Lisez! icon: Search engine
Dernier courrier avant la nuit
Simon Reggiani (préface de)
Collection : Biographies
Date de parution : 14/04/2022
Éditeurs :
Archipoche

Dernier courrier avant la nuit

Simon Reggiani (préface de)
Collection : Biographies
Date de parution : 14/04/2022
 Écrire avant qu’il ne soit trop tard. Dire à ceux qui vous sont chers qu’on les aime, avant de repartir du bon pied. Mission accomplie. […] Des pages magnifiques. » Figaro Madame
« Il est des êtres si proches qu’on n’imagine pas leur écrire, comme si les lettres étaient réservées aux absents. On ne songe pas à leur dire combien on les... « Il est des êtres si proches qu’on n’imagine pas leur écrire, comme si les lettres étaient réservées aux absents. On ne songe pas à leur dire combien on les admire ou combien on les aime. Un jour, il est trop tard…
Mes amis, mes maîtres avaient pour nom Jean Cocteau,...
« Il est des êtres si proches qu’on n’imagine pas leur écrire, comme si les lettres étaient réservées aux absents. On ne songe pas à leur dire combien on les admire ou combien on les aime. Un jour, il est trop tard…
Mes amis, mes maîtres avaient pour nom Jean Cocteau, Jacques Prévert, Pablo Picasso, Édith Piaf, Simone Signoret, Jean-Paul Sartre, Romy Schneider… À ces compagnons des jours enfuis, et à ceux qui sont, aujourd’hui, ma raison de vivre, j’ai voulu adresser un dernier mot. Un post-scriptum à une amitié, une paternité, une admiration, un amour… »
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9791039201377
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 10,8 x 17,7 mm
EAN : 9791039201377
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 10,8 x 17,7 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Joetseslivres 05/08/2022
    Connaissez-vous Serge Reggiani ? Faites-vous partie de ces personnes qui fredonnent encore certaines de ses chansons? Admirez vous l’homme qui tout comme Yves Montand, Charles Aznavour ou Jacques Brel, a mené de front et avec le même talent une carrière de chanteur et d’acteur ? #x1f4ab Si oui, alors dans ce recueil de lettres vous apprendrez à mieux connaître cet homme qui a côtoyé les plus grands noms du monde artistique (du cinéma à la littérature en passant par la peinture le théâtre et la chanson). Cet homme capable d’écrire de si jolis mots à Romy Schneider et en même temps d’adresser un courrier a l’alcool, une addiction contre laquelle j’ai découvert qu’il avait eu à se battre. Ces jolies lettres sont un voyage dans le passé, des déclarations d’amitiés (celle à Lino Ventura est si douce) des remerciements. Mais il y a aussi des lettres qui disent toute l’admiration qu’il porte aux destinataires. De magnifiques lettres puissantes (celle à son fils disparu m’a chamboulée), enrichissantes, touchantes et d’une grande sensibilité. #x2604Si non, ne manquez pas une occasion de le découvrir au travers de ses écrits. Des écrits sensibles, beaux, quelquefois drôle, parfois douloureux mais toujours talentueux. Tout un monde s’ouvrira à vous Merci à @babelio et aux @editionsdelarchipel de m’avoir donné l’opportunité de découvrir le talent d’écrivain de cet homme passionnant qui reste pour moi l’interprète inoubliable de « Il suffirait de presque rien » et de « L’italien » #babelio #massecritique #editionsl’archipel #sergereggiani #derniercourrieravantlanuit Connaissez-vous Serge Reggiani ? Faites-vous partie de ces personnes qui fredonnent encore certaines de ses chansons? Admirez vous l’homme qui tout comme Yves Montand, Charles Aznavour ou Jacques Brel, a mené de front et avec le même talent une carrière de chanteur et d’acteur ? #x1f4ab Si oui, alors dans ce recueil de lettres vous apprendrez à mieux connaître cet homme qui a côtoyé les plus grands noms du monde artistique (du cinéma à la littérature en passant par la peinture le théâtre et la chanson). Cet homme capable d’écrire de si jolis mots à Romy Schneider et en même temps d’adresser un courrier a l’alcool, une addiction contre laquelle j’ai découvert qu’il avait eu à se battre. Ces jolies lettres sont un voyage dans le passé, des déclarations d’amitiés (celle à Lino Ventura est si douce) des remerciements. Mais il y a aussi des lettres qui disent toute l’admiration qu’il porte aux destinataires. De magnifiques lettres puissantes (celle à son fils disparu m’a chamboulée), enrichissantes, touchantes et d’une grande sensibilité. #x2604Si non, ne manquez pas une occasion de le découvrir au travers de ses écrits. Des écrits sensibles, beaux, quelquefois drôle, parfois douloureux mais toujours talentueux. Tout un monde s’ouvrira à vous Merci...
