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5 octobre, 23 h 33
Gilles Maurice-Dumoulin (traduit par)
Collection : Thriller
Date de parution : 08/11/2007
Éditeurs :
le cherche midi

5 octobre, 23 h 33

Gilles Maurice-Dumoulin (traduit par)
Collection : Thriller
Date de parution : 08/11/2007

Michael Connelly : Aussi passionnants que perturbants, les romans de Donald Harstad lèvent le voile sur cette vérité effrayante : le mal et la violence sont partout en Amérique ?...

Michael Connelly : Aussi passionnants que perturbants, les romans de Donald Harstad lèvent le voile sur cette vérité effrayante : le mal et la violence sont partout en Amérique ? y compris dans les fermes perdues de l'Iowa. Harstad met sa connaissance profonde du métier de policier au service de...

Michael Connelly : Aussi passionnants que perturbants, les romans de Donald Harstad lèvent le voile sur cette vérité effrayante : le mal et la violence sont partout en Amérique ? y compris dans les fermes perdues de l'Iowa. Harstad met sa connaissance profonde du métier de policier au service de personnages formidables ? cela fait de lui une voix unique dans l'univers du thriller.

Donald Harstad, policier dans l'Iowa depuis plus de vingt-cinq ans, est devenu, avec Onze jours, Code 10 et ? 30 °C, l'un des auteurs les plus appréciés des amateurs de thrillers.

S'inspirant des enquêtes qu'il a menées pour nourrir les intrigues de ses livres, Harstad, surnommé par la presse américaine « le Michael Connelly du Middle West », restitue les méthodes d'investigation et la vie quotidienne d'un flic américain avec un réalisme rarement égalé.

Ce sens de l'authenticité, allié à une connaissance parfaite du terrain, donne aux enquêtes de son alter ego, le shérif Carl Houseman, du comté de Nation, Iowa, un aspect brut, quasi documentaire, qui les rend d'autant plus éprouvantes.

Ainsi, lorsque l'on retrouve le corps d'un jeune homme, un pieu métallique planté dans la poitrine, commence pour Carl Houseman un voyage au bout de l'horreur au terme duquel on constatera avec effroi que les habitants des campagnes reculées américaines n'ont rien à envier à ceux des mégapoles urbaines en matière de secrets, de déviances et de perversités.

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EAN : 9782749110974
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 372
Format : 154 x 240 mm
EAN : 9782749110974
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 372
Format : 154 x 240 mm

Ils en parlent

« Deux pages, trois maximum, c'est ce qu'il faut pour être accroché à ce livre. On en redemande. »
Philippe Lemaire, Le Parisien

« Un polar brut de décoffrage. Terrifiant ! »
Marie-France Rémond, Le Nouvel Observateur

« Sans jamais élever la voix ni chercher l’effet à tout prix, Donald Harstad reste au plus près des techniques d’investigations, avec un sens du détail et de la précision, une sécheresse dans la narration qui rend ces crimes macabres plus terrifiants encore. »
The New York Times

« Ce qui distingue ce roman de tous ses pairs, c’est son sens de l’authenticité. La tension provient autant des restrictions de budget ou du manque de personnel que des meurtres proprement dits. Un récit à la fois intelligent, rythmé, éprouvant. »
Val McDermid

