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Le parfum des fraises sauvages
Florence Bertrand (traduit par), Alexander McCall Smith (préface de)
Date de parution : 04/05/2017
Éditeurs :
10/18

Le parfum des fraises sauvages

Florence Bertrand (traduit par), Alexander McCall Smith (préface de)
Date de parution : 04/05/2017
Mary Preston est invitée par sa tante à passer l'été à Rushwater House, splendide villa dans la campagne anglaise. La saison s'annonce pleine d'insouciance. Mais c'était sans compter le séduisant... Mary Preston est invitée par sa tante à passer l'été à Rushwater House, splendide villa dans la campagne anglaise. La saison s'annonce pleine d'insouciance. Mais c'était sans compter le séduisant David, l'artiste de la famille, mauvais parti pour une jolie jeune fille sans fortune... Entre les balades au clair de... Mary Preston est invitée par sa tante à passer l'été à Rushwater House, splendide villa dans la campagne anglaise. La saison s'annonce pleine d'insouciance. Mais c'était sans compter le séduisant David, l'artiste de la famille, mauvais parti pour une jolie jeune fille sans fortune... Entre les balades au clair de lune et le bal tant espéré, cet été comblera-t-il le cœur de Mary ? Publiée en 1934, cette comédie romantique effrénée, aux personnages excentriques et attachants, est un bijou vintage, dans la lignée de Nancy Mitford. Follement drôle et irrésistible.
 
« Là où Anthony Trollope vous tire un gloussement, Angela Thirkell vous provoque un fou rire. »
Kirkus Review
 
