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À Paraître
Topographie de la terreur
« Une plongée dans le Berlin cauchemardesque des années 1943-44, au climax de la propagande, de la haine et de la guerre. » Libération
Collection : Suspense
Date de parution : 04/01/2024
Éditeurs :
Archipoche
En savoir plus
8.95 €
Date de parution: 04/01/2024
À Paraître

Topographie de la terreur

« Une plongée dans le Berlin cauchemardesque des années 1943-44, au climax de la propagande, de la haine et de la guerre. » Libération

Collection : Suspense
Date de parution : 04/01/2024
« Un polar terrifiant au coeur d’un système totalitaire au goût trop contemporain. Une claque. » Les Échos
Berlin, 1943. Après Stalingrad, Hitler a décrété la guerre totale.
Gerhard Lenz, commissaire à la Kripo, tente d’organiser la clandestinité de Flora, la jeune Juive qui attend un enfant de lui,...
Berlin, 1943. Après Stalingrad, Hitler a décrété la guerre totale.
Gerhard Lenz, commissaire à la Kripo, tente d’organiser la clandestinité de Flora, la jeune Juive qui attend un enfant de lui, quand un psychiatre, membre du NSDAP, est assassiné.
L’enquête sera pour lui l’occasion de découvrir l’ampleur du programme d’euthanasie de masse,...
Berlin, 1943. Après Stalingrad, Hitler a décrété la guerre totale.
Gerhard Lenz, commissaire à la Kripo, tente d’organiser la clandestinité de Flora, la jeune Juive qui attend un enfant de lui, quand un psychiatre, membre du NSDAP, est assassiné.
L’enquête sera pour lui l’occasion de découvrir l’ampleur du programme d’euthanasie de masse, dit Aktion T4, et le rôle joué par les médecins nazis.
Dans une ville au bord de l’abîme, Topographie de la terreur raconte le combat d’un homme seul face à l’hydre totalitaire.
 
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EAN : 9791039204378
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
Archipoche
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8.95 €
Date de parution: 04/01/2024
EAN : 9791039204378
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • tifrey 15/06/2023
    L'auteur a eu l'occasion de visiter et travailler aux contacts de spécialistes du musée éponyme (Topographie de la terreur) qui se trouve à Berlin. Et ça se ressent (trop). L'enquête n'est qu'un prétexte pour faire vivre des idées et des personnes réelles en leur attribuant des motivations inconnues et en voulant mettre le plus possible d'événements réels dans un trop petit nombre de pages. Tout est sombre, cruel et dur, et si les personnages sont attachants, on sent très vite malheureusement que ce sont des prétextes à expliquer ses recherches. Intéressant pour en apprendre plus sur le Berlin de 1943 et le traitement des Juifs, moins comme simple roman.
