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La solution à 7%
Rosine Fitzgerald (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 15/06/2023
Éditeurs :
Archipoche

La solution à 7%

Rosine Fitzgerald (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 15/06/2023
Quand Sigmund Freud prête main forte à Sherlock Holmes : le plus célèbre roman de Nicholas Meyer enfin réédité
 
Le plus célèbre pastiche holmésien
 
« J’ai eu la chance insigne d’être le témoin, le chroniqueur et parfois le second de M. Sherlock Holmes… Les dix années qui se sont écoulées depuis...
Le plus célèbre pastiche holmésien
 
« J’ai eu la chance insigne d’être le témoin, le chroniqueur et parfois le second de M. Sherlock Holmes… Les dix années qui se sont écoulées depuis sa mort m’ont donné tout le temps de méditer sur sa personnalité… J’en suis venu à prendre conscience que l’émotivité...
Le plus célèbre pastiche holmésien
 
« J’ai eu la chance insigne d’être le témoin, le chroniqueur et parfois le second de M. Sherlock Holmes… Les dix années qui se sont écoulées depuis sa mort m’ont donné tout le temps de méditer sur sa personnalité… J’en suis venu à prendre conscience que l’émotivité était un élément de sa nature qu’il cherchait à supprimer… et il prenait aussi de la cocaïne. »
Ainsi commence le manuscrit inédit du Dr Watson, qu’il rédigea en 1939 dans un hospice du Hampshire, âgé de 87 ans. Ce que révèle ce document est à peine croyable : l’addiction du célèbre détective avait atteint un stade irréversible, au point de déclencher des crises de paranoïa délirante…
C’est du moins la conclusion qui s’impose au Dr Watson, le jour où son ami se dit poursuivi par son ennemi héréditaire, l’odieux professeur Moriarty. Mais l’agitation de Holmes, ses propos incohérents font redouter le pire à Watson, qui décide de l’emmener se faire soigner à Vienne par un certain docteur… Freud.
Bientôt, le génial enquêteur et le détective de l’âme se trouvent mêlés à une machination dont une jeune fille semble l’innocente victime…
 
« Lire la première enquête de Sherlock Holmes par Nicholas Meyer a forgé ma vocation d’écrivain. », Michael Chabon (Prix Pulitzer)
 
