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La belle-mère
Maryline Beury (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 10/06/2021
Éditeurs :
Archipoche

La belle-mère

Maryline Beury (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 10/06/2021
Un suspense que les fans de Michelle Frances, Paula Hawkins, Phoebe Morgan, B.A. Paris et S.J. Watson vont dévorer !
 
Dès le début de sa relation avec Ollie, Lucy a tout fait pour s’attirer les bonnes grâces de sa belle-mère. Mais, autant Diana sait se montrer altruiste envers les réfugiés,... Dès le début de sa relation avec Ollie, Lucy a tout fait pour s’attirer les bonnes grâces de sa belle-mère. Mais, autant Diana sait se montrer altruiste envers les réfugiés, autant elle est intraitable avec ses propres enfants et leurs conjoints.

C’était il y a dix ans. Aujourd’hui, Diana vient de...
Dès le début de sa relation avec Ollie, Lucy a tout fait pour s’attirer les bonnes grâces de sa belle-mère. Mais, autant Diana sait se montrer altruiste envers les réfugiés, autant elle est intraitable avec ses propres enfants et leurs conjoints.

C’était il y a dix ans. Aujourd’hui, Diana vient de mourir. La note trouvée près de son corps indique qu’un cancer la rongeait et qu’elle n’avait plus le courage de se battre.

Mais, à l’autopsie, nulle trace de cancer. Et tout laisse penser qu’on l’a assassinée.

Qui voulait la mort de Diana ? Pourquoi son testament a-t-il été modifi é récemment et ses deux enfants déshérités ?

