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Dans la rue de l'école
Date de parution : 02/09/2021
Éditeurs :
Pocket

Dans la rue de l'école

Date de parution : 02/09/2021
Dans la rue de l’école, il y a des immeubles tristes et des villas chics. Dans la rue de l’école, il y a des familles, des mères seules, des pères... Dans la rue de l’école, il y a des immeubles tristes et des villas chics. Dans la rue de l’école, il y a des familles, des mères seules, des pères célibataires, des retraités, des divorcés, de la vie et des voisins. Il y a des énervés, des fatigués, des débordés,... Dans la rue de l’école, il y a des immeubles tristes et des villas chics. Dans la rue de l’école, il y a des familles, des mères seules, des pères célibataires, des retraités, des divorcés, de la vie et des voisins. Il y a des énervés, des fatigués, des débordés, des accablés, des vaincus. On entend des cris et des silences. Dans la rue de l’école, il y a autant de trajectoires qui s’évitent, de quotidiens qui se percutent, de destins qui se croisent. Comme en ce jour de rentrée des classes qui se voudrait exemplaire. Comme le jour où la petite Nour disparaît et où tout le quartier se mobilise dans un même élan, du haut au bas de la rue de l’école...
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EAN : 9782266312868
Code sériel : 18133
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 272
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266312868
Code sériel : 18133
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 272
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un roman sensible et authentique. »
L'Est républicain

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Cacha 10/04/2024
    Il s'en passe des choses dans cette rue des faubourgs ! L'autrice, professeur des écoles, raconte les jours et les nuits des familles, cela sent le vécu. Parfois, les enfants sont mieux en classe que chez eux, et c'est triste. Je me suis attachée aux personnages (du moins certain.es). Ce sont souvent les mères qui ont la charge du foyer, mais parfois aussi les pères (je pense à Kamel, devant subir l'internement de la femme qu'il aime et élevant deux fillettes au tempérament différent). Certains chapitres sont particulièrement émouvants et on a envie de les sauver tous, adultes et petits (ou presque). L'idée de raconter l'histoire par numéro d'immeuble ou de villa est bonne. Un évènement fédérateur va changer le cours des vies. Le racisme est hélas présent. Un livre réaliste que je recommande aux babélionautes.
  • geraldinebouquine 12/01/2024
    Un coup de cœur pour ce roman tout en tendresse. La rue de l’école, c’est l’histoire racontée en parallèle de plusieurs familles. De parents d’élèves, les enfants, l’épicier du coin, l’enseignante… Ces habitants qui, à l’extérieur, porte leurs masques de lumière, et qui, retranchés derrière la porte de leur appartement, retrouvent leurs propres problèmes, leurs difficultés. La rue de l’école, c’est l’histoire de beaucoup d’entre nous. Et peut-être aussi celle de ma voisine, cette personne si proche mais aussi si inconnue… Avec beaucoup de sincérité, Anouk F. décrit des moments de la vie quotidienne de ses personnages, sans jamais tomber dans le cliché. Le style, original - un changement de narrateur à chaque chapitre - fait évoluer le regard sur les autres personnages. Les enfants de ce roman, sont attendrissants, et délivrent surtout une leçon de vie : par leur silence ou au contraire leur colère exprimée, ils pointent du doigt sur ce que les adultes ne veut pas voir, aident à poser les mots sur ce que les adultes veulent taire. Tout en restant simple, Anouk F aborde des sujets de société très actuels et passe des messages forts (que je choisis de ne pas dévoiler pour les futurs lecteurs…) En lisant ce livre, je me suis sentie chez moi. Dans la rue de mon école, avec ces parents d’élèves qu’on apprend à connaître en échangeant quelques mots devant la cour, ou à l’occasion d’une fête d’anniversaire… cette école, lieu de rassemblement où les différences sont censées être gommées. Qui accueille tout le monde, avec ses problèmes, et tente d’aider à les surmonter, ou les mettre de côté, le temps d’une journée. C’est beau, touchant de simplicité, et empreint de messages loin d’être anodins. Bravo.Un coup de cœur pour ce roman tout en tendresse. La rue de l’école, c’est l’histoire racontée en parallèle de plusieurs familles. De parents d’élèves, les enfants, l’épicier du coin, l’enseignante… Ces habitants qui, à l’extérieur, porte leurs masques de lumière, et qui, retranchés derrière la porte de leur appartement, retrouvent leurs propres problèmes, leurs difficultés. La rue de l’école, c’est l’histoire de beaucoup d’entre nous. Et peut-être aussi celle de ma voisine, cette personne si proche mais aussi si inconnue… Avec beaucoup de sincérité, Anouk F. décrit des moments de la vie quotidienne de ses personnages, sans jamais tomber dans le cliché. Le style, original - un changement de narrateur à chaque chapitre - fait évoluer le regard sur les autres personnages. Les enfants de ce roman, sont attendrissants, et délivrent surtout une leçon de vie : par leur silence ou au contraire leur colère exprimée, ils pointent du doigt sur ce que les adultes ne veut pas voir, aident à poser les mots sur ce que les adultes veulent taire. Tout en restant simple, Anouk F aborde des sujets de société très actuels et passe des messages forts (que je choisis de ne pas dévoiler pour les futurs lecteurs…) En lisant ce livre, je me...
