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Que la bête meure
Simone Lechevrel (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 13/01/2022
Éditeurs :
Archipoche

Que la bête meure

Simone Lechevrel (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 13/01/2022
Un classique adapté au cinéma par Claude Chabrol puis Série diffusée par la BBC sous le titre The Beast must die sur Canal + en 2021
« Je vais tuer un homme. Je ne connais ni son nom, ni son adresse, ni son aspect physique. Mais je vais le trouver et le tuer. »
Felix Lane, l’auteur...
« Je vais tuer un homme. Je ne connais ni son nom, ni son adresse, ni son aspect physique. Mais je vais le trouver et le tuer. »
Felix Lane, l’auteur de ces lignes, est romancier à succès. Ces trois phrases ne sont pourtant pas le début de son prochain polar,...
« Je vais tuer un homme. Je ne connais ni son nom, ni son adresse, ni son aspect physique. Mais je vais le trouver et le tuer. »
Felix Lane, l’auteur de ces lignes, est romancier à succès. Ces trois phrases ne sont pourtant pas le début de son prochain polar, mais le but qu’il s’est fixé : identifier le chauffard qui a renversé son fils avant de prendre la fuite… et l’éliminer.
Il a pour cela imaginé le crime parfait. Mais, avant de pouvoir mettre à exécution son plan, quelqu’un se charge d’assassiner le meurtrier de son fils ! Et les soupçons de la police retombent sur Felix… Seule l’intervention du détective Nigel Strangeways pourra le sortir de ce mauvais pas.
Paru en 1938, ce roman a été adapté en 1969 par Claude Chabrol, puis en une série diffusée par Canal+ sous son titre original The Beast Must Die, avec Jared Harris.
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EAN : 9791039200776
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 300
Format : 10,8 x 17,7 mm
EAN : 9791039200776
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 300
Format : 10,8 x 17,7 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lectricedhiver 15/02/2022
    Un thriller que je découvre que maintenant et qui a fait l'objet d'une adaptation sur canal +. Commençons par dire que je n'ai pas été entièrement convaincu par ce roman. La première partie m'a plutôt laissé de marbre mais heureusement la seconde a rattrapé le tout. La première partie consiste à un journal que "Félix Lane" écrit, il consigne tous les faits plus ou moins importants et nous conte comment il compte mettre fin au jours de l'homme qui a tué son fils. Et c'est là que ça a coincé avec moi. Je n'ai pas ressenti d'émotions en lisant ses lignes. Pas de désespoir d'un père qui a perdu son fils. Pas de rage contre une police qui n'agit pas. Bref aucune émotion... L'homme perd son fils et pourtant j'avais une drôle d'impression que cela le touchait mais en même temps pas vraiment.. Ensuite on passe à une narration plus classique - bye bye le journal intime - un enquêteur indépendant, Nigel Strangeways, arrive et là je suis enfin rentré dans le roman et j'ai commencé à apprécier la fine psychologie de l'auteur. Le dénouement est bien ficelé et surprenant mais je ne vous en dis pas plus et si j'ai un bon conseil ne lisez pas le résumé en entier car il en dit beaucoup sur l'intrigue. Ce n'est pas un coup de cœur mais un roman plutôt court qui ce lit facilement. Un thriller que je découvre que maintenant et qui a fait l'objet d'une adaptation sur canal +. Commençons par dire que je n'ai pas été entièrement convaincu par ce roman. La première partie m'a plutôt laissé de marbre mais heureusement la seconde a rattrapé le tout. La première partie consiste à un journal que "Félix Lane" écrit, il consigne tous les faits plus ou moins importants et nous conte comment il compte mettre fin au jours de l'homme qui a tué son fils. Et c'est là que ça a coincé avec moi. Je n'ai pas ressenti d'émotions en lisant ses lignes. Pas de désespoir d'un père qui a perdu son fils. Pas de rage contre une police qui n'agit pas. Bref aucune émotion... L'homme perd son fils et pourtant j'avais une drôle d'impression que cela le touchait mais en même temps pas vraiment.. Ensuite on passe à une narration plus classique - bye bye le journal intime - un enquêteur indépendant, Nigel Strangeways, arrive et là je suis enfin rentré dans le roman et j'ai commencé à apprécier la fine psychologie de l'auteur. Le dénouement est bien ficelé et surprenant mais je ne vous en dis pas plus et si j'ai un...
