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Paroles de Verdun
Jean-Pierre Guéno (auteur, préface de), Jean-Pierre Guéno (auteur, préface de)
Collection : Tempus
Date de parution : 04/02/2016
Éditeurs :
Perrin

Paroles de Verdun

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Jean-Pierre Guéno (auteur, préface de), Jean-Pierre Guéno (auteur, préface de)
Collection : Tempus
Date de parution : 04/02/2016
L’« enfer de Verdun » à travers les lettres des poilus.
Du 21 février au 18 décembre 1916, ce fut l’« enfer de Verdun ».
La bataille conduite par Pétain sera un revers terrible pour l’armée allemande, mais surtout une catastrophe humaine sans précédent avec ses...
Du 21 février au 18 décembre 1916, ce fut l’« enfer de Verdun ».
La bataille conduite par Pétain sera un revers terrible pour l’armée allemande, mais surtout une catastrophe humaine sans précédent avec ses 300 000 morts. Sur 95 divisions que comptait l’armée française, 70 furent engagées.
Les lettres témoignent des souffrances des « poilus », de la boue des...
Du 21 février au 18 décembre 1916, ce fut l’« enfer de Verdun ».
La bataille conduite par Pétain sera un revers terrible pour l’armée allemande, mais surtout une catastrophe humaine sans précédent avec ses 300 000 morts. Sur 95 divisions que comptait l’armée française, 70 furent engagées.
Les lettres témoignent des souffrances des « poilus », de la boue des tranchées, de la faim, la soif, du désespoir, de la mort qui les côtoie à chaque instant, mais aussi des brimades hiérarchiques et de l’incapacité de certaines élites militaires à diriger. Qu’ils soient paysans, violonistes ou officiers, on y lit la bravoure de ces hommes, à la fois victimes et héros.
 
Souvent émouvant, tendre, bouleversant, ce livre forme un véritable requiem pour la paix.
 
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EAN : 9782262064440
Code sériel : 624
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782262064440
Code sériel : 624
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Christophe76410 03/08/2022
    « Parce qu'un homme sans mémoire est un homme sans vie, un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir. » Ferdinand FOCH, Maréchal de France (1851-1929) Voila ce que nous propose Jean-Pierre Guéno avec son livre « Paroles de Verdun », devenir la Mémoire vivante d'un combat qui s'est déroulé il y a aujourd'hui plus d'un siècle, une éternité pour l'humain un oubli à venir pour les jeunes générations. Lisons ces lettres, qu'elles proviennent de Poilus ou de Feldgrau. Qu'elles soient la production d'hommes connus comme Pétain Maréchal de France, Genevoix, Giono, Apollinaire ou de simples soldats dont le nom s'efface avec le temps sur les Monuments aux Morts de nos villes et villages. L'enfer sur terre fut Verdun du 21 février au 18 décembre 1916. Verdun c'est 163000 morts et 216000 blessés coté français et 143000 morts et 196000 blessés coté allemand. Verdun c'est 1000 obus au m². le nombre d'obus tirés fut approximativement de 23 millions côté français contre 30 pour les Allemands. Ce fut aussi Vauquois à 25 km à l'ouest ou la guerre sous terre fit rage, certains soldats montant à plusieurs dizaines de mètres de haut suite à l'explosion (le film Commandos de l'ombre relate bien cette période). Ce livre je l'ai dévoré, comme Verdun à engloutie des milliers de vies. Afin de ne pas oublier le sacrifice de ceux qui ont donné leur vie pour la Patrie, il est de notre devoir de transmettre la Mémoire de ceux qui un 2 août 1914 sont partis avec leur pantalon garance et leur capote gris de fer bleuté. Cet ouvrage fait travailler l'imagination, mais même avec une imagination plus que débordante nous sommes encore en deçà de l'horreur subie par ces combattants. Je doute qu'aujourd'hui, une même ferveur patriotique pourrait animer nos compatriotes. N'hésitez pas à soutenir le Souvenir Français (association dont je suis membre) pour la sauvegarde de la Mémoire de ceux qui ont donné leur âme au Pays.« Parce qu'un homme sans mémoire est un homme sans vie, un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir. » Ferdinand FOCH, Maréchal de France (1851-1929) Voila ce que nous propose Jean-Pierre Guéno avec son livre « Paroles de Verdun », devenir la Mémoire vivante d'un combat qui s'est déroulé il y a aujourd'hui plus d'un siècle, une éternité pour l'humain un oubli à venir pour les jeunes générations. Lisons ces lettres, qu'elles proviennent de Poilus ou de Feldgrau. Qu'elles soient la production d'hommes connus comme Pétain Maréchal de France, Genevoix, Giono, Apollinaire ou de simples soldats dont le nom s'efface avec le temps sur les Monuments aux Morts de nos villes et villages. L'enfer sur terre fut Verdun du 21 février au 18 décembre 1916. Verdun c'est 163000 morts et 216000 blessés coté français et 143000 morts et 196000 blessés coté allemand. Verdun c'est 1000 obus au m². le nombre d'obus tirés fut approximativement de 23 millions côté français contre 30 pour les Allemands. Ce fut aussi Vauquois à 25 km à l'ouest ou la guerre sous terre fit rage, certains soldats montant à plusieurs dizaines de mètres de haut suite à l'explosion (le film Commandos de l'ombre relate bien cette...
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  • akhesa 14/04/2016
    Coeurs sensibles s'abstenir!!!Cet ouvrage est un rassemblement de lettres pour la memoire,pour ne pas oublier ce que ces hommes ont vecu,ont ressenti,ont vouluexpliquer aux leurs. C'est avec beaucoup de respect que j'ai lu cet ouvrage,avec souvent des larmes plein les yeux Comment lire l'insoutenable verite sur leurs conditions de guerre,de survie? Quelle tristesse et quel immense gachis! Lire ces lettres,c'est se souvenir,ne pas oublier ce que ces Hommes ont eu le courage et/ou la foi en la vie. Je remercie l'auteur d'avoir mis des lettres de jeunes soldats Allemands;et des poilus de toutes les classes sociales et de toutes professions C'est un ouvrage veritablement emouvant et tellement vivant A toute personne respectueuse du genre humain,je conseille de le lire
  • levoyageuraudessusdelamerdesnuages 18/08/2013
    ah, la vie de nos aïeux poilus n'étais pas de tout repos, le froid, la boue, les poux et les compagnons déjà mort au champ d'honneur en guise de décors au fond d'un trou d'obus, à la merci des mitrailleuses boches pendant que les gradés officiers et généraux à l'arrière jouaient à la gué guerre stratégique entre deux bals et repas ou promenade au parc. décidant d'un coup d'humeur du sort d'un bataillon. subissant un pilonnage ininterrompu d'obus de la part de l'infanterie . conscient des injustices qu'ils subissaient, ils n'en non pas moins fait leur devoir, brave et courageux ,écrivant des lettres qui nous parviennent comme des témoignages du passé et que l'on ressent ,que l'on s'imagine. devoir de mémoire, il ne me reste aujourd'hui qu'un tableau de médailles accroché au mur de ma chambre avec noté: caporal du 20 éme et 148éme régiment d'infanterie ,23 mois d'orient ,une blessure, une citation classe 1916.
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