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La Seconde Guerre mondiale
Collection : Tempus
Date de parution : 30/08/2018
Éditeurs :
Perrin

La Seconde Guerre mondiale

Collection : Tempus
Date de parution : 30/08/2018
Le livre-référence en français sur la Seconde Guerre mondiale. "L'histoire totale d'une guerre totale".
Il y a plus de soixante-dix ans, la bataille de Berlin puis Hiroshima marquaient la fin du conflit le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité. Débuté en septembre 1939 avec... Il y a plus de soixante-dix ans, la bataille de Berlin puis Hiroshima marquaient la fin du conflit le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité. Débuté en septembre 1939 avec l’invasion de la Pologne par Hitler, celui-ci donne l’impression jusqu’en 1941 d’une victoire de la Wehrmacht, qui a révolutionné l’art... Il y a plus de soixante-dix ans, la bataille de Berlin puis Hiroshima marquaient la fin du conflit le plus meurtrier de l’histoire de l’humanité. Débuté en septembre 1939 avec l’invasion de la Pologne par Hitler, celui-ci donne l’impression jusqu’en 1941 d’une victoire de la Wehrmacht, qui a révolutionné l’art de la guerre par le Blitz. Le tournant majeur intervient fin 1941, lorsque la guerre – essentiellement européenne – devient mondiale avec Pearl Harbor, tandis que l’armée allemande cale devant Moscou. S’ensuivent plus de trois ans d’affrontements titanesques au cours desquels la modernisation technologique va de pair avec la barbarisation dont témoigne en particulier la Shoah.
Conjuguant brillamment le fond et la forme, maîtrisant les questions militaires, diplomatiques et économiques, passant d’un front à l’autre d’une plume alerte, émaillant son texte de portraits enlevés des principaux contemporains, Claude Quétel raconte avec maestria ce quinquennat-charnière de l’histoire du xxe siècle.
 
Historien et ancien directeur du mémorial de Caen, Claude Quétel a publié de nombreux ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale, parmi lesquels L’Impardonnable Défaite.
 
Citations dans le cartouche couleurs :
 
« […] Ce livre réalise une sorte d’exploit : nous faire comprendre mieux cette histoire dont on sait tout. »
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« Après John Keegan, Liddell Hart et Antony Beevor, Claude Quétel a relevé le défi avec ce grand livre d’histoire. »
Ouest-France
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EAN : 9782262076481
Code sériel : 734
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782262076481
Code sériel : 734
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

"Après John Keegan, Liddel Hart et Anthony Beevor, Claude Quétel a relevé le défi avec ce grand livre d'histoire"
Ouest-France

