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Dictionnaire amoureux illustré de l'Inutile
Collection : Gründ Beaux-livres
Date de parution : 01/12/2022
Éditeurs :
Gründ

Dictionnaire amoureux illustré de l'Inutile

,

Collection : Gründ Beaux-livres
Date de parution : 01/12/2022
Le Dictionnaire amoureux de l'Inutile se propose de recenser tout ce qui semble ne servir à rien et qui pourtant paraît indispensable
Ce livre est une invitation joyeuse à faire une promenade drôle et iconoclaste dans nos souvenirs, nos émotions aussi futiles que solides. Faire des ricochets au-dessus de la rivière, des... Ce livre est une invitation joyeuse à faire une promenade drôle et iconoclaste dans nos souvenirs, nos émotions aussi futiles que solides. Faire des ricochets au-dessus de la rivière, des cocottes en papier, des canulars, s'interroger sur la fossette de Kirk Douglas, la coiffure du président Giscard d'Estaing, l'expression "peigner... Ce livre est une invitation joyeuse à faire une promenade drôle et iconoclaste dans nos souvenirs, nos émotions aussi futiles que solides. Faire des ricochets au-dessus de la rivière, des cocottes en papier, des canulars, s'interroger sur la fossette de Kirk Douglas, la coiffure du président Giscard d'Estaing, l'expression "peigner la girafe", se rappeler les petits trains électriques, la guitare de Tino Rossi, les télégrammes de première et les speakerines de la télévision...
C'est un livre impossible, tant la notion d'inutile est sujette à caution. L'homme est-il plus utile que la langouste ? La pomme de terre est-elle plus indispensable que le liseron ? L'idiot du village moins nécessaire que le membre de l'Institut ?
Ce dictionnaire se plaît à musarder en vantant les mérites de la grasse matinée et des contrepets dans les discours des ministres, en trouvant le plaisir d'écouter la météo marine quand on est sous la couette ou en admirant la virtuosité des joueurs de yoyo.
Un livre aussi indispensable qu'inutile.
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EAN : 9782324031663
Façonnage normé : RELIE-ALB.
Nombre de pages : 296
Format : 210 x 280 mm
EAN : 9782324031663
Façonnage normé : RELIE-ALB.
Nombre de pages : 296
Format : 210 x 280 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lucia-lilas 13/06/2023
    Si vous aimez l’humour absurde, vous allez être servi : que ce soit l’eau en poudre (qu’il suffit de verser dans un verre d’eau pour pouvoir la consommer), dormir au cinéma (on serait tellement mieux dans son lit et en plus, ce serait gratuit...), les consignes de sécurité dans un avion (personne ne les regarde) (et puis, de toute façon, hein…), la météo marine (qu’on écoute alors qu’on ne mettra pas un pied dans un bateau avant l’été prochain), les klaxons d’avions (ben oui, les avions ont un klaxon!), la flûte à bec à l’école (ne me dites pas que vous êtes devenu expert dans ce domaine, je ne vous croirais pas), les vœux de fin d’année (ah ah « bonne année tonton ! »), et faire du vélo sans les mains, hein, à quoi ça sert de savoir faire du vélo sans les mains ?… Bref, la quantité de choses inutiles est insondable. A se demander si nous ne passons pas toute notre vie à ne faire que des choses inutiles… (j’aurais deux tonnes d’exemples concernant mon boulot d’enseignante mais bon, comme je n’ai pas envie de me faire virer je ne dis rien) (et je ne pense pas aux cours mais à tout le bazar autour) (il y aurait de quoi écrire un second tome à ce dictionnaire amoureux de l’inutile...) Et vous me direz : l’existence humaine a-t-elle un sens ? Rassurez-vous, ils y ont pensé. On ne sert effectivement à rien ou pas à grand-chose. Et pourtant, certaines personnes, à quelques heures de leur mort, continuent à y croire : C’est Antoine Lavoisier qui, lorsqu’on vient le chercher pour le guillotiner, replace bien soigneusement son marque-page dans le livre qu’il était en train de lire… Pensons aussi au kamikaze qui met son casque… Franchement, je me suis bien amusée à lire ce dictionnaire assez inattendu… qui finit par nous amener sur le chemin dangereux des questions existentielles : eh oui, nous-même, à quoi sert-on ? C’est toujours très risqué de se lancer dans la lecture d’un dictionnaire de l’inutile… A vos risques et périls !Si vous aimez l’humour absurde, vous allez être servi : que ce soit l’eau en poudre (qu’il suffit de verser dans un verre d’eau pour pouvoir la consommer), dormir au cinéma (on serait tellement mieux dans son lit et en plus, ce serait gratuit...), les consignes de sécurité dans un avion (personne ne les regarde) (et puis, de toute façon, hein…), la météo marine (qu’on écoute alors qu’on ne mettra pas un pied dans un bateau avant l’été prochain), les klaxons d’avions (ben oui, les avions ont un klaxon!), la flûte à bec à l’école (ne me dites pas que vous êtes devenu expert dans ce domaine, je ne vous croirais pas), les vœux de fin d’année (ah ah « bonne année tonton ! »), et faire du vélo sans les mains, hein, à quoi ça sert de savoir faire du vélo sans les mains ?