  • LesReveriesdIsis 23/05/2023
    Topographie de la terreur est le premier roman de Régis Descott que je découvre. Le titre m’a interpelée et le thème m’a plue, je me suis donc lancée sans grande hésitation. Ce roman se déroule en 1943, à Berlin. La répression du régime nazi est à son apogée. Dans ce contexte, Le commissaire Lenz doit enquêter sur une série de meurtres qui l’amène à découvrir l’étendue du programme d’euthanasie du régime. Sa position est vite mise en péril par sa vie privée avec le retour de Flora, son amante, une jeune femme juive, enceinte de lui, qu’il tente par tous les moyens de sauver des griffes du régime. Topographie de la terreur porte bien son nom. Il emporte le lecteur dans les arcanes du pouvoir, dans les dédales de l’administration, il nous fait entrer dans les lieux de pouvoir, dans les lieux où sont exécutées les décisions. Nous cheminons aux côtés de Gerhard au milieu de cet univers, et comme lui, nous reconstituons le puzzle. Le commissaire reconstitue peu à peu, patiemment le fil de mille et une tragédies, prend conscience progressivement du monstre tentaculaire qui s’étend, car le régime nazi est bien un monstre tentaculaire, qui cache sa barbarie derrière des... Topographie de la terreur est le premier roman de Régis Descott que je découvre. Le titre m’a interpelée et le thème m’a plue, je me suis donc lancée sans grande hésitation. Ce roman se déroule en 1943, à Berlin. La répression du régime nazi est à son apogée. Dans ce contexte, Le commissaire Lenz doit enquêter sur une série de meurtres qui l’amène à découvrir l’étendue du programme d’euthanasie du régime. Sa position est vite mise en péril par sa vie privée avec le retour de Flora, son amante, une jeune femme juive, enceinte de lui, qu’il tente par tous les moyens de sauver des griffes du régime. Topographie de la terreur porte bien son nom. Il emporte le lecteur dans les arcanes du pouvoir, dans les dédales de l’administration, il nous fait entrer dans les lieux de pouvoir, dans les lieux où sont exécutées les décisions. Nous cheminons aux côtés de Gerhard au milieu de cet univers, et comme lui, nous reconstituons le puzzle. Le commissaire reconstitue peu à peu, patiemment le fil de mille et une tragédies, prend conscience progressivement du monstre tentaculaire qui s’étend, car le régime nazi est bien un monstre tentaculaire, qui cache sa barbarie derrière des faux semblants et des euphémismes. Face à l’horreur, Gerhard s’indigne, et, incrédule, essaie de lutter à sa façon. Mensonge par omission, sous-entendu, ironie, il use des maigres ressources à sa disposition pour changer les choses, à sa mesure, et ainsi, il essaye de sauver sa part d’humanité. Ce roman nous parle en effet d’humanité. Il nous parle de justice, de la justice du cœur, de ce qui est bien. Gerhard est celui qui ne peut se résoudre à suivre les ordres, qui est horrifié du tour que prend la situation. Il est lucide sur ce qui se passe, et ce qu’il met au jour se charge de lui retirer ses dernières illusions. Dans son combat, seul contre tous, il a des alliés, des alliés inespérés, parfois improbables, surprenants. Chacun, à son, échelle, se démène, tentant de sauver sa vie et de faire le bien. Son frère, à sa manière, l’aide. Ce qui est tragique dans leur relation, c’est qu’ils ne réalisent, chacun, qui était pleinement l’autre, que lorsqu’ils se sont perdus, un peu comme si la suspicion amenait à être prudent, à masquer ses traces au maximum pour éviter des aveux compromettants en cas d’arrestation. Cela isole les dissidents mais témoigne aussi du courage et de la force des individualités. Cet ensemble crée une atmosphère poisseuse et pesante. L’auteur parvient parfaitement à faire sentir l’oppression, la peur constante qui étreint les personnages, ce sentiment diffus d’être surveillé, de ne pas être pleinement libre. Gerhard, en tant que commissaire doit jongler entre l’apparence