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Thomas_Harnois 01/12/2020
    Même si on croit tout connaitre ou presque de la Seconde guerre mondiale, l’ouvrage de Claude Quétel a réussi le tour de force de me passionner par son approche certes exhaustive avec force de statistiques à l’appui, mais en battant en brèche certaines idées toute faites s’apparentant certes à des détails de l’Histoire, mais révélant toutefois un point de vue intéressant. Ainsi on apprend que l’armée allemande était loin d’être invincible lorsqu’elle déclencha la guerre, mais qu’elle a bénéficié de la passivité et de la mauvaise organisation de ses adversaires, du reste bluffés par la roublardise d’Hitler. Le mythe de l’invincibilité allemande sera ébréché lorsqu’elle butera sur l’héroïque résistance anglaise porté par un Churchill devenu légendaire puis tombera face aux deux poids lourds mondiaux, les États-Unis et l’URSS, formidables réservoirs humains, naturels et industriels. Aveuglé par son idéologie raciste, le Japon commettra la même erreur et en subira les conséquences. Hyper centralisée autour de son führer paranoïaque et imprévisible, l’armée allemande ne sera pas aussi organisée qu’on le pense et commettra sans doute plusieurs erreurs stratégiques lourdes en se privant de ses meilleurs généraux mis sur la touche par Hitler lorsqu’ils osaient le contredire. Mais la Seconde guerre mondiale est surtout pour moi le récit de l’horreur absolue, d’une somme incommensurable de souffrance, de morts et de combats acharnés passés sous silence comme la résistance valeureuse des Grecs, des Hongrois ou des Polonais face à plus fort qu’eux. Il est donc logique que cette course à la démesure ait conduit à émergence du moyen d’annihilation suprême : la bombe atomique. Alors qu’une guerre est en cours contre le terrorisme islamique, largement moins menaçant que l’Allemagne nazi ou le Japon impérial, la Seconde guerre mondiale demeure une référence passionnante pour qui veut comprendre la dangerosité d’une idéologie totalitaire couplée avec d’importants moyens techniques nés d’une organisation démente mais rationalisée à l’extrême.Même si on croit tout connaitre ou presque de la Seconde guerre mondiale, l’ouvrage de Claude Quétel a réussi le tour de force de me passionner par son approche certes exhaustive avec force de statistiques à l’appui, mais en battant en brèche certaines idées toute faites s’apparentant certes à des détails de l’Histoire, mais révélant toutefois un point de vue intéressant. Ainsi on apprend que l’armée allemande était loin d’être invincible lorsqu’elle déclencha la guerre, mais qu’elle a bénéficié de la passivité et de la mauvaise organisation de ses adversaires, du reste bluffés par la roublardise d’Hitler. Le mythe de l’invincibilité allemande sera ébréché lorsqu’elle butera sur l’héroïque résistance anglaise porté par un Churchill devenu légendaire puis tombera face aux deux poids lourds mondiaux, les États-Unis et l’URSS, formidables réservoirs humains, naturels et industriels. Aveuglé par son idéologie raciste, le Japon commettra la même erreur et en subira les conséquences. Hyper centralisée autour de son führer paranoïaque et imprévisible, l’armée allemande ne sera pas aussi organisée qu’on le pense et commettra sans doute plusieurs erreurs stratégiques lourdes en se privant de ses meilleurs généraux mis sur la touche par Hitler lorsqu’ils osaient le contredire. Mais la Seconde guerre mondiale est surtout pour moi le récit...
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  • polarjazz 23/11/2016
    L’auteur offre au lecteur un récit innovant concernant la plus tragique des guerres modernes du XXème siècle. La seconde guerre mondiale a débuté bien avant les dates usuelles que nous connaissons : 1939 à 1945. Le second conflit du siècle dernier résulte du traité de Versailles qui met fin à la première guerre mondiale et met en coupe réglée l’Allemagne. La toute jeune république de Russie, la révolution bolchevique date de 1917, a des vues sur ces voisins baltes et polonais. A cela s’ajoute la crise économique de 1929 qui naît aux Etats-Unis et s’étend à l’Europe exsangue. De plus, les politiques des vainqueurs entraînent de la rancœur et n’arrangent pas les relations avec les perdants, en premières lignes, l’Allemagne. Cette rancœur, se transforme en colère et en haine qui accouche du fascisme et du nazisme. Suite à ce prologue, Claude Quétel décrit la montée des extrémismes et l’ascension d’Adolph Hitler jusqu’à la chancellerie allemande. Le IIIème Reich succède à la république de Weimar. Clandestinement, il avance ses pions en signant avec son pire ennemi le Pacte germano-soviétique pour avoir les coudées franches en Europe de l’Ouest. Dans le même temps, il étend la sphère des peuples allemands (Anschluss). La Guerre d’Espagne lui a permis d’expérimenter ses troupes et ses armes. Il ne lui reste plus qu’à trouver le motif qui déclenchera