… Bref, la quantité de choses inutiles est insondable. A se demander si nous ne passons pas toute notre vie à ne faire que des choses inutiles… (j’aurais deux tonnes d’exemples concernant mon boulot d’enseignante mais bon, comme je n’ai pas envie de me faire virer je ne dis rien) (et je ne pense pas aux cours mais à tout...
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  • Sallyrose 03/06/2023
    Déjà ce titre. Déclarer son amour à l’inutile dans ces temps orientés vers la productivité, où le simple ménage du samedi matin est décortiqué en liste de tâches sur les réseaux sociaux, c’est mettre un pas de côté dans les injonctions à la rentabilité. Être amoureux de l’inutile, c’est laisser la place à la contemplation, à la poésie du monde qui nous entoure. Bye bye Marie Kondo. Outre les sujets abordés, les pages sont parsemées de petites notes personnelles savoureuses mêlant mauvaise foi et humour, le tout toujours enrobé de tendresse. Et ce sont de belles pages. Ce livre grand format, classé à juste titre beau livre, regorge d’illustrations (comme son titre l’indique) extrêmement bien choisies et mises en page avec une colorimétrie joyeuse qui fait oublier l’austérité contenue dans le seul mot de dictionnaire. Cependant, il ne faut pas s’y tromper, les textes bénéficient d’une belle plume, d’un rythme authentique. En effet, il suffit de les lire à haute voix pour retrouver le phrasé de François Morel. Sous couvert d’inutile, ce livre est riche d’enseignements. Beaucoup d’objets ou de concepts sont devenus inutiles car remplacés voire disparus avec les évolutions technologiques. Le lecteur voit ainsi déposés sous ses yeux nostalgiques des objets ou des slogans d’antan. Parfois, c’est le fou rire qui le prend quand les auteurs prennent des textes au pied de la lettre et en font une interprétation au premier degré. C’est ainsi qu’ils nous donnent des conseils en outils de jardinage, protestant de l’inutilité de la pelle pour ramasser les feuilles mortes. Enfin, sous couvert d’inutile, il rend hommage à des petits moments de vie ou de lecture qui sont le symbole, à mon sens, de l’intention profonde de cet ouvrage : ça ne sert à rien mais ça fait du bien, ça stimule notre curiosité et notre imaginaire. C’est donc indispensable. CQFD Ce livre est donc une invitation intelligente à regarder autour de soi et de rire gentiment de ces petites choses qui font le sel de la vie. Il se lit au gré de la page qui s’ouvre, seul, à plusieurs, avec des amis ou en famille. C’est un ouvrage de connaissances mis à la disposition de tous sous un format accessible et amusant. Un bel exemple de démocratisation de la culture. Déjà ce titre. Déclarer son amour à l’inutile dans ces temps orientés vers la productivité, où le simple ménage du samedi matin est décortiqué en liste de tâches sur les réseaux sociaux, c’est mettre un pas de côté dans les injonctions à la rentabilité. Être amoureux de l’inutile, c’est laisser la place à la contemplation, à la poésie du monde qui nous entoure. Bye bye Marie Kondo. Outre les sujets abordés, les pages sont parsemées de petites notes personnelles savoureuses mêlant mauvaise foi et humour, le tout toujours enrobé de tendresse. Et ce sont de belles pages. Ce livre grand format, classé à juste titre beau livre, regorge d’illustrations (comme son titre l’indique) extrêmement bien choisies et mises en page avec une colorimétrie joyeuse qui fait oublier l’austérité contenue dans le seul mot de dictionnaire. Cependant, il ne faut pas s’y tromper, les textes bénéficient d’une belle plume, d’un rythme authentique. En effet, il suffit de les lire à haute voix pour retrouver le phrasé de François Morel. Sous couvert d’inutile, ce livre est riche d’enseignements. Beaucoup d’objets ou de concepts sont devenus inutiles car remplacés voire disparus avec les évolutions technologiques. Le lecteur voit ainsi déposés sous ses yeux nostalgiques des objets ou des slogans...