    Lire la suite
    En lire moins
  • mireille 24/07/2022
    Je publie mon avis sur Dernier courrier avant la nuit, comme un hommage, 18 ans après la disparition de son auteur, décédé le 22 juillet 2004. Serge Reggiani entre dans sa 73e année quand il écrit ce deuxième livre en 1995, réédité cette année chez Archipoche, pour le centenaire de sa naissance. Pour moi, c’est un véritable plongeon dans le passé de mon adolescence, plus que nostalgique car il est associé à ma mère, partie début 1983. C’est elle qui m’a fait connaître l’acteur dont j’ai vu la plupart des films, puis le chanteur qu’elle aimait tant. Avec elle, j’ai eu la chance de l’entendre trois fois au théâtre de Dijon entre 1970 et 1982 et bien sûr à la maison avec ses disques. C’est l’occasion, à la lecture de ce livre, de les réécouter avec un plaisir infini. Dans ce recueil regroupant 44 lettres, il remémore des souvenirs joyeux, nostalgiques, émouvants dont certains destinataires ne liront pas puisque beaucoup sont déjà de l’autre côté de la lumière, peut-être pour un autre destin. Il est sûr de les rejoindre quand ce sera le moment, mais dont il n’a pas hâte qu’il arrive. Il évoque ainsi sa famille, ses amis, les femmes de sa vie, les lieux qu’il a aimés, sans oublier son chat, ses passions. En un mot : la VIE. Sa VIE, jalonnée de joie et de peine, a croisé des destins qui ont enrichi le sien, à travers différents arts dans lesquels il excella. Celui qui aurait pu devenir coiffeur à l’instar de son père, se distingua au théâtre, au cinéma, dans la chanson, puis dans la peinture, « sa compagne de ses vieux jours » et l’écriture. Et c’est sûrement grâce à sa maman, Letizia, qui aimait l’opéra et chantait quand elle faisait la cuisine ou le ménage, que Sergio est devenu ce qu'il est devenu et a réussi sa carrière de chanteur. Je publie mon avis sur Dernier courrier avant la nuit, comme un hommage, 18 ans après la disparition de son auteur, décédé le 22 juillet 2004. Serge Reggiani entre dans sa 73e année quand il écrit ce deuxième livre en 1995, réédité cette année chez Archipoche, pour le centenaire de sa naissance. Pour moi, c’est un véritable plongeon dans le passé de mon adolescence, plus que nostalgique car il est associé à ma mère, partie début 1983. C’est elle qui m’a fait connaître l’acteur dont j’ai vu la plupart des films, puis le chanteur qu’elle aimait tant. Avec elle, j’ai eu la chance de l’entendre trois fois au théâtre de Dijon entre 1970 et 1982 et bien sûr à la maison avec ses disques. C’est l’occasion, à la lecture de ce livre, de les réécouter avec un plaisir infini. Dans ce recueil regroupant 44 lettres, il remémore des souvenirs joyeux, nostalgiques, émouvants dont certains destinataires ne liront pas puisque beaucoup sont déjà de l’autre côté de la lumière, peut-être pour un autre destin. Il est sûr de les rejoindre quand ce sera le moment, mais dont il n’a pas hâte qu’il arrive. Il évoque ainsi sa famille, ses amis, les femmes de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • dido600 29/07/2020
