Sombre mardi

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Sallyrose 23/01/2024

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  Le tome II de cette série qui en compte sept, autant que de jours de la semaine, confirme l’attrait du duo récurrent et la capacité des auteurs (un duo également) à nous immerger dans Londres et dans les pensées de Frida Klein. La psychanalyste collabore à nouveau avec la police et, à nouveau, s’implique un peu trop dans le devenir des différents suspects et victimes. Ce tome II annonce également que la série doit se lire dans l’ordre. En effet, des passages importants font référence à l’intrigue du tome I.
• AMR_La_Pirate 19/10/2023

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  Sombre mardi, Le jour où les vieilles dames parlent aux morts de Nicci French, traduit de l’anglais par Marianne Bertrand, Lizzie, 2018 (1ÈRE édition : Fleuve Édition, 2013) Sous le pseudonyme de Nicci French, écrivent deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont cette série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières. Ayant repris la lecture de la série depuis le début, ce qui est préférable car chaque opus fait plus ou moins référence aux enquêtes passées, je me trouve beaucoup plus à l’aise avec la chronologie qui suit les jours de la semaine. En ce sombre mardi, l'inspecteur Karlsson et son équipe se trouvent confrontés à une scène de crime peu banale : le cadavre d’un homme nu, assis dans un fauteuil, une pâtisserie à la main, découvert par une assistante sociale dans l’appartement d’une jeune femme paumée, atteinte de troubles psychiques. L'inspecteur Karlsson fait appel à Frieda Klein et à son incomparable capacité à sonder l'âme humaine car, pour découvrir le meurtrier, il faut d'abord connaître la victime... Une histoire de manipulation, d’escroquerie, d’abus de confiance… Une galerie de protagonistes vulnérables ou machiavéliques… Une alternance de points de vue entre le déroulé de l’enquête et le parcours d’une étrange jeune femme… La présence familière de personnages récurrents dans l’entourage de Frida… Une belle description de Londres et de ses quartiers… Une série qui tient ses promesses avec un réel souci du détail révélateur. Dans la version audio, chez Lizzie, je continue à modérément apprécier la narratrice, Bénédicte Charton car si sa prestation est correcte pour les passages narratifs, elle contrefait trop sa voix pour les dialogues cherchant à donner des intonations particulières à tous les personnages. Je répète à l’envi qu’une lecture ne doit jamais être une interprétation… Sombre mardi, Le jour où les vieilles dames parlent aux morts de Nicci French, traduit de l’anglais par Marianne Bertrand, Lizzie, 2018 (1ÈRE édition : Fleuve Édition, 2013) Sous le pseudonyme de Nicci French, écrivent deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont cette série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières. Ayant repris la lecture de la série depuis le début, ce qui est préférable car chaque opus fait plus ou moins référence aux enquêtes passées, je me trouve beaucoup plus à l’aise avec la chronologie qui suit les jours de la semaine. En ce sombre mardi, l'inspecteur Karlsson et son équipe se trouvent confrontés à une scène de crime peu banale : le cadavre d’un homme nu, assis dans un fauteuil, une pâtisserie à la main, découvert par une assistante sociale dans l’appartement d’une jeune femme paumée, atteinte de troubles psychiques. L'inspecteur Karlsson fait appel à Frieda Klein et à son incomparable...

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• judslv 30/03/2023

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  Après la lecture du premier tome, je m’étais dit que je ne lirai sûrement pas la suite. Pourtant je me suis laissée tenter, la fin ayant un peu titillé ma curiosité. Je trouve que ce second tome est à la hauteur du premier, même si on retrouve une Frieda encore un peu moins compréhensible que dans Lundi Mélancolie. On en apprend un peu plus sur cette protagoniste, mais on n’en sait toujours pas énormément ce qui limite énormément l’attachement qu’on pourrait éprouver envers ce personnage s’il était un peu mieux développé. Il y a énormément de personnages donc c’est un peu difficile de s’y retrouver si on n’a pas lu le premier tome. Je suis déjà en train de lire le troisième tome pour avoir le fin mot de l’histoire même si je trouve qu’il y avait beaucoup de longueurs dans les deux premiers.
• CatF 10/02/2023

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  Je continue mon nouveau challenge 2023, lire toutes les séries que j'ai en stocke… Et j'en ai « plus » que je ne le pensais. Mais cette série-là je l'adore, j'aime les enquêtes, les personnages, Londres (que je découvre), et les fins inattendues… Bien que j'avais deviné certaines finalités, mais peu importe je me suis laissé enivrer par ce récit. La suite le mois prochain normalement… Bonne lecture !
• PGilly 21/08/2022

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  Frieda Klein continuera la semaine sans moi. Je suis tranquille, elle est bien entourée, même isolée dans sa superbe solitude. La trame est identique à celle du lundi, avec toutefois des coupables prévisibles, apparus dans l'ultime virage d'une enquête comme toujours entamée avec très peu d'éléments. Heureusement, l'œil de lynx de la psychiatre voit ce qui échappe à la police ou ne lui vient pas à l'esprit. Elle a toujours un coup et un taxi d'avance. La franc-tireuse aime jouer cavalière seule ; elle a ses têtes et tant pis si vous ne lui revenez pas. Le caractère monolithique de Frieda offre peu de perspectives à moins de sympathiser avec elle, au point de la suivre d'énigme en énigme, chaque jour de la semaine. Pour moi, ce sera la semaine de deux jours.