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  • Ogrimoire 14/02/2022
    Ah, voilà tout l’intérêt de relire les grands classiques ! Tout le machiavélisme de l’être humain est déjà ici condensé, ciselé, délicatement apprêté… Alors, certes, la construction, la façon de raconter l’histoire, le vocabulaire employé, les tournures de phrases sont parfois datées. On imagine assez mal, désormais, dans ce qui se veut un page-turner, employer l’imparfait du subjonctif. Cela vous a son petit charme surané. Mais ce qui est tout particulièrement intéressant, c’est que l’on peut observer comment, en 1938, déjà, des sujets redoutablement d’actualité étaient déjà sur la table. Violences faites aux femmes, emprise psychologique de cet homme sur sa femme et son fils sont clairement déjà des sujets. Cela donne assez envie d’aller retrouver l’un de ceux qui mènent l’enquête, Nigel Strangeways – qui porte plutôt bien son nom, sa façon de mener l’enquête étant assez psychologique pour sembler parfois bizarre aux autres policiers -. En effet, Nicholas Blake, qui n’est que le pseudonyme du célèbre poète irlandais, et père de Daniel l’acteur célèbre, Cecil Day-Lewis, a en réalité écrit 16 romans mettant en scène le policier. Un roman, donc, qui mérite d’être redécouvert, de préférence avant de regarder la série, comme hors-d’œuvre, par exemple ! Si cela vous tente, c’est par ici !Ah, voilà tout l’intérêt de relire les grands classiques ! Tout le machiavélisme de l’être humain est déjà ici condensé, ciselé, délicatement apprêté… Alors, certes, la construction, la façon de raconter l’histoire, le vocabulaire employé, les tournures de phrases sont parfois datées. On imagine assez mal, désormais, dans ce qui se veut un page-turner, employer l’imparfait du subjonctif. Cela vous a son petit charme surané. Mais ce qui est tout particulièrement intéressant, c’est que l’on peut observer comment, en 1938, déjà, des sujets redoutablement d’actualité étaient déjà sur la table. Violences faites aux femmes, emprise psychologique de cet homme sur sa femme et son fils sont clairement déjà des sujets. Cela donne assez envie d’aller retrouver l’un de ceux qui mènent l’enquête, Nigel Strangeways – qui porte plutôt bien son nom, sa façon de mener l’enquête étant assez psychologique pour sembler parfois bizarre aux autres policiers -. En effet, Nicholas Blake, qui n’est que le pseudonyme du célèbre poète irlandais, et père de Daniel l’acteur célèbre, Cecil Day-Lewis, a en réalité écrit 16 romans mettant en scène le policier. Un roman, donc, qui mérite d’être redécouvert, de préférence avant de regarder la série, comme hors-d’œuvre, par exemple ! Si cela vous tente, c’est par...
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  • BurjBabil 23/01/2022
    Bonne surprise à retardement que ce livre. D'abord surpris et même un peu gêné par le ton grandiloquent de la première partie (il y en a quatre) qui constitue le journal du narrateur de ce début du récit, je me suis demandé quelques temps si je ne m'étais pas embarqué dans un polar ... comment dire... Et puis arrive la deuxième partie et on sort de la narration ampoulée du journal pour passer à un point de vue externe, tout en conservant le style qui, du coup, semble plus approprié à la description... Enfin la partie trois arrive avec M et Mme Strangeways et l'enquête policière prend toute sa place, à l'anglaise... Un bon moment de lecture !