allégeance au régime qu’il est de bon ton d’adopter et sa conscience, son frère journaliste doit taire ce qu’il pense et ce qu’il ressent pour garder sa place. Leurs convictions se retrouvent dans des petits actes de bravoures, de petites transgressions qui apaisent le cœur et permettent de se regarder en face. Il en est de même pour certains personnages féminins : nombreux sont ceux qui jouent un double jeu dans ce roman, ce qui pimente le récit. L’auteur a ciselé ses personnages et a réussi à montrer les turpitudes humaines autant que les rébellions grandioses. Nous trouvons ici des collaborateurs acharnés, des zélés détestables mais aussi des résistants de l’ombre, courageux, puissants dans leur refus de céder à la peur et dans leur soif de vivre. Nous trouvons aussi les désespérés – sauvés in extremis – ou contraints au pire, comme ces malheureux juifs arrêtés, torturés, qui sont devenus espions pour démasquer les Juifs clandestins, espérant monnayer ainsi la vie sauve à leur propre famille. Ce sont des choix glaçants : quand l’impensable devient réel, quand la limite de l’impardonnable est franchie pour essayer de se sauver. Cela confère au livre une véritable matière humaine, sans sombrer dans le misérabilisme ou dans des exagérations manichéennes. Cela rend aussi le roman saisissant et captivant car nous avons envie de découvrir comment les personnages évolueront, nous avons envie de découvrir leurs secrets. Le rythme du récit est singulier. Il est à la fois lent lorsque le commissaire se débat dans les dédales de l’administration et qu’il avance à pas feutré, et rapide lorsque l’étau se resserre autour de lui, à mesure qu’il touche à la vérité. Le lecteur est emporté dans une course folle, il s’attache à Gerhard, à Arnim, à Flora. Il déplore les imprudences, il croise les doigts, espérant un salut… L’alliance d’éléments historiques et d’éléments romancés contribue grandement à cette tension qui s’installe chez le lecteur. Le récit est ancré dans l’histoire. Il y a sans doute eu des Gerhard, des Arnim, des Flora… autant d’êtres qui ont souffert, aimé, lutté, essayé, et cela nous touche. Ainsi, Topographie de la terreur est une très bonne lecture. Il met en valeur la chape de plomb qui pèse sur les individualités et le poids des choix. Il laisse entendre la détresse humaine, les conflits de loyauté, des peurs, les doutes, les aspirations à la liberté, les petites rébellions et les grandes indignations. Il montre l’humanité aux prises avec l’histoire, sous l’histoire individuelle, et encore et toujours, la littérature nous parle de l’homme et de la force des choix individuels.
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  • MilleetunepagesLM 05/04/2023
    Le commentaire de Cathy : C'est un roman sombre que nous propose Régis Descott, une histoire aussi noire que cette couverture qui nous est proposée. En 1943, à Berlin, Gerhard Lenz, commissaire à la Kripo, tente de mettre à l’abri Flora, une jeune femme juive enceinte de lui. L’enquête qu’il va mener, suite à l’assassinat d’un psychiatre, membre du NSDAP, va lui faire découvrir l’ampleur d’un programme d’euthanasie de masse, appelé Aktion T4 et le rôle joué par des médecins nazis. Topographie de la terreur est vraiment le titre parfait pour ce roman, on aurait également pu y rajouter horreur, ce récit nous fait plonger dans une partie terriblement sombre de notre histoire. L’auteur a dû effectuer un gros travail de recherche pour nous proposer un récit aussi bien documenté, le résultat, qui en découle, est tellement réussi que j’ai été transportée dans ce Berlin de 1943. J’ai ressenti énormément de sentiments différents pendant ma lecture, le dégoût face aux exactions que nous découvrons, la colère et la peur. J’ai apprécié de suivre l'enquête menée par Gerhard Lenz, je ne suis pas prête d’oublier les différents événements auxquels nous assistons, je viens de passer un bon moment de lecture.