Un suspense qui nous entraîne au coeur d’une famille modèle. En apparence...
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EAN : 9791039200110
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 408
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9791039200110
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 408
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Candice42 12/03/2024
    Il est très difficile de catégoriser ce roman. En effet, même s’il y a meurtre, on ne peut pas qualifier ce roman de policier ou de thriller sous peine de créer des attentes chez certains futurs lecteurs qui ne seront pas comblées. Je dirai plutôt qu’on est dans un drame social. Un peu comme pour la série « Why women kill », nous connaissons dès le départ la victime et les soupçons d’homicide qui entourent sa mort. Mais à l’instar de la série, ce qui intéresse l’autrice c’est de montrer comment on en est arrivé là en remontant dans le temps et en s’intéressant à des épisodes clés dans l’évolution des relations intra-familiales. Bien sûr que l’on se pose des questions sur l’identité du suspect au fur et à mesure des révélations qui nous sont faites mais ce qui est vraiment palpitant c’est l’étude des biais sociaux entourant certaines relations. Le titre, la belle-mère, donne un indice flagrant sur la relation qui sera mise en lumière dans ce roman. L’autrice se penche sur les préjugés entourant cette relation belle-mère/belle-fille et les incidences qu’ils peuvent avoir sur l’évolution de celle-ci. Elle parvient à nous montrer à quel point ce biais social, propice aux ragots et médisances, impacte une relation entre deux femmes, qui, dans d’autres circonstances aurait pu être totalement saine. Je trouve que cette dénonciation est parfaitement réussie d’autant plus que l’autrice propose des personnages qui sont parfaitement imparfaits. Tout le monde a ses qualités et ses défauts mais aussi des attentes implicites vis-à-vis d’autrui. Et c’est là le tour de force de ce roman qui montre, grâce à ses différents points de vue, à quel point la relation aurait été facilitée si les deux femmes avaient exprimé oralement leur désir/attente. Par exemple, Lucy était demandeuse de l’affection de sa belle-mère mais n’osait pas oraliser ce besoin quand Diana, sa belle-mère, ne souhaitait pas correspondre au cliché de la femme qui se mêle sans cesse de la vie de famille de son fils. Il y a plein de petits passages émaillant le roman qui montrent les quiproquos qui se développent à cause de ce manque de communication induit par les préjugés sociaux qui entourent cette relation belle-mère/belle-fille. Cette étude, bien qu’elle soit centrale, n’est cependant pas la seule qui est faite des relations intrafamiliales. L’autrice nous propose également des réflexions intéressantes sur les attentes moindres qui entourent le rôle du beau-père. Elle se penche aussi sur la relation de Diana avec ses enfants où cette dernière tient des propos qui sont difficiles à entendre pour eux. En effet, estimant qu’ils ont toujours vécu dans l’opulence et n’ont jamais manqué de rien dans leur vie, elle ne souhaite pas les aider quand ils ont besoin d’argent, estimant qu’ils doivent se débrouiller seuls pour résoudre leur problème ou combler leur désir. C’est un point de vue qui va compliquer certaines relations et cela permet à l’autrice d’aborder un sujet qui crispe beaucoup de familles. Pour résumer, j’ai beaucoup aimé ce roman grâce à sa peinture des relations intrafamiliales. Elle est réaliste, crédible, nuancée et permet d’aller au-delà de certaines apparences. L’intrigue policière n’est donc que secondaire mais apporte du sel à cette histoire bien construite qui permet de mettre en exergue le poids des clichés et du manque de communication sur la vie réelle d’une famille. Cependant, si vous cherchez du suspens, passez votre chemin, vous serez quelque peu déçu.es.Il est très difficile de catégoriser ce roman. En effet, même s’il y a meurtre, on ne peut pas qualifier ce roman de policier ou de thriller sous peine de créer des attentes chez certains futurs lecteurs qui ne seront pas comblées. Je dirai plutôt qu’on est dans un drame social. Un peu comme pour la série « Why women kill », nous connaissons dès le départ la victime et les soupçons d’homicide qui entourent sa mort. Mais à l’instar de la série, ce qui intéresse l’autrice c’est de montrer comment on en est arrivé là en remontant dans le temps et en s’intéressant à des épisodes clés dans l’évolution des relations intra-familiales. Bien sûr que l’on se pose des questions sur l’identité du suspect au fur et à mesure des révélations qui nous sont faites mais ce qui est vraiment palpitant c’est l’étude des biais sociaux entourant certaines relations. Le titre, la belle-mère, donne un indice flagrant sur la relation qui sera mise en lumière dans ce roman. L’autrice se penche sur les préjugés entourant cette relation belle-mère/belle-fille et les incidences qu’ils peuvent avoir sur l’évolution de celle-ci. Elle parvient à nous montrer à quel point ce biais social, propice aux ragots et...