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  • celinedr 28/10/2021
    En débutant ce livre dont je ne connaissais pas l’autrice, je ne savais absolument pas à quoi m’attendre. La quatrième de couverture m’a séduite par sa simplicité, et ce dans le bon sens du terme. Les tranches de vie, les destins croisés de ceux qu’on envie pour leur belle maison ou leur situation professionnelle, de ceux qu’on plaint pudiquement en se disant qu’on ne comprend pas vraiment comment on peut en arriver là. Lorsque les classes sociales se frôlent, se toisent sans jamais se toucher ni chercher à se comprendre. Puis, quand un événement les rassemble et leur donne à réfléchir, c’est un peu de tolérance qui se dispense. Oh, avec parcimonie, toujours, mais non sans un certain effort. Il y a ceux qui pensent d’abord à eux. Il y a ceux qui ne pensent qu’à eux. Puis, il y a de ces personnes qui ne sont pas là par hasard. Qui se battent, au quotidien, pour ceux qui n’en ont plus la force. Dans La rue de l’école, on découvre toute une galerie de portraits du plus attachant ou plus détestable. Je vous laisse les découvrir dans ce livre résolument contemporain qui m’a particulièrement touchée par sa description, juste, très juste, de la vie et par ses personnages extrêmement vrais. Quand on y pense, on croise toujours beaucoup de monde dans la rue d’une école sans jamais prendre le temps de faire connaissance. Le père de…la mère de… la dame blonde…le grand monsieur aux cheveux grisonnants… le petit camarade de son fils, la voisine qui est aussi la copine du cadet…on aperçoit des silhouettes qu’on relie plus ou moins à son monde. Anouk F. s’attarde sur ces contours qu’on prend tout juste le temps de distinguer en leur donnant l’humanité que chacun mérite.En débutant ce livre dont je ne connaissais pas l’autrice, je ne savais absolument pas à quoi m’attendre. La quatrième de couverture m’a séduite par sa simplicité, et ce dans le bon sens du terme. Les tranches de vie, les destins croisés de ceux qu’on envie pour leur belle maison ou leur situation professionnelle, de ceux qu’on plaint pudiquement en se disant qu’on ne comprend pas vraiment comment on peut en arriver là. Lorsque les classes sociales se frôlent, se toisent sans jamais se toucher ni chercher à se comprendre. Puis, quand un événement les rassemble et leur donne à réfléchir, c’est un peu de tolérance qui se dispense. Oh, avec parcimonie, toujours, mais non sans un certain effort. Il y a ceux qui pensent d’abord à eux. Il y a ceux qui ne pensent qu’à eux. Puis, il y a de ces personnes qui ne sont pas là par hasard. Qui se battent, au quotidien, pour ceux qui n’en ont plus la force. Dans La rue de l’école, on découvre toute une galerie de portraits du plus attachant ou plus détestable. Je vous laisse les découvrir dans ce livre résolument contemporain qui m’a particulièrement touchée par sa description, juste, très juste,...