  • Missasterie 04/03/2023
    L'heure est grave pour l'armée Allemande en ce mois de février 1943 ; elle vient tout juste d'essuyer une défaite face aux Russes dans ce qu'il restait de Stalingrad, ravagée par les ruines après de longs mois de combat... À Berlin, l'agitation est à son comble ! Les habitations portent déjà les stigmates infligés par les raids aériens alliés et les rafles visant à débarrasser la ville du peuple Juif s'intensifient. Au cours de l'une d'entre elles, Gerhard Lenz, commissaire à la Kripo sauve un vieil homme d'une inévitable déportation en taisant sa cachette. Plus tard, alors qu'il regagne son appartement, une surprise l'attend ; Flora est de retour et porte son enfant. Conscient des risques auxquels ils vont devoir s'exposer de par la judéité de Flora, Gerhard cherche au plus vite un endroit sûr. Quelques mois plus tard, il intervient sur une scène de crime. Le Docteur Krause, psychiatre et membre du NSDPA a été assassiné et torturé. À un moment où il se retrouve seul sur le lieu du crime, Gerhard subtilise une preuve, susceptible de le condamner à mort si sa hiérarchie en est informée. Des documents pour le moins inquiétants sont découverts au domicile du défunt. Il s'agit... L'heure est grave pour l'armée Allemande en ce mois de février 1943 ; elle vient tout juste d'essuyer une défaite face aux Russes dans ce qu'il restait de Stalingrad, ravagée par les ruines après de longs mois de combat... À Berlin, l'agitation est à son comble ! Les habitations portent déjà les stigmates infligés par les raids aériens alliés et les rafles visant à débarrasser la ville du peuple Juif s'intensifient. Au cours de l'une d'entre elles, Gerhard Lenz, commissaire à la Kripo sauve un vieil homme d'une inévitable déportation en taisant sa cachette. Plus tard, alors qu'il regagne son appartement, une surprise l'attend ; Flora est de retour et porte son enfant. Conscient des risques auxquels ils vont devoir s'exposer de par la judéité de Flora, Gerhard cherche au plus vite un endroit sûr. Quelques mois plus tard, il intervient sur une scène de crime. Le Docteur Krause, psychiatre et membre du NSDPA a été assassiné et torturé. À un moment où il se retrouve seul sur le lieu du crime, Gerhard subtilise une preuve, susceptible de le condamner à mort si sa hiérarchie en est informée. Des documents pour le moins inquiétants sont découverts au domicile du défunt. Il s'agit de documents mettant en lumière Aktion T4, un programme d'euthanasie de masse, destiné à supprimer les adultes handicapés physiques et mentaux. Cette découverte achève de convaincre Gerhard que les nazis ont perpétré des horreurs. Un second meurtre est commis et désormais, le doute et la méfiance s'installent, au détriment de la confiance qu'il sait ne plus pouvoir accorder à ces hommes de la Kripo, issus des Jeunesses Hitlériennes et nazis convaincus... Pour moi, Régis Descott ne s'est pas contenté d'installer ses personnages à Berlin en 1943. Il a également puisé dans un travail de recherches admirable offrant à son récit une telle richesse... J'ai pu y croiser certaines personnalités liées au nazisme que je connaissais déjà et bien d'autres totalement inconnues sur lesquelles il a fallu que je m'interroge quant à la fonction qu'elles occupaient au sein du Reich, leurs actes... Tout en lisant, j'ai trouvé intéressant de suivre en parallèle les publications de l'auteur sur Instagram qui m'ont permis de donner un visage à une personnnalité, de découvrir un lieu situé à Berlin. J'ai porté une grande attention à ce récit très visuel d'un Berlin défiguré par les bombardements, où régnait la peur des dénonciations. J'ai mené l'enquête et assisté à ces évènements horribles en compagnie de Gerhard, installée à ses côtés dans son side-car. J'ai adoré Topographie de la terreur !