  • JessSwann 21/01/2022
    Un classique de la littérature policière que je découvre seulement maintenant. Le roman est découpé en plusieurs parties bien distinctes. Dans la première, nous découvrons le journal de " Félix Lane", pseudonyme d'auteur d'un malheureux père de famille dont l'unique enfant a été emporté par un chauffard. Décidé à retrouver et à tuer ce dernier, Lane met en place une enquête minutieuse et finit par retrouver le coupable. A partir de là, l'engrenage se met en place... Le plan de Lane est brillant mais voilà qu'il prend l'eau et que Georges est tué avant qu'il ait eu l'occasion de le faire. A cause de son journal, Lane devient le principal suspect et Nigel vole à son secours. Qui a tué George ? Qui est véritablement odieux, pas une fois on ne peut éprouver de compassion pour lui... Le dénouement, tragique, est aussi bien ficelé que surprenant. Ce que j'aime : le machiavélisme de l'histoire, le personnage de Léna Ce que j'aime moins : le style est parfois un peu "ampoulé" Pour résumer Un bon roman policier dont le dénouement est surprenant Ma note 7,5/10
  • PierreF 24/05/2020
    Vous qui considérez Agatha Christie comme un génie du roman policier, sachez que je situe ce roman au même niveau que les meilleurs œuvres de la Grande Dame. Tout y est minutieusement placé, décrit, et c’est une étude psychologique impressionnante qui n’a pas pris une ride. L’écriture est d’une grande modernité et très littéraire. Bref, c’est un classique de la littérature policière et un passage obligé pour tout amateur du genre. En effet, le roman peut se découper en trois parties. La première est un recueil des mémoires de Frank Cairnes, qui écrit des romans policiers sous le nom de Felix Lane. Comme l’enquête sur le meurtre de son fils et le délit de fuite du chauffard n’avance pas, il couche ses impressions sur le papier pour lui-même, pour se soulager. Et il se met petit à petit à mener l’enquête en parallèle de la police. La deuxième partie concerne le meurtre (mais je ne vous dis pas qui, quoique vous le sachiez si vous avez vu le film de Claude Chabrol). Enfin, dans la troisième partie, se déroule l’enquête, où Nigel Strangeways, le personnage récurrent de Nicholas Blake va enquêter avec l’inspecteur Blount. A partir de là, avec toutes les cartes en main, l’auteur va jouer une partie de cartes avec le lecteur, lui donnant des atouts pour apprécier la psychologie de tous les personnages, et pour dérouler le mystère avec lui. Ainsi, après deux ou trois scènes d’interrogatoires, nous verrons Blount et Strangeways faire des hypothèses et des déductions qui se révèlent être les mêmes que celles du lecteur. C’est cette logique alliée au fait que l’on est vraiment acteur qui fait que ce livre est tout simplement fantastique. Quant à la résolution de l’énigme, inutile de vous dire que vu les nombreuses pistes que vous aurez suivi, vous y aurez surement pensé mais sans avoir la justification de l’acte. Et même si vous avez vu le film, vous serez encore surpris par le roman ! C’est une excellente idée d’avoir remis au gout du jour ce grand moment de littérature policière. N’hésitez plus !Vous qui considérez Agatha Christie comme un génie du roman policier, sachez que je situe ce roman au même niveau que les meilleurs œuvres de la Grande Dame. Tout y est minutieusement placé, décrit, et c’est une étude psychologique impressionnante qui n’a pas pris une ride. L’écriture est d’une grande modernité et très littéraire. Bref, c’est un classique de la littérature policière et un passage obligé pour tout amateur du genre. En effet, le roman peut se découper en trois parties. La première est un recueil des mémoires de Frank Cairnes, qui écrit des romans policiers sous le nom de Felix Lane. Comme l’enquête sur le meurtre de son fils et le délit de fuite du chauffard n’avance pas, il couche ses impressions sur le papier pour lui-même, pour se soulager. Et il se met petit à petit à mener l’enquête en parallèle de la police. La deuxième partie concerne le meurtre (mais je ne vous dis pas qui, quoique vous le sachiez si vous avez vu le film de Claude Chabrol). Enfin, dans la troisième partie, se déroule l’enquête, où Nigel Strangeways, le personnage récurrent de Nicholas Blake va enquêter avec l’inspecteur Blount. A partir de là, avec toutes les cartes en...
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