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  • ceciliablaison 08/03/2024
    Qui n’a jamais rêvé de tuer sa belle mère ? Qui n’a jamais eu envie de lui faire avaler sa perruque et ses leçons de morale ? Diana est une belle mère froide et distante, au grand désespoir de sa belle fille Lucy qui, rêve d’un peu d’attention de sa part. Un soir, la police vient annoncer la mort de Diana. Un suicide ? Un meutre ? La police enquête. Une plongée dans une double temporalité qui permet d’instaurer un petit suspense quant aux raisons de la mort de la belle mère. Très rythmé c’est un thriller psychologique/ domestique qui régalera les amateurs du genre et qui m’a fait passer un excellent moment de lecture #x1f970 Parfait pour un dimanche pluvieux ou pour prendre des notes sur les manières de … tuer sa belle mère #x1f602#x1f607
  • leslecturesdemorganne 06/03/2024
    #9997;🏼 𝗟𝗲 𝗽𝗶𝘁𝗰𝗵 : Diana, riche femme au foyer, est très impliquée dans son association d’aide aux réfugiés. On pourrait imaginer qu’elle a un grand coeur, mais avec sa famille, elle est aussi froide qu’intraitable. Lucy, sa belle-fille, n’a jamais réussi à s’attirer ses bonnes grâces. Le jour où Diana meurt, une semaine après avoir fait modifier son testament, la police trouve une note annonçant qu’elle s’est suicidée suite à un diagnostic de cancer du sein. Seulement, il n’y a aucune trace de cancer à l’autopsie. Il semblerait que l’hypothèse du suicide de tienne plus. Qui voulait la mort de Diana ? ⭐️ 𝗠𝗼𝗻 𝗮𝘃𝗶𝘀 : J’avais reçu ce roman dans une box Kube et le pitch me tentait bien. On imagine tout de suite de vilains secrets cachés derrière l’image lisse de la riche famille parfaite. La plume est fluide, en alternance des points de vue de Lucy et Diana, avec des allers-retours entre présent et passé. Le récit est rythmé, en revanche l’histoire ne m’a pas transportée. J’ai trouvé la résolution un peu facile, et finalement on n’apprend pas grand-chose pendant notre lecture. On reste pas mal en surface, notamment sur la psychologie des personnages, qui aurait mérité d’être plus creusée selon moi. Ceci dit, cela reste un roman agréable si on n’a pas envie de se torturer l’esprit ou de trop réfléchir.#9997;🏼 𝗟𝗲 𝗽𝗶𝘁𝗰𝗵 : Diana, riche femme au foyer, est très impliquée dans son association d’aide aux réfugiés. On pourrait imaginer qu’elle a un grand coeur, mais avec sa famille, elle est aussi froide qu’intraitable. Lucy, sa belle-fille, n’a jamais réussi à s’attirer ses bonnes grâces. Le jour où Diana meurt, une semaine après avoir fait modifier son testament, la police trouve une note annonçant qu’elle s’est suicidée suite à un diagnostic de cancer du sein. Seulement, il n’y a aucune trace de cancer à l’autopsie. Il semblerait que l’hypothèse du suicide de tienne plus. Qui voulait la mort de Diana ? ⭐️ 𝗠𝗼𝗻 𝗮𝘃𝗶𝘀 : J’avais reçu ce roman dans une box Kube et le pitch me tentait bien. On imagine tout de suite de vilains secrets cachés derrière l’image lisse de la riche famille parfaite. La plume est fluide, en alternance des points de vue de Lucy et Diana, avec des allers-retours entre présent et passé. Le récit est rythmé, en revanche l’histoire ne m’a pas transportée. J’ai trouvé la résolution un peu facile, et finalement on n’apprend pas grand-chose pendant notre lecture. On reste pas mal en surface, notamment sur la psychologie des personnages, qui aurait mérité d’être...
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  • dorotheehauquier 30/12/2023
    Le corps de Diana,la belle mère, est retrouvé inanimé par la police. La thèse du suicide est vite écartée et les soupçons se mêlent sur chaque membre de la famille. On découvrira une Diana, froide avec sa belle fille et une Diana qui donne sans compter à des personnes dans le besoin. L'auteure nous tient en haleine, un très bon suspens du début à la fin.
  • PLK 17/12/2023
    Le synopsis : Lorsque Lucy rencontre sa belle-mère Diana, ce ne fut guère chaleureux malgré les efforts de Lucy pour s’attirer ses bonnes grâces. Dix ans plus tard, Diana est retrouvée morte chez elle… Ce n’est pas à proprement parler un thriller ; c’est plutôt un drame familial. Un roman choral où nous suivons Lucy et Diana, la belle-fille et la belle-mère, avec des flash-back dans le passé. Tout de suite je me suis attachée à Diana.. Ce livre est une belle surprise. Un roman psychologique avec rebondissements. Il est question de relations familiales, maternité, fertilité, transmissions, deuil, blessures, désaccords, incompréhension, non-dits, argent et de ne pas se fier aux apparences… J’ai aimé aussi le thème des réfugiés déclassés... Ce livre m’a beaucoup touchée, j’ai eu de la peine pour certains personnages Très bon moment de lecture. Un regret ? La quatrième de couverture qui en raconte trop ..
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