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  • Citelle 24/05/2023
    Merci aux éditions Plon / Gründ de m'avoir envoyé ce livre dans le cadre d'une masse critique. Dans cet ouvrage très drôle, François et Valentin Morel se penchent sur des choses qui ne présentent aucune utilité, aucune rentabilité, sur ce qui est improductif et ne rapporte rien. D'entrée de jeu, la couverture donne le ton : on peigne la girafe ! Puis, comme dans tout dictionnaire de ce genre, on y trouve un inventaire à la Prévert. Des rubriques un peu neutres avec l'art autoroutier, les boules à neige, le klaxon d'avion ou les plaques commémoratives. D'autres qui peuvent faire grincer des dents : L Académie Française, le rire aux enterrements, la panoplie d'homosexuel et autres blagues odieuses de Jean Carmet. Certaines sont une mise en abyme : ce livre lui-même a sa rubrique ainsi que Jacques Carelman, auteur du "Catalogue d'objets introuvables". Vous connaissez son couteau sans lame auquel il manque le manche. Parfois, au détour d'une page, l'inutile s'ajoute à l'inutile : ainsi, dans la rubrique "Aliments", on apprend que l'actrice jouant la mère supérieure dans la Grande Vadrouille a été la maîtresse d'Edmond Rostand. Ou encore, dans celle consacrée à l'Angelus, on nous rappelle que Langélus est un centurion dans l'album d'Asterix "Le combat des chefs". Au total, 270 entrées qui m'ont bien fait sourire. Hélas, cette édition a un gros inconvénient : son format. Alors que c'est le genre d'ouvrage qu'on picore avant de s'endormir, ou dans la cuisine lorsqu'on surveille d'un oeil son frichti, il faut ici toute une logistique pour le lire, vu son poids et sa taille. D'accord, il y a des illustrations pour justifier le terme de beau livre, mais je ne les ai pas ressenties comme indispensables. Je pense que j'aurais préféré lire la version brochée. Merci aux éditions Plon / Gründ de m'avoir envoyé ce livre dans le cadre d'une masse critique. Dans cet ouvrage très drôle, François et Valentin Morel se penchent sur des choses qui ne présentent aucune utilité, aucune rentabilité, sur ce qui est improductif et ne rapporte rien. D'entrée de jeu, la couverture donne le ton : on peigne la girafe ! Puis, comme dans tout dictionnaire de ce genre, on y trouve un inventaire à la Prévert. Des rubriques un peu neutres avec l'art autoroutier, les boules à neige, le klaxon d'avion ou les plaques commémoratives. D'autres qui peuvent faire grincer des dents : L Académie Française, le rire aux enterrements, la panoplie d'homosexuel et autres blagues odieuses de Jean Carmet. Certaines sont une mise en abyme : ce livre lui-même a sa rubrique ainsi que Jacques Carelman, auteur du "Catalogue d'objets introuvables". Vous connaissez son couteau sans lame auquel il manque le manche. Parfois, au détour d'une page, l'inutile s'ajoute à l'inutile : ainsi, dans la rubrique "Aliments", on apprend que l'actrice jouant la mère supérieure dans la Grande Vadrouille a été la maîtresse d'Edmond Rostand. Ou encore, dans celle consacrée à l'Angelus, on nous rappelle que Langélus est un centurion dans l'album d'Asterix "Le combat des...
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