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La princesse blanche
Sarah Dali (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 07/09/2016
Éditeurs :
Archipoche

La princesse blanche

Sarah Dali (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 07/09/2016
Angleterre, 1485. Le pays subit le conflit qui oppose les deux maisons souveraines, les Lancastre, à la rose rouge, et les York, à la rose blanche. Mais la Guerre des... Angleterre, 1485. Le pays subit le conflit qui oppose les deux maisons souveraines, les Lancastre, à la rose rouge, et les York, à la rose blanche. Mais la Guerre des Deux Roses n’a pas pour seul enjeu la couronne d’Angleterre. Elle ravage aussi le cœur d’Elisabeth York, la princesse blanche,... Angleterre, 1485. Le pays subit le conflit qui oppose les deux maisons souveraines, les Lancastre, à la rose rouge, et les York, à la rose blanche. Mais la Guerre des Deux Roses n’a pas pour seul enjeu la couronne d’Angleterre. Elle ravage aussi le cœur d’Elisabeth York, la princesse blanche, qui doit épouser Henri VII alors qu’elle aime le futur Richard III.Accepter pareille union permettrait de réunifier ce pays, que divise la guerre depuis deux décennies.Fille de la reine Elizabeth Woodville et de Edward IV d'Angleterre, les héros de La Reine clandestine, Elisabeth est-elle prête à taire son amour pour Richard pour garantir la paix du royaume ? Entre les inclinations du cœur et les obligations de la couronne, entre les York et les Lancastre, Elisabeth doit choisir. Quitte à se mettre en danger, et à entraîner le royaume avec elle… 
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EAN : 9782352879121
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 541
Format : 110 x 178 mm
EAN : 9782352879121
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 541
Format : 110 x 178 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Magali_Belgique 07/04/2024
    Cette période de l'Histoire est ma passion, pleine, entière, vibrante. Je cherche sans cesse des romans qui s'y rapportent, bien trop nombreux à mon goût, en parallèle, j'ai dévoré les biographies et ouvrages, sérieux ou moins. Evidemment, dès le départ, j'ai noté des "erreurs", certaines mineures, d'autres flagrantes, comme très souvent. Et bien, ce n'est pas grave ! le roman, puisque c'est bien de cela dont il s'agit, le nécessitait et en réalité, n'en est que meilleur. Autant je peux hurler au scandale (je pense à la série Reign, désolée pour les amateurs), autant les libertés prises ici sont insignifiantes tant le moment passé à dévorer ce livre est savoureux, intense, heureux. Je lirai certainement les autres opus, peu importe l'ordre de l'histoire, le moment devrait être aussi divin.
  • Mamyfran 21/12/2023
    La guerre des roses, j’en ignorais les péripéties qui ont opposé le clan des Lancastre (représenté par la rose rouge) au clan des York (rose blanche) au XVème siècle. Après avoir lu « La reine clandestine » (voir ma chronique) et avoir littéralement accroché au personnage emblématique d’Elizabeth Woodville qui devint reine grâce à son mariage d’amour avec Édouard IV, il me tardait de connaitre la destinée de cette famille York. Je stipule d’ailleurs qu’il est nécessaire de lire ce premier opus avant d’aborder celui-ci pour une meilleure compréhension des caractères des personnages et des enjeux politiques. Grâce à « La princesse blanche » de Philippa Gregory, l’on suit maintenant la destinée de la fille ainée de la reine douairière, Elizabeth (même prénom que sa mère) d’York. Comme chacun des membres de cette famille, il émane d’elle un capital charme, beauté et classe naturelle, héritage de leurs illustres ancêtres, ainsi que cette faculté de se faire aimer de tout un chacun. Cet aspect des York est fortement exploité par l’auteure qui ne cache pas son parti-pris pour cette maison. La victoire d’Édouard Tudor, descendant de la famille Lancastre, va bouleverser l’accession au trône. Couronné Édouard VII, celui-ci veut à tout prix se faire accepter par son peuple et, sous l’emprise de sa mère, il va épouser Elizabeth. Cette union va-t-elle enfin mettre un terme à cette incessante lutte entre les Yorkistes et les anti-Yorkistes ? On pourrait l’espérer, d’autant qu’Elizabeth va rapidement donner naissance à un héritier, fruit des York et des Lancastre. Mais c’est sans compter sur l’hypothèse développée par l’auteure dans cette intrigue, à savoir que le corps de l’héritier légitime, le tout jeune Richard d’York, emmené, emprisonné et disparu mystérieusement de la Tour de Londres, alors qu’il n’avait que 10 ans, n’a jamais été retrouvé ! Et s’il avait été sauvé et caché à l’étranger ? Et s’il réapparaissait afin de revendiquer son royaume, son titre, et évincer cet usurpateur, cet imposteur de Tudor ? La position d’Elizabeth est