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Coccinelle
Collection : Récits
Date de parution : 12/03/2020
Éditeurs :
le cherche midi

Coccinelle

Collection : Récits
Date de parution : 12/03/2020
Les morts sont des invisibles, ils ne sont pas des absents.
Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où... Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ?
Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore… J’aimerais imaginer que c’est...
Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ?
Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore… J’aimerais imaginer que c’est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m’assaille. La prudence voudrait que je n’y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes – un papillon, une biche, une bague… – m’entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n’abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider.
Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils « des invisibles, mais pas des absents » ?
 
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EAN : 9782749164106
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 144
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782749164106
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 144
Format : 140 x 220 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Elisart 27/11/2022
    Coccinelle - Florence Belkacem Journaliste et chroniqueuse, Florence Belkacem nous livre un récit tendre, émouvant, positif et extrêmement personnel sous le signe des signes. Le premier, le jour des obsèques de sa mère, par une froide journée de janvier, est le surgissement d'une coccinelle qui passe de sa main à celle de ses soeurs, saison et température auxquelles l'apparition de ce sympathique insecte n'a aucune probabilité de se manifester. Ce petit phénomène toujours aussi inattendu se reproduira lors de plusieurs événements familiaux et se déclinera de multiples façons (papillon, biche, bague) et progressivement Florence B se forge la conviction qu'il s'agit de la manifestation de la présence de ses plus proches disparus. La rencontre avec deux médiums renforce cette conviction qui lui apporte force, joie et paix intérieure. Outre l'histoire personnelle de l'auteur, ce petit livre interroge notre relation à ceux qui ont quitté notre univers sensible et notre réceptivité aux éventuelles marques de leur présence. Petits apartés : savez-vous pourquoi la coccinelle est surnommée « bête à bon Dieu » ? L'origine de la légende daterait du Xe siècle : ce petit insecte se serait posé à 3 reprises sur le cou d'un jeune condamné, le roi Robert II le Pieux y voyant un... Coccinelle - Florence Belkacem Journaliste et chroniqueuse, Florence Belkacem nous livre un récit tendre, émouvant, positif et extrêmement personnel sous le signe des signes. Le premier, le jour des obsèques de sa mère, par une froide journée de janvier, est le surgissement d'une coccinelle qui passe de sa main à celle de ses soeurs, saison et température auxquelles l'apparition de ce sympathique insecte n'a aucune probabilité de se manifester. Ce petit phénomène toujours aussi inattendu se reproduira lors de plusieurs événements familiaux et se déclinera de multiples façons (papillon, biche, bague) et progressivement Florence B se forge la conviction qu'il s'agit de la manifestation de la présence de ses plus proches disparus. La rencontre avec deux médiums renforce cette conviction qui lui apporte force, joie et paix intérieure. Outre l'histoire personnelle de l'auteur, ce petit livre interroge notre relation à ceux qui ont quitté notre univers sensible et notre réceptivité aux éventuelles marques de leur présence. Petits apartés : savez-vous pourquoi la coccinelle est surnommée « bête à bon Dieu » ? L'origine de la légende daterait du Xe siècle : ce petit insecte se serait posé à 3 reprises sur le cou d'un jeune condamné, le roi Robert II le Pieux y voyant un signe de Dieu gracie le condamné. le vrai coupable sera arrêté quelques jours plus tard. Ses autres noms varient selon les régions. Parmi les plus charmants : «cacarinette » en Provence, « caquelinette » dans la Marne, « Liewer hergott's vegele » (petit oiseau du bon Dieu) en Alsace. Témoignage charmant, plein d'amour et bien écrit que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire, une merveilleuse façon de faire son deuil.
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  • Montana 10/07/2022
    Dans "Coccinelle", Florence Belkacem raconte les différences expériences qu'elle a vécues suite au décès de sa mère en 2013. C'est un très beau récit, très bien raconté de manière fluide, sensible (mais sans aucun pathos) et sincère. On sent la plume de la journaliste qui cherche à comprendre et qui, pour cela, approfondit en faisant ses propres recherches soit auprès de spécialistes, des grands auteurs de la littérature ou en philosophie. Un très court livre (137 pages pour l'édition poche Pocket) attachant, sans "gras" (dans le sens où "tout est à garder"), que j'ai refermé avec une lueur d'espoir quant au message qu'il délivre. Florence Belkacem a eut beaucoup de chance d'être aimé de la sorte par ses disparus, qui lui ont fait savoir par de petits messages subtils leur présence et leur soutien. Un livre sobre et que je vous recommande.
  • virginiesanzcasas 26/05/2022
    lecture qui m'a accompagné pendant les 15 jours d'hospitalisation de mon tendre amour je l'ai terminé 1 semaine avant qu'il ferme définitivement les yeux ce livre est une ode à la vie..a l'espérance d'un après une aide précieuse pour accomplir son deuil ..merci aux coccinelles coquelicots et tous ces petits signes insignifiants de se mettre en travers de nos routes et de nous laisser penser à un monde d'après merci Mme belkacem pour votre témoignage
  • Nathalire 06/04/2022
    Ce livre, je l’ai découvert par hasard à la bibliothèque publique où je me rends régulièrement. Il y a des livres qui semblent écrits pour vous, celui-ci en est un pour moi. Il faut dire que j'ai un lien particulier avec les coccinelles. Mais, au-delà de ça, la lecture de la 4ème de couverture a achevé de me convaincre : "Dehors, il fait 5°C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ? Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore… J’aimerais imaginer que c’est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m’assaille. La prudence voudrait que je n’y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes – un papillon, une biche, une bague… – m’entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n’abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider. Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils  » des invisibles, mais pas des absents  » ?" Qui ne s'est pas interrogé sur l'existence d'une vie après la mort, ou ne l'a pas espérée peut-être, au décès d'un... Ce livre, je l’ai découvert par hasard à la bibliothèque publique où je me rends régulièrement. Il y a des livres qui semblent écrits pour vous, celui-ci en est un pour moi. Il faut dire que j'ai un lien particulier avec les coccinelles. Mais, au-delà de ça, la lecture de la 4ème de couverture a achevé de me convaincre : "Dehors, il fait 5°C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ? Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore… J’aimerais imaginer que c’est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m’assaille. La prudence voudrait que je n’y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes – un papillon, une biche, une bague… – m’entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n’abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider. Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils  » des invisibles, mais pas des absents  » ?" Qui ne s'est pas interrogé sur l'existence d'une vie après la mort, ou ne l'a pas espérée peut-être, au décès d'un proche ? Dans ce témoignage émouvant et intrigant, Florence Belkacem aborde la thématique douleureuse qu'est le deuil d'un parent. Au fil des pages, elle se questionne, et invite par la même occasion le lecteur à le faire, sur la place que prennent les défunts