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  • supernova7 17/11/2020
    Ce roman faisait partie de la présélection du Prix Orange 2020 de lecteurs.com et je l’ai reçu en tant que membre du Cercle livresque alors que je ne le connaissais pas avant sa mise en avant pour le Prix. L’autrice signe ici son premier roman autour d’une école de quartier, quoi de plus normal pour une institutrice et ancienne journaliste. Elle allie ici autant son talent d’écriture que sa connaissance des difficultés rencontrées dans le milieu scolaire pour nous servir une belle lecture. Je n’aurais certainement jamais découvert ce livre de moi-même, je ne connaissais même pas son existence. Je ne l’avais jamais vu mis en évidence dans une librairie et en lisant la quatrième de couverture, je l’aurais sûrement reposé (ne le lisez d’ailleurs pas car il dévoile un élément de l’intrigue qui arrive assez tard dans le roman !). Cela aurait été dommage, j’ai passé un très agréable moment de lecture en sa compagnie ! Chaque chapitre du roman nous amène à un numéro de cette rue dont l’école constitue le pilier. Une barre d’immeuble vétuste où survit Karine et son fils, Kamel et ses filles, une épicerie de quartier tenue par le vieux Pitù, une maison cossue, une école dirigée par Marie, directrice au gant de fer dans une main de velours, tel est le décor de cette histoire. Un décor qui est aussi un personnage à part entière. Tous ces personnages se croisent sans vraiment se parler, surtout s’ils n’appartiennent pas à la même classe sociale. Le roman est réellement imprégné de questions sociétales telles que les difficultés de l’école publique, la lassitude des enseignants, l’embourgeoisement des banlieues ou encore la prise en charge des maladies mentales. D’un livre qui paraît léger au début, l’autrice nous le transforme en roman profond habité par des personnages auxquels on s’attache très facilement (à l’exception d’un seul que vous trouverez aisément en lisant le livre ;-)). La lecture est très fluide grâce aux transitions rapides entre les personnages et les unités de lieu. Le lecteur ne s’ennuie ainsi jamais. Le style est direct et simple mais les personnages sont très réussis et le lecteur est embarqué dans la mini-société que représentent cette rue et son école. On pourrait reprocher à l’autrice un manque d’épaisseur mais j’ai passé un agréable moment en tournant les pages avidement jusqu’à la fin du roman. Un premier roman que je vous invite ardemment à découvrir et une autrice à suivre assurément !Ce roman faisait partie de la présélection du Prix Orange 2020 de lecteurs.com et je l’ai reçu en tant que membre du Cercle livresque alors que je ne le connaissais pas avant sa mise en avant pour le Prix. L’autrice signe ici son premier roman autour d’une école de quartier, quoi de plus normal pour une institutrice et ancienne journaliste. Elle allie ici autant son talent d’écriture que sa connaissance des difficultés rencontrées dans le milieu scolaire pour nous servir une belle lecture. Je n’aurais certainement jamais découvert ce livre de moi-même, je ne connaissais même pas son existence. Je ne l’avais jamais vu mis en évidence dans une librairie et en lisant la quatrième de couverture, je l’aurais sûrement reposé (ne le lisez d’ailleurs pas car il dévoile un élément de l’intrigue qui arrive assez tard dans le roman !). Cela aurait été dommage, j’ai passé un très agréable moment de lecture en sa compagnie ! Chaque chapitre du roman nous amène à un numéro de cette rue dont l’école constitue le pilier. Une barre d’immeuble vétuste où survit Karine et son fils, Kamel et ses filles, une épicerie de quartier tenue par le vieux Pitù, une maison cossue, une...
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  • Marinalit 04/11/2020
    Ce roman est une très jolie surprise et pas besoin d'être prof des écoles pour l'apprécier, être emmené dans cette rue colorée qui respire la vie. . Anouk nous emmène à la découverte de cette vie qui fourmille dans ce quartier, ces personnages qui la peuplent et ces destins croisés si différents. . J'ai dévoré les pages du livre, été transportée par cette galerie de personnages que l'on a tous l'impression d'avoir déjà rencontrés. J'ai souri, et même pleuré, durant ces pages j'ai vraiment eu l'impression d'être une voisine et de vivre à leur côté.
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