29 ans d'amours chaotiques

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• sgftstone 12/06/2023

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  J’avais ce livre depuis la précommande dans ma wishlist, et une amie me l’a offert pour mon anniversaire, j’étais si contente que je l’ai lu directement et d’une traite. On a pu découvrir un livre un peu différent du premier, plus touchant, plus intime et ça m’a énormément plu de le connaître sous un nouvel angle. Il m’a beaucoup aidé avec son premier livre sur les angoisses comme je vous avez dit. J’ai pu ressentir sa peine, ses peines, tout au long de ma lecture, et je trouve ça courageux d’en parler ouvertement. Je l’aimais déjà beaucoup mais je crois que je l’apprécie encore plus après cette lecture.
• Wyndon 12/04/2023

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  Voilà encore un chouette livre de Noholito ! Il nous raconte ici ses différentes histoires avec les hommes, et nous en apprend plus sur l'attachement et le sentiment d'abandon. Un livre encore plein d'humour, qui se lit très rapidement. Très chouette à découvrir.
• Mateiva 04/03/2023

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  Ce deuxième livre de Noholito est plus émouvant, fait d’humour, de pudeur et don de soi. Se mettre à nu comme ça c’est courageux et si généreux. Je pense que cela peut aider certaines personnes, leur donner de la force et du courage pour aller de l’avant, pour s’aimer soi. Beaucoup de sentiments ressortent pendant notre lecture : de l’étonnement, de la joie, de la tristesse. A travers ses mots, j’ai ressenti sa peine, son envie de s’en sortir, j’ai senti sa volonté et toute son envie pour se comprendre, pour s’aimer, pour vivre. J’ai aimé la construction du récit, ses illustrations, ses petites notes, les explications de sa psy et surtout les mots de ses ami.e.s (très touchants). Page après page, James se dévoile. Il nous offre un bout de son intimité en toute transparence, de sa personnalité derrière Noholito, de lui. L’écriture est égale à lui-même : simple, faite de légèreté et de nuances plus sombres. En bref, j’ai dévoré ce livre qui se lit tout seul. La dépendance affective est traitée à travers ses propres expériences, avec ses mots, ses réactions, ses conseils. Un roman qui peut aider et soulager. Beaucoup d’émotions, émouvant et touchant. Merci.
• Peckie 14/01/2023

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  James aborde ici, encore en toute transparence, sa relation aux hommes, ses "relations" avec les hommes. Il nous parle également en toute franchise de son homosexualité, de son coming-out, de la façon dont il a dû appréhender ses jeunes années. Et enfin, il nous parle de sa peur de l'abandon, de la dépendance affective et du vide. Tout comme son 1er roman, j'ai beaucoup aimé celui-ci. De la sincérité, de l'émotion, de l'humour à la Noholito. Et surtout je me suis en partie reconnue dans ses propos... Lire les mots d'un "gamin" (c'est affectueux no panic) de 29 ans et pouvoir se les attribuer avec quelques années en plus, ça pique... La peur de l'abandon... En faire des tonnes jusqu'à ce que l'autre en ait marre et nous quitte... Et réaliser qu'on y est peut-être aussi pour quelque chose... Le fait de ne pas pouvoir aimer sans crainte parce que l'on ne s'aime pas... Des mots blessants dans l'enfance qui marquent toute une vie... Comme le dit Noholito "il faut s'aimer pour pouvoir aimer". Et j'ajouterai "il faut pouvoir vivre seul(e) pour pouvoir ensuite vivre avec quelqu'un" ... Le chemin est long, semé d'embûches mais il vaut le détour #x1f970 Quel bonheur et quelle fierté d'avancer dans la vie quelque soit le "problème" et de découvrir nos ressources... Merci beaucoup James pour ces confidences (car elles le sont). Tu peux être fière du travail accompli ! On se donne rdv pour le 3ème ?James aborde ici, encore en toute transparence, sa relation aux hommes, ses "relations" avec les hommes. Il nous parle également en toute franchise de son homosexualité, de son coming-out, de la façon dont il a dû appréhender ses jeunes années. Et enfin, il nous parle de sa peur de l'abandon, de la dépendance affective et du vide. Tout comme son 1er roman, j'ai beaucoup aimé celui-ci. De la sincérité, de l'émotion, de l'humour à la Noholito. Et surtout je me suis en partie reconnue dans ses propos... Lire les mots d'un "gamin" (c'est affectueux no panic) de 29 ans et pouvoir se les attribuer avec quelques années en plus, ça pique... La peur de l'abandon... En faire des tonnes jusqu'à ce que l'autre en ait marre et nous quitte... Et réaliser qu'on y est peut-être aussi pour quelque chose... Le fait de ne pas pouvoir aimer sans crainte parce que l'on ne s'aime pas... Des mots blessants dans l'enfance qui marquent toute une vie... Comme le dit Noholito "il faut s'aimer pour pouvoir aimer". Et j'ajouterai "il faut pouvoir vivre seul(e) pour pouvoir ensuite vivre avec quelqu'un" ... Le chemin est long, semé d'embûches mais il vaut le détour #x1f970 Quel bonheur et quelle fierté d'avancer dans la vie...

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