance au fil des chapitres. Iris, l’héroïne, travaille dans un magasin de poupées, souhaite devenir artiste et va découvrir le milieu des peintres préraphaélites auprès de Louis Frost ; Silas Reed est un inquiétant taxidermiste ; Albie est un gamin des rues qui assure le lien entre ces 4 protagonistes. Le roman est très bien documenté, et nous fait découvrir la plus grande misère comme la bourgeoisie londonienne avec réalisme, mais aussi les milieux artistiques. Si le peintre Louis Frost est fictif, les autres artistes que la romancière met en scène ont bien existé, tout comme les critiques d’art ou les expositions qui apparaissent au cours du récit, et l’ambition du mouvement préraphaélite est parfaitement restituée. Ce livre montre également la condition...
    Lire la suite
    En lire moins
  • 19nini84 23/12/2023
    « Putain de livre… » C’est exactement ce que je me suis dit quand, après avoir lu la dernière page, je l’ai refermé à regrets. On s’émerveille tout autant qu’il se révèle morbide. Il a tout d’un contes un peu cruel et fantastique. #x1f3a9 Il est juste incroyable#xNaN#x1f44c Ça faisait longtemps que j’avais pas été prise par un roman, comme lui a pu me le faire. C’est le premier roman de l’autrice en plus, juste bravo Madame @elizabethmacneal ! Franchement, lisez-le #xNaN#x1f4d6#xNaN
  • ambreloe2206 12/10/2023
    Ce livre est époustouflant, étrange ! Il est écrit avec une plume précise et poétique. Le roman se lit tout seul et nous fait monter notre niveau de stress petit à petit, car on sent venir le dénouement. Par moments glauque, par moments touchant, le roman nous donne réellement l'impression d'être à Londres au XIX ème siècle. Les personnages sont loin d'être ordinaires, ils présentent tous des facettes intéressantes. Ce roman a un univers où j’ai aimé me perdre dedans.
  • afleurdemots10 09/10/2023
    #8291;J'ai été émerveillée par ce récit atypique et enchanteur.La couverture est sublime et ressemble à un objet tout droit sortie d'un cabinet de curiosités. Nous sommes plongé au coeur de Londres où l'Exposition universelle va bientôt ouvrir ses portes et les badauds se pressent pour venir admirer cette merveille. Parmi eux, Iris, modeste employée dans un magasin de poupées, à la beauté difforme, qui rêve de devenir artiste peintre. Et puis il y a Silas, taxidermiste amateur de macabre et de curiosités, désireux d'y exposer ses créatures. Ces deux-là se croisent, et leurs destins en seront à jamais bouleversés. Iris accepte de poser pour Louis Frost, un jeune peintre préraphaélite. Avec lui, le champ des possibles s'élargit, et le modèle, avide de liberté, découvre peu à peu l'art et l'amour. Mais c'est compter sans Silas, qui rôde non loin de là, tapi dans l'ombre, et n'a qu'une idée : faire sienne celle qui occupe toutes ses pensées, jusqu'à l'obsession...#8291;#8291; #8291;#8291; Ce roman m'a beaucoup rappelé la série You sur Netflix c'était addictif. Notre héroine est déterminé à s'affranchir de sa condition et à gagner sa liberté et ce à n'importe quel prix. Mais ce récit est aussi un conte cruel au suspense maîtrisé d'une main de maître, qui explore avec une précision digne d'un chirurgien les frontières qui existes entre l'amour, le désir et la possession. L'autrice nous fait entrer dans la tête de Silas, dans ses obsessions et ses pensées malsaines débordantes de cruauté. Les passages sur l'art et la fabrication des poupées sont passionnants. J'ai beaucoup aimé cet atmosphère morbide de Londres des années 50 qui représente un lieu d'émerveillement avec son exposition universelle mais aussi un lieu de tous les dangers où le mal rôde. Entre Odeurs de putréfaction, cadavres d'animaux, difformités, laideur, obsessions, meurtres, et pauvreté l'art émerge tel un rayon de lumière d'espoir naissant.#8291; Un ovni littéraire somptueux et insaisissable à dévorer sans modération.#8291; #8291;J'ai été émerveillée par ce récit atypique et enchanteur.La couverture est sublime et ressemble à un objet tout droit sortie d'un cabinet de curiosités. Nous sommes plongé au coeur de Londres où l'Exposition universelle va bientôt ouvrir ses portes et les badauds se pressent pour venir admirer cette merveille. Parmi eux, Iris, modeste employée dans un magasin de poupées, à la beauté difforme, qui rêve de devenir artiste peintre. Et puis il y a Silas, taxidermiste amateur de macabre et de curiosités, désireux d'y exposer ses créatures. Ces deux-là se croisent, et leurs destins en seront à jamais bouleversés. Iris accepte de poser pour Louis Frost, un jeune peintre préraphaélite. Avec lui, le champ des possibles s'élargit, et le modèle, avide de liberté, découvre peu à peu l'art et l'amour. Mais c'est compter sans Silas, qui rôde non loin de là, tapi dans l'ombre, et n'a qu'une idée : faire sienne celle qui occupe toutes ses pensées, jusqu'à l'obsession...#8291;#8291; #8291;#8291; Ce roman m'a beaucoup rappelé la série You sur Netflix c'était addictif. Notre héroine est déterminé à s'affranchir de sa condition et à gagner sa liberté et ce à n'importe quel prix. Mais ce récit est aussi un conte cruel au...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la newsletter Lizzie, pour que vos livres s'écoutent aussi !
Avec Lizzie, les livres ont trouvé leur voix. Chaque semaine, laissez-vous transporter au cœur de nos nouveautés.

Lisez maintenant, tout de suite !