    Recueil pudique de lettres imaginaires qui sont autant de portraits d'amis disparus, d'hommages, de souvenirs : les frères Prévert, Lino Ventura l'autre Italien, Simone Signoret, pour laquelle il porta le «Casque d'or» dans le chef-d'œuvre de Jacques Becker (1952), et bien d'autres «immortels» comme Edith Piaf, Picasso, Albert Camus. Artiste populaire, discret et humble, cette grande star qui refusait de l'être, avait acquis le statut et la stature du créateur qui passe les modes. L'homme a aussi traversé le temps. Né le 2 mai 1922, fils unique d'un coiffeur impécunieux chronique et d'une mère ouvrière qui fredonne à la maison des airs d'opéra, Le talent de Reggiani, éclectique et fou, c'est aussi la chanson. Elle vient à lui, tardivement, à 44 ans. Comme un défi lancé à lui-même et à un ami qui trouvait dans sa voix vibrante et grave exhalant le tabac brun des Gitanes, un autre moyen d'émouvoir. Dans une France qui n'aimait pas encore le mélange des genres, Jacques Canetti, découvreur de Georges Brassens et de Jacques Brel, patron des Trois Baudets, cabaret parisien des talents en herbe, lui propose d'enregistrer Boris Vian. Le disque est un succès (1966). La grande Barbara, qui lui trouve un petit chouïa d’aptitude pouvant en faire un chanteur, un vrai, avec de la voix, le fait travailler. Georges Moustaki, Serge Gainsbourg, Jean-Loup Dabadie, Albert Vidalle et Henri Gougaud feront le reste. En quelques disques seulement (Le Petit Garçon, les Loups (1967), l'Italien (1968), Ma liberté), sa réputation de chanteur émouvant est faite et son répertoire respecté est vite célébré. C'était le temps d'Arthur, du Déserteur, de Sarah, Ma solitude, Ma liberté, en attendant Madame nostalgie, Venise n'est pas en Italie, Le Barbier de Belleville, le Souffleur. Et comme Il suffirait de presque rien, d'autres auteurs viendront. Ainsi, Claude Lemesle, fidèle d'entre les fidèles, le pianiste Raymond Bernard, Claude Roy et Bernard Dimey. Mais aussi des poètes immortels Apollinaire, Baudelaire, Verlaine et Prévert. Un livre prémonitoire annonçant le grand voyage de la Camarde. Le sien, vers l’Eden des poètes, des acteurs et des chanteurs qui tutoient l’Eternel pour avoir dispensé aux mortels que nous sommes des bonheurs sublimes et parfois subliminaux ! Recueil pudique de lettres imaginaires qui sont autant de portraits d'amis disparus, d'hommages, de souvenirs : les frères Prévert, Lino Ventura l'autre Italien, Simone Signoret, pour laquelle il porta le «Casque d'or» dans le chef-d'œuvre de Jacques Becker (1952), et bien d'autres «immortels» comme Edith Piaf, Picasso, Albert Camus. Artiste populaire, discret et humble, cette grande star qui refusait de l'être, avait acquis le statut et la stature du créateur qui passe les modes. L'homme a aussi traversé le temps. Né le 2 mai 1922, fils unique d'un coiffeur impécunieux chronique et d'une mère ouvrière qui fredonne à la maison des airs d'opéra, Le talent de Reggiani, éclectique et fou, c'est aussi la chanson. Elle vient à lui, tardivement, à 44 ans. Comme un défi lancé à lui-même et à un ami qui trouvait dans sa voix vibrante et grave exhalant le tabac brun des Gitanes, un autre moyen d'émouvoir. Dans une France qui n'aimait pas encore le mélange des genres, Jacques Canetti, découvreur de Georges Brassens et de Jacques Brel, patron des Trois Baudets, cabaret parisien des talents en herbe, lui propose d'enregistrer Boris Vian. Le disque est un succès (1966). La grande Barbara, qui lui trouve un petit chouïa d’aptitude...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Baboubel 29/06/2016
    Bouleversant de sensibilité
  • Pirouette0001 15/01/2013
    Qui aime Reggiani doit lire ce livre ! Mais il n'est pas réservé aux inconditionnels. Lecture douce comme la plupart des textes de ses chansons. Suite de lettres au lecteur mais surtout à tous ceux qui ont traversé sa vie ou croisé ses pas.
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés

Lisez maintenant, tout de suite !