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Rennath 20/11/2022
    J'ai eu un peu de mal à entrer dans ce livre car l'auteur, un ancien policier, fait les dialogues via les codes utilisés par les policiers ce qui revient à consulter sans arrêt la fin du livre où il y a la liste des codes pour comprendre ce qu'il raconte... La manière dont l'histoire est racontée, à la première personne, avec une description du quotidien, fait penser à un événement réel qu'il a vécu. Une fois passé cette barrière, il faut quand même quelques pages, on entre dans l'histoire qui est assez prenante. [masquer] Pour la fin, il y a une fille qui a disparu que personne ne semble rechercher. La fin est nuancée, dans la limite où tous les "méchants" ne sont pas punis... comme dans la vraie vie. [/masquer]
  • Sharon 05/06/2015
    Iowa, état du Midwest, où il ne se passe jamais rien ! Les romans de Donal Harstad nous prouvent le contraire. En dépit de mon résumé, il s’agit bien ici d’un roman policier pur et dur. Il y a une grande différence entre les croyances et les peurs des uns, et la réalité de l’autre. Les enquêteurs gardent les pieds bien sur terre et savent que c’est un coupable mortel, en chair et en os qu’ils doivent rechercher. De là à dire qu’il est en parfaite santé mentale, il y a un pas que personne ne songe à franchir. Et se munir de gousses d’ail, en plus de la tenue réglementaire, ne peut pas faire de mal…. Mais revenons à notre affaire et aux quotidiens des enquêteurs, qui doivent batailler avec des articles de lois pas toujours adaptés à leurs enquêtes (qui pouvait penser que quelqu’un se prendrait pour un vampire ?), des avocats toujours prêts à défendre leurs clients, et des clients qui avant de l’être, étaient des témoins avant toute chose. Rares sont ceux qui collaborent aisément avec la police locale, pas forcément parce qu’ils ont quelque chose à cacher, juste parce qu’ils usent de tous les artifices possibles (quitte à méconnaître la loi, finalement) pour ne pas révéler des choses insignifiantes – ou pas. Nous sommes bien loin des séries « explosives » américaines, tracasseries et paperasserie sont le lot quotidien des enquêteurs. Le quotidien, c’est aussi les contacts avec la famille des victimes, et le portrait de la famille américaine dressé par Donal Harsdat n’est pas forcément reluisant. Si sa vie personnelle est réduite à la portion congrue (sa femme tente de dormir quand il s’en va très tôt, et essaie de s’endormir quand il s’en va fort tard), ce n’est rien comparé aux destins de tous les jeunes cabossés, rabaissés, détruits par leur propre famille, et Edie, nièce de Lamar, ne fait pas exception à la règle. L’immense solitude de ses jeunes adultes, leur fragilité en font des proies faciles – et pas seulement pour ceux qui se prennent pour des vampires. 5 octobre, 23 h 33, est un polar solide et minutieux, à lire pour tous ceux qui veulent en savoir un peu plus sur les coins perdus américains.Iowa, état du Midwest, où il ne se passe jamais rien ! Les romans de Donal Harstad nous prouvent le contraire. En dépit de mon résumé, il s’agit bien ici d’un roman policier pur et dur. Il y a une grande différence entre les croyances et les peurs des uns, et la réalité de l’autre. Les enquêteurs gardent les pieds bien sur terre et savent que c’est un coupable mortel, en chair et en os qu’ils doivent rechercher. De là à dire qu’il est en parfaite santé mentale, il y a un pas que personne ne songe à franchir. Et se munir de gousses d’ail, en plus de la tenue réglementaire, ne peut pas faire de mal…. Mais revenons à notre affaire et aux quotidiens des enquêteurs, qui doivent batailler avec des articles de lois pas toujours adaptés à leurs enquêtes (qui pouvait penser que quelqu’un se prendrait pour un vampire ?), des avocats toujours prêts à défendre leurs clients, et des clients qui avant de l’être, étaient des témoins avant toute chose. Rares sont ceux qui collaborent aisément avec la police locale, pas forcément parce qu’ils ont quelque chose à cacher, juste parce qu’ils usent de tous les artifices possibles (quitte...
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  • Amyas 01/01/2014
    Le personnage principal est un shérif intelligent qui vit dans un trou perdu au fin fond des USA. Jusque là on se dit, encore un qui n'est pas tombé au bon endroit et qui va tout résoudre en deux temps, trois mouvements face aux pécores médusés... Et bah non!! On a quand même le temps de chercher un peu la solution. Une histoire de vampire un peu originale et bien construite.
  • LePamplemousse 18/08/2013
    Carl Houseman a passé plus de 25 ans dans la police. Il a écrit plusieurs romans policiers inspirés d'enquêtes qu'il a menées au cours de sa longue carrière. La particularité de ses romans est de comporter énormément de codes, qui servent à informer les collègues de tout ce qu'un policier fait sans être compris par des oreilles indélicates. Ces codes peuvent sembler complexes mais ils sont répertoriés à la fin de l'ouvrage et très vite, ils nous deviennent familiers. Les dialogues sont très nombreux, ce qui nous donne l'impression d'être au coeur de l'enquête. Dans ce quatrième opus, Carl et ses collègues sont confrontés à une affaire délicate, puisque la victime est la nièce du chef de la police. Cette jeune femme est en effet retrouvée morte, vidée de son sang. Très vite, les soupçons se portent sur un groupe de personnes qui semblent se prendre pour des vampires. Entre réalité et légendes, les policiers auront forts à faire pour démêler le vrai du faux. Une enquête haletante où l'on se sent vraiment immergé dans l'univers policier.
  • Gwelan 17/06/2013
    Que dire de plus que pour les autres livres de Donald Harstad. Un récit trépidant écrit à la première personne - un flic qui n'en fini pas de traquer les meurtriers les plus dingues. La vie d'une unité de police dans une petite ville des USA. Les meurtres sont assez horribles, cette fois c'est un personnage qui se prend réellement pour un vampire et arrive à influencer une bande de jeunes un peu paumés. Cela se lit facilement et si l'on en ressort pas plus intelligent on n'en sort pas idiot et on a passé un bon moment.
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