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EAN : 9791039203609
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9791039203609
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • licorne85 25/10/2023
    Un excellent pastiche de Sherlock Holmes. Il en existe beaucoup ! celui ci est très intéressant et très bien mis en scène, il est respectueux de l'univers d' Arthur Conan Doyle. On apprend beaucoup de choses sur Sherlock, notamment pourquoi il aime si peu les femmes et pourquoi il déteste tant Moriarty, sa rencontre avec Freud est passionnante, cela donne des dialogues ciselés. A découvrir !
  • Caro17 07/10/2023
    Un pastiche holmésien original. L'auteur dit être entré en possession d'un manuscrit inédit de John H Watson que celui-ci a rédigé dans un hospice du Hampshire en 1939, dix ans après la mort de Sherlock Holmes et après la mort d'un certain personnage, ce qui lui permet de ne plus garder secret des événements qui se sont produits en 1891. Ce document révèle la forte addiction du célèbre détective à la cocaïne, au point de déclencher des crises de paranoïa délirante. C'est du moins la conclusion qui s'impose au Dr Watson, le jour où son ami se dit poursuivi par les hommes du professeur Moriarty, le Napoléon du crime ! Mais l'agitation de Holmes et ses propos incohérents font redouter le pire à Watson qui décide de l'emmener se faire soigner à Vienne par un certain Dr Sigmund Freud. Bientôt, nos deux amis et Freud se retrouvent mêlés à une machination dont une jeune fille semble l'innocente victime. Cela fait un moment que je voulais lire ce roman et j'ai profité de cette réédition pour le découvrir. Comment ça le génie du crime Moriarty ne serait qu'une invention de SH causée par son addiction à la fameuse solution diluée à 7 % ? Il fallait oser et je reconnais que la théorie proposée est intéressante même si je n'y adhère pas. Le final qui donne une autre explication à la disparition de SH est sympathique et amusant. Une lecture divertissante avec une poursuite en train rocambolesque (et un peu trop longue à mon goût) avec une lutte finale entre Holmes et le « méchant » encore plus épique que celle des chutes du Reichenbach.Un pastiche holmésien original. L'auteur dit être entré en possession d'un manuscrit inédit de John H Watson que celui-ci a rédigé dans un hospice du Hampshire en 1939, dix ans après la mort de Sherlock Holmes et après la mort d'un certain personnage, ce qui lui permet de ne plus garder secret des événements qui se sont produits en 1891. Ce document révèle la forte addiction du célèbre détective à la cocaïne, au point de déclencher des crises de paranoïa délirante. C'est du moins la conclusion qui s'impose au Dr Watson, le jour où son ami se dit poursuivi par les hommes du professeur Moriarty, le Napoléon du crime ! Mais l'agitation de Holmes et ses propos incohérents font redouter le pire à Watson qui décide de l'emmener se faire soigner à Vienne par un certain Dr Sigmund Freud. Bientôt, nos deux amis et Freud se retrouvent mêlés à une machination dont une jeune fille semble l'innocente victime. Cela fait un moment que je voulais lire ce roman et j'ai profité de cette réédition pour le découvrir. Comment ça le génie du crime Moriarty ne serait qu'une invention de SH causée par son addiction à la fameuse solution diluée à 7 % ? Il fallait oser et je...
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  • Apoapo 20/03/2022
    Dans la foulée d'une lecture sur le jeune Freud pratiquant l'hypnothérapie, et dans le contexte d'un approfondissement sur les drogues que je suis en train d'ébaucher depuis quelques mois, ce pastiche d'un policier de Conan Doyle par Nicholas Meyer tombait à propos. Il est notoire qu'Arthur Conan Doyle avait une connaissance précise des fumeries d'opium londoniennes de son époque et qu'il était lui-même consommateur de cocaïne, à l'instar de son héros, Sherlock Holmes, qui en fait un usage régulier exaspérant pour son compère le Dr. Watson, comme il apparaît dans plusieurs de leurs aventures. J'apprends de Cécile Guilbert (Écrits stupéfiants, p. 1196 et passim) que Doyle avait fait des études de médecine à Vienne dans les années 1880, et de la postface de remerciements de Meyer que plusieurs « Sherlockiens » avaient imaginé avant lui une possible rencontre entre Holmes et Sigmund Freud autour du thème de cette drogue qu'il a expérimentée lui aussi et sur laquelle il a laissé quelques pages étonnantes. La bibliographie sherlockienne se montant à des centaines de volumes, un auteur de bonne volonté a pu réaliser le récit d'une telle rencontre dans le respect de l'univers littéraire doylien. L'ayant campé à la fin avril 1891, il est cohérent également vis-à-vis de la biographie freudienne d'imaginer que le docteur viennois ait pu soigner le détective britannique de son addiction par l'hypnose. Et Meyer d'y ajouter une aventure d'esthétique cinématographique contemporaine, non dépourvue d'éléments qui font penser à James Bond : péril d'une guerre de grande ampleur, enlèvement d'une jeune femme, poursuite et cascade sur le toit d'un wagon etc. Les personnages sont très bien caractérisés, de même que l'atmosphère viennoise (avec ses cafés et son antisémitisme) qui n'a pas beaucoup à envier au soin que Doyle a apporté à décrire celle des différents quartiers de Londres victorien. Je n'ai relevé que deux petites incohérences par rapport à Freud : au moment de l'histoire, il n'avait pas encore emménagé au 19 de la Berggasse et a fortiori le papier peint de son bureau ne pouvait pas y être décoloré au point de révéler l'ancienne présence sur les murs de diplômes ensuite retirés ; et la petite fille pour laquelle Holmes joua du violon ne pouvait pas être Anna, mais bien sa sœur aînée Mathilde, âgée alors de quatre ans. Par contre, je suis conquis par l'hypothèse psychanalytique concernant la cocaïnomanie du détective, par la description de son sevrage, et surtout captivé par la thèse implicite que la dépendance au narcotique ait amplifié sa névrose obsessionnelle concernant le Pr. Moriarty, dont la trame romanesque laisse ouverte l'éventualité d'une profondeur caractérielle (dans la malfaisance) que ni Holmes (sous hypnose) ni même Freud ne saisissent entièrement : « De toute évidence, le Pr Moriarty avait, dans cette affaire, joué un rôle plus important que celui que lui attribuait Holmes (ce qui expliquait que Mycroft Holmes eût prise sur lui), mais je savais que, dans l'ensemble, le Dr Freud avait raison. » (p. 241)...Dans la foulée d'une lecture sur le jeune Freud pratiquant l'hypnothérapie, et dans le contexte d'un approfondissement sur les drogues que je suis en train d'ébaucher depuis quelques mois, ce pastiche d'un policier de Conan Doyle par Nicholas Meyer tombait à propos. Il est notoire qu'Arthur Conan Doyle avait une connaissance précise des fumeries d'opium londoniennes de son époque et qu'il était lui-même consommateur de cocaïne, à l'instar de son héros, Sherlock Holmes, qui en fait un usage régulier exaspérant pour son compère le Dr. Watson, comme il apparaît dans plusieurs de leurs aventures. J'apprends de Cécile Guilbert (Écrits stupéfiants, p. 1196 et passim) que Doyle avait fait des études de médecine à Vienne dans les années 1880, et de la postface de remerciements de Meyer que plusieurs « Sherlockiens » avaient imaginé avant lui une possible rencontre entre Holmes et Sigmund Freud autour du thème de cette drogue qu'il a expérimentée lui aussi et sur laquelle il a laissé quelques pages étonnantes. La bibliographie sherlockienne se montant à des centaines de volumes, un auteur de bonne volonté a pu réaliser le récit d'une telle rencontre dans le respect de l'univers littéraire doylien. L'ayant campé à la fin avril 1891, il est...
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  • Christian_Attard 03/12/2021
    Sans l’incroyable découverte de ce manuscrit inédit du dr Watson, il est probable que nous n’aurions jamais su que Sherlock Holmes abusait de la cocaïne et surtout qu’il rencontra un esprit aussi délié que le sien, en la personne de dr. Sigmund Freud. En parfait continuateur d’Arthur Conan Doyle, Nicholas Meyer rapporte fidèlement le récit que fit le bon docteur. L’ouvrage est vif, érudit et bourré de clins d’oeil. Watson a ici la belle part, ce qui ne peut que nous incliner à penser qu’il a légèrement tourné cette aventure à son avantage et j’ignorais aussi que Sigmund Freud fut aussi « physique ». Un agréable divertissement qui a débouché sur une adaptation cinématographique par l’auteur, himself, sous le titre saugrenu de « Sherlock Homes attaque l’Orient-Express ».
  • Boblinux 10/02/2021
    Ah enfin un bon pastiche , bien écrit , sans justification ni étalage de références Holmesienes gratuites! L#x2019histoire est originale est sympathique, une cure de désintoxication de Holmes chez Sigmud Freud qui donne lieu à une enquête convaincante. On retrouve la puissance de déduction de Sherlock, la psychanalyse de Sigmund saupoudré d#x2019une étonnante course poursuite en train! Un bon pastiche pour les amateurs, un bon roman pour les autres ...
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