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EAN : 9782264069122
Code sériel : 5206
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264069122
Code sériel : 5206
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • roxymusic 17/07/2023
    Ce roman raconte la vie d'une famille bourgeoisie anglais qui réçoit, chez elle, une jeune fille on suit ensuite l'été que vont vivre ces personnages entre reception, thé et émois sentimentaux. Pourtant assez amatrice de ce genre de roman, j´ai trouvé celui ci assez longuet et sans saveur. Il est néanmoins bien écrit.
  • Since_1989 06/07/2023
    Quel plaisir de retrouver la plume hilarante d'Angela Thirkell. J'avais adoré "High Rising". Ce roman-là a définitivement validé mon attachement à cette auteure 😊 On embarque cette fois, le temps d'un été, dans la famille Leslie. Famille nombreuse et déjantée ! Très tôt, Angela Thirkell dresse les portraits exagérés mais toujours savoureux de ses personnages : Lady Emily, à la tête de cette famille, qui n'a plus aucun filtre et perd justement un peu la boule. Sa fille Agnès a bien peu d'autorité sur ses 3 enfants. John, veuf depuis 7 ans, se prend d'affection pour leur cousine éloignée, Mary. Qui est elle-même sous le charme du beau mais trop séducteur David... Le frère d'Agnès et John. Vous suivez ? 😁 . Avec un comique de répétition et des répliques toujours bien senties, Angela Thirkell dépeint cette histoire d'amour avec drôlerie. Perso, j'en suis fan ! C'est léger et rafraîchissant !
  • benemlire 04/12/2022
    C'est un témoignage intéressant sur une période révolue. C'est une histoire légère et fraîche comme un verre de citronnade par un après midi anglais de canicule. C'est le quotidien des jeunes gens fortunés et oisifs, qui est relaté, avec des personnages certes gentils, mais caricatiraux, et désireux de se faire plaisir les uns aux autres.
  • hervethro 20/11/2022
    Un manoir ou encore une demeure massive, nichée dans un parc à la pelouse méticuleusement entretenue, entouré d’un petit bois où les animaux sauvages trouvent un havre de paix. Un jardinet essentiellement composé de fleurs, une roseraie. Des allées de gravillon, un terrain de cricket. Le timide soleil du sud de l’Angleterre accompagné de ses fréquentes ondées. Et partout le calme d’une campagne aristocratique. Qu’il doit être reposant de venir y passer quelques jours, mieux deux ou trois semaines, allez, soyons fous et campons ici pour toute la saison. Ces délicieuses fraises des bois sont un peu l’Orgueil Préjugés augmenté d’un humour très british. On badine, on planifie, on organise, on passe son temps à mettre en place des diners, des soirées, des bals, l’agencement de la maison qui pose ô combien de soucis. Mais d’autres les exécuteront à notre place. Ces fraises sont avant tout une galerie de personnages hauts en couleur, à la limite de la parodie et terriblement comiques sans qu’ils s’en rendent le moindre compte. D’abord, la maitresse maison, lady Emily, vaguement distraite, qui passe sa vie à donner des ordres contradictoires, se répandre en préparatifs divers et perdre un temps fou à mettre en place des agencements futiles et d’autres emplois de temps qui, à force de maints et maints retournements se trouvent dérisoires. Emma Thompson serait parfaite dans une adaptation cinématographique. Vient ensuite son mari, Mr Henry Leslie, qui se situe bien au-dessus de tous ces désagréments domestiques ou autres considérations purement frivoles. S’investissant totalement dans la gestion de son domaine, il n’a d’intérêt que pour ses taureaux et du difficile casse-tête de leur trouver un nom. Leurs enfants : John, veuf, fait figure de la seule personne censée de la maisonnée, son frère David, inconséquent et superficiel, cultivant une forme de légèreté dans ses rapports avec les femmes, séducteur dans l’âme et grand amateur de jazz (l’action se situe dans les années 1920) - Hugh Grant aurait été idéal s’il pouvait conserver ses 25 ans éternellement. Enfin un troisième, mort à la guerre, laissant un fils, Martin, qui fêtera ses 17 printemps à la fin du roman. Il échappe à un séjour linguistique sur le continent pour parfaire son français par l’heureux hasard qui veut que le curé, Mr Banister, loue le presbytère à une famille française particulièrement bien tournée, en particulier « Madame » Boule (on notera le jeu de mots avec les taureaux de Mr Leslie), qui est le pendant exubérant de Lady Emily. Sa famille est composé d’un mari, là encore effacé, et de trois adolescents : Pierre, l’ainée et endossant le rôle de professeur de français auprès de Martin (en l’occurrence Martine, vu que Madame Boule met autant de méticulosité à s’exprimer dans la langue de Shakespeare qu’à reprendre incessamment les fautes de français de son élève), qui vouera une passion aussi infinie que discrète par quelques poèmes enflammés dont il ne produit que deux ou trois vers à Agnès, l’unique sœur de John et David, affublée de trois marmots, sortes de petits diables auxquels elle passe tout, se reposant sur une nurse et son aide pour ce qui ressort de l’ordre domestique. Je l’ai tout de suite vue sous les traits de Michelle Pfeiffer. Son mari, Robert, est absent, tout comme la mère de Martin. Ursule, sœur de Pierre, qui n’est ni plus ni moins qu’un estomac sur pattes et Jean-Claude qui voue une passion à l’héritier supposé du trône de France, le duc de Guise, au nom duquel il tentera un attentat à la bannière de la fleur de lys. L’intendant, Gudgeon, homme à tout faire, en particulier à pousser la chansonnette. On croise également la visite d’un flagorneur, égoïste en diable et pédant par-dessus le marché, Mr Holt dont chacun désire se débarrasser sans manquer à la plus élémentaire courtoisie. Enfin, l’arrivée pour toute la période de l’été d’une cousine, Mary Preston, va enflammer les cœurs. Elle sera toutefois mise en concurrence avec une certaine miss Joan Stevenson, productrice à la radio. Tout ce petit monde évolue dans la campagne anglaise où plane constamment un parfum d’ironie et une légèreté sucrée. Doux comme une poignée de fraises des bois. Un manoir ou encore une demeure massive, nichée dans un parc à la pelouse méticuleusement entretenue, entouré d’un petit bois où les animaux sauvages trouvent un havre de paix. Un jardinet essentiellement composé de fleurs, une roseraie. Des allées de gravillon, un terrain de cricket. Le timide soleil du sud de l’Angleterre accompagné de ses fréquentes ondées. Et partout le calme d’une campagne aristocratique. Qu’il doit être reposant de venir y passer quelques jours, mieux deux ou trois semaines, allez, soyons fous et campons ici pour toute la saison. Ces délicieuses fraises des bois sont un peu l’Orgueil Préjugés augmenté d’un humour très british. On badine, on planifie, on organise, on passe son temps à mettre en place des diners, des soirées, des bals, l’agencement de la maison qui pose ô combien de soucis. Mais d’autres les exécuteront à notre place. Ces fraises sont avant tout une galerie de personnages hauts en couleur, à la limite de la parodie et terriblement comiques sans qu’ils s’en rendent le moindre compte. D’abord, la maitresse maison, lady Emily, vaguement distraite, qui passe sa vie à donner des ordres contradictoires, se répandre en préparatifs divers et perdre un temps fou à mettre en...
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  • Justine_of_Delaford 10/09/2021
    J'ai beaucoup aimé l'ambiance pleine de légèreté de cette histoire de famille où l'on suit de nombreux personnages aux personnalités variées. Il m'a tout de même fallu un petit moment pour m'y retrouver avec tout ce petit monde ;) J'ai un faible pour David, l'oncle très drôle toujours prêt à sortir une bêtise, et pour son frère John, un peu plus grave en raison du drame de sa vie mais si attentionné. Mary est une parodie d'héroïne de roman a l'eau de rose à elle seule mais elle est attachante. Agnès est très drôle avec son impassibilité et sa façon d'être a côté de la plaque face à ce qui se passe devant elle, et enfin Lady Emily m'a amusé avec son côté tête en l'air ! Quant à Martin, il m'a fait rire plus d'une fois ! Vous l'avez compris, la plupart des personnages sont un peu cocasses et j'ai bien ri en compagnie de ce petit monde, que ce soit par leurs réflexions ou par la narration d'Angela Thirkell, vive et drôle.
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