pour le moins délicate. Ce roman m’a permis de mieux cerner ces grandes familles anglaises moyenâgeuses. L’intérêt historique est indéniable ! La lecture est limpide et divertissante, sans temps morts. J’ai cependant préféré le premier tome, et surtout le personnage de la première Elizabeth (Woodville) à l’aura nettement plus charismatique et au caractère plus affirmé que celui de sa fille. Cette dernière est dépeinte comme une reine bridée, sans réelle volonté, sans pouvoir, partagée et déchirée… Je la ressens davantage comme un témoin d’un passage d’Histoire, avec une certaine forme de fatalisme et minée par ce complexe combat intérieur : reconnaitre son frère et réhabiliter les York ou asseoir le pouvoir de son mari « Tudor » et donc, de son fils ? La guerre des roses, j’en ignorais les péripéties qui ont opposé le clan des Lancastre (représenté par la rose rouge) au clan des York (rose blanche) au XVème siècle. Après avoir lu « La reine clandestine » (voir ma chronique) et avoir littéralement accroché au personnage emblématique d’Elizabeth Woodville qui devint reine grâce à son mariage d’amour avec Édouard IV, il me tardait de connaitre la destinée de cette famille York. Je stipule d’ailleurs qu’il est nécessaire de lire ce premier opus avant d’aborder celui-ci pour une meilleure compréhension des caractères des personnages et des enjeux politiques. Grâce à « La princesse blanche » de Philippa Gregory, l’on suit maintenant la destinée de la fille ainée de la reine douairière, Elizabeth (même prénom que sa mère) d’York. Comme chacun des membres de cette famille, il émane d’elle un capital charme, beauté et classe naturelle, héritage de leurs illustres ancêtres, ainsi que cette faculté de se faire aimer de tout un chacun. Cet aspect des York est fortement exploité par l’auteure qui ne cache pas son parti-pris pour cette maison. La victoire d’Édouard Tudor, descendant de la famille Lancastre, va bouleverser l’accession au trône. Couronné Édouard VII, celui-ci veut à tout prix se faire accepter...
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  • SafranBouquine 19/10/2023
    J'adore tous les romans de la série "Plantagenet et Tudors" de Philippa Gregory. Je regrette sans cesse qu'ils ne soient pas tous traduits, et qu'ils sortent dans le désordre. Qu'importe ! Celui-ci est un de mes préférés. On y retrouve les derniers York et Tudors là où nous les avons laissés aux tomes précédents. Rassurez-vous, chaque roman peut se lire complètement indépendamment les uns des autres. Si vous aimez les romans historiques, les complots politiques et les mystères... ce roman est pour vous ! Philippa Gregory nous livre sa version du mystère des Princes de la Tour et l'avènement de la lignée des Tudors. Même si on connaît la fin de l'Histoire, l'autrice réussit à nous happer grâce à sa plume, au style soutenue, mais accessible, qui sait rythmer son histoire. L'évolution de la reine est absolument merveilleuse, extrêmement crédible et touchante, de même que le personnage de Henri. Si vous aimez les romans historique, jetez vous sur ce roman et sur tous les Philippa Gregory en suivant !
  • PRADET 30/09/2023
    mais quelle vie épouvantable elle a eue, cette pauvre femme ! d'abord emprisonnée sous la terre pendant presque toute son enfance, puis après un court moment de bonheur avec le roi Richard, forcée d'épouser Henri Tudor qu'elle déteste pour réconcilier le royaume, et quand elle essaie de l'aimer malgré tout, encore martyrisée par sa mère qui continue de comploter pour essayer de faire remonter un York sur le trône .. bref, toute sa vie tiraillée d'un côté ou de l'autre ... un destin terriblement cruel pour une femme qui devait être très bonne et intelligente, en plus d'être magnifique !
  • miss_sylvie_lit 22/08/2023
    Ayant beaucoup aimé « la reine à la rose blanche » et ayant sous la main « la princesse blanche », j’ai donc enchainé avec cet autre roman de Philippa Grégory. « La princesse blanche » est la suite de « la reine à la rose blanche » puisqu’il raconte l’histoire de la princesse Elisabeth York, fille d’Elisabeth Woodville « la reine à la rose blanche ». Elisabeth d’York va à son tour devenir reine d’Angleterre en épousant Henri VII du clan Tudor ( elle est la mère du futur Henri VIII). Henri VII est considéré par beaucoup d’Anglais comme un usurpateur. Du coup, une bonne partie du roman, peut-être trop, est consacré à toutes les actions qu’il va mener pour montrer sa légitimité. Du coup, je trouve que ce roman tourne un peu en rond et traine un peu en longueur ! Même s’il reste agréable à lire car le style de Philippa Grégory est plaisant et l’auteur s’est toujours aussi bien documentée sur le sujet, je vais faire une petite pause dans la lecture de ses romans.
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