les hostilités. La seconde guerre mondiale est déclenchée par l’invasion de la Pologne par l’Allemagne. La Grande Bretagne puis la France déclare la guerre à l’Allemagne. En quelques mois, le destin de l’Europe de l’Ouest est scellé. La Grande Bretagne reste seule sous le feu de l’ennemi. Elle résiste vaillamment soutenue par les Etats-Unis grâce aux prêts-bail (dont profitera l’Union Soviétique plus tard et la Chine) et à la livraison d’armes et de nourriture. Après l’Europe de l’Ouest, Hitler intervient en Afrique (guerre du désert) et ouvre un second front à l’Est où les troupes allemandes s’enlisent. Les combats y sont terribles. Le bolchevisme doit être détruit. Exécutions, massacres de masse qui prédisent la solution finale. Mais la guerre ne se résume pas seulement à des mouvements de troupe. Claude Quétel aborde d’autres sujets tels que l’état des forces en présence. Il analyse l’ouvrage d’Adolph Hitler « Mein Kampf, sorte de journal intime écrit durant son incarcération après le putsch manqué de novembre 1923. Il rapporte des anecdotes telles les paroles de Staline à l’encontre d’Adolph Hitler : « En temps de guerre, je suis capable de m’entendre avec le diable et avec sa grand-mère » ; le surnom donné à Pierre Laval chef du gouvernement à partir de 1942 : « Bougnaparte ». Il met en parallèle le discours de De Gaulle exhortant le peuple français à résister à l’envahisseur et le discours de Pétain qui entre dans la collaboration. Il invite le lecteur à découvrir des hommes et des femmes qui luttent pour la liberté même en Allemagne à travers des réseaux clandestins. Chaque bord mobilise une autre arme formidable : la propagande, en créant son ministère. Le cinéma y joue un rôle indispensable. L’entrée du Japon dans la guerre entraîne à sa suite les Etats-Unis. Hitler présume que les américains vont orienter leur force militaire contre le Japon dans une bataille du pacifique. Mais les Etats-Unis sont immenses. Les usines tournent à plein régime grâce aux femmes qui entrent à leur manière dans le conflit. Sous les bombes, l’Allemagne contraint les pays sous sa coupe à lui fournir des contingents de travailleurs pour soutenir l’effort de guerre. En France ce sera le STO (le service du travail obligatoire). En 1942, la zone libre est envahie. La France est donc totalement occupée. La même année, l’Axe perd l’Afrique du Nord ce qui permet aux alliés d’envisager un second front fortement sollicité par Staline. En Russie, la guerre est totale ; comme pour la Chine envahie par le Japon dès 1937. Depuis 1942, la guerre du pacifique se déroule sur mer et sur terre. Les américains affrontent les japonais sur chaque mètre carré. Avant l’opération Overlord, les alliés débarquent en Sicile. L’Italie capitule. Benito Mussolini et sa maîtresse sont massacrés. Les alliés débarquent le 6 juin 1944 en Normandie, appuyés par les résistants. A l’Est, le rouleau compresseur russe avance vers l’Allemagne. L’invasion des pays baltes qui ont collaboré avec l’Allemagne s’accompagne, de viols et de tueries. C’est l’offensive Bagration. A nouveau, les populations fuient devant les armées russes. L’Allemagne n’est plus. Hitler s’est suicidé. La conférence de Potsdam débute le 17 juillet 1945. Truman a remplacé Roosevelt à la présidence des Etats-Unis. Le Japon connaîtra bientôt la bombe atomique (Hiroshima puis Nagasaki). La seconde guerre mondiale s’achève sur les procès de Nuremberg et de Tokyo. Dorénavant, deux blocs s’affrontent. C’est la guerre froide. « Cette bipolarisation idéologique entre les deux Grands se manifeste d’autant plus vite que l’Europe a perdu tout pouvoir. En conclusion, c’est un ouvrage très complet. L’auteur offre au lecteur un récit innovant concernant la plus tragique des guerres modernes du XXème siècle. La seconde guerre mondiale a débuté bien avant les dates usuelles que nous connaissons : 1939 à 1945. Le second conflit du siècle dernier résulte du traité de Versailles qui met fin à la première guerre mondiale et met en coupe réglée l’Allemagne. La toute jeune république de Russie, la révolution bolchevique date de 1917, a des vues sur ces voisins baltes et polonais. A cela s’ajoute la crise économique de 1929 qui naît aux Etats-Unis et s’étend à l’Europe exsangue. De plus, les politiques des vainqueurs entraînent de la rancœur et n’arrangent pas les relations avec les perdants, en premières lignes, l’Allemagne. Cette rancœur, se transforme en colère et en haine qui accouche du fascisme et du nazisme. Suite à ce prologue, Claude Quétel décrit la montée des extrémismes et l’ascension d’Adolph Hitler jusqu’à la chancellerie allemande. Le IIIème Reich succède à la république de Weimar. Clandestinement, il avance ses pions en signant avec son pire ennemi le Pacte germano-soviétique pour avoir les coudées franches en Europe de l’Ouest. Dans le même temps, il étend la sphère des peuples allemands...
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