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  • 1001histoires 03/03/2023
    De nos jours il existe à Berlin un lieu de mémoire appelé « Topographie des Terrors » qui rappelle tous les crimes commis par les nombreuses institutions du Troisième Reich au nom des théories nazies sur une prétendue supériorité raciale. Ce roman reprend le nom de ce mémorial et met en scène ces structures policières et répressives ainsi que les moyens souvent dérisoires employés par le peuple allemand résistant. Régis Descott se démarque des auteurs qui ont choisi Berlin et la Seconde Guerre mondiale comme cadre d’un roman policier historique, son récit revêt des allures de documentaire d’une grande valeur historique. Les deux personnages principaux ont été habilement choisis. Le Kriminal Kommissar Gerhardt Lenz de la Kripo ( il travaille sous les ordres d’Arthur Nebe ) est un ancien combattant de la Première Guerre mondiale, sa compagne Flora est juive, ils attendent un enfant. Gerhardt a un jeune frère, Arnim, journaliste contestataire obligé de se taire, il est homosexuel. Ces deux personnages cristallisent ce que le parti nazi ( NSDAP ) a désigné comme ennemis. Gerhardt a connu toutes les étapes de l’accession au pouvoir de Hitler et du NSDAP et son travail en 1943 se résume à faire en... De nos jours il existe à Berlin un lieu de mémoire appelé « Topographie des Terrors » qui rappelle tous les crimes commis par les nombreuses institutions du Troisième Reich au nom des théories nazies sur une prétendue supériorité raciale. Ce roman reprend le nom de ce mémorial et met en scène ces structures policières et répressives ainsi que les moyens souvent dérisoires employés par le peuple allemand résistant. Régis Descott se démarque des auteurs qui ont choisi Berlin et la Seconde Guerre mondiale comme cadre d’un roman policier historique, son récit revêt des allures de documentaire d’une grande valeur historique. Les deux personnages principaux ont été habilement choisis. Le Kriminal Kommissar Gerhardt Lenz de la Kripo ( il travaille sous les ordres d’Arthur Nebe ) est un ancien combattant de la Première Guerre mondiale, sa compagne Flora est juive, ils attendent un enfant. Gerhardt a un jeune frère, Arnim, journaliste contestataire obligé de se taire, il est homosexuel. Ces deux personnages cristallisent ce que le parti nazi ( NSDAP ) a désigné comme ennemis. Gerhardt a connu toutes les étapes de l’accession au pouvoir de Hitler et du NSDAP et son travail en 1943 se résume à faire en sorte que les multiples dénonciations envoyées à la Kripo aient le moins de conséquences possibles malgré la surveillance dont il fait l’objet. La presse est entièrement contrôlée et ne permet plus à Arnim de faire son travail de journaliste. Il résiste, à sa manière, aide des juifs mais aussi des artistes jugés décadents et prend des notes pour l'avenir. Deux scènes de crime identiques vont entrainer Gerhardt au plus près du pouvoir et le rapprocher toujours plus de la terreur et de l’horreur. Les deux victimes sont médecins. Dans leur passé, le Kriminal Kommissar Lenz va découvrir le programme d’euthanasie de masse ( Aktion T 4 ) destiné à épurer le Reich de tous les parasites et races désignés par les théories du NSDAP et érigés au rang de danger pour une race blanche et pure. Ce danger martelé à la population allemande par la propagande de Joseph Goebbels incitait à la dénonciation. Personne ne savait à qui elle avait à faire, la crainte de la dénonciation favorisait l’autocensure. La terreur régnait partout, dans chaque immeuble, dans la rue et jusque dans chaque rouage de l’administration. C’est dans ce contexte que Gerhardt Lenz enquête, notamment dans les milieux juifs en espérant ne rien trouver et quitte à dissimuler la progression de ses recherches à sa hiérarchie pour que le coupable puisse fuir. L’auteur suit les codes du polar avec des indices, des fausses pistes, des impasses et des rebondissements. La recherche de la vérité est aussi passionnante que ne l’est l’enquête interne que subit Gerhardt et sa famille. Le Gestapo et ses multiples départements et sections se renseignaient sur tout et tous, avec l’aide de tous ( dénonciation ) avant de recourir à la violence physique. Pour servir d’exemple des simulacres de procès au Tribunal du Peuple ( Volksgerichtshoh présidé par le sinistre juge Freisler ) prononçaient les condamnations à mort. C’est tout ce contexte, toute cette topographie de la terreur que Régis Descott explore de manière détaillée avec un grand talent de narrateur. Sous les bombardements alliés de plus en plus nombreux, l’histoire de Gerhardt et Arnim suit les méandres d’un état criminel qui les écrasent inéluctablement. Le destin de ces deux allemands est aussi passionnant et source de suspense que la facette polar ou que la trame historique. Ce roman est inclassable, bien construit, bien écrit et source d’émotions. Régis DESCOTT - « Topographie de la terreur » . Parution le 19 janvier 2023, Éditions de l’Archipel. ISBN 978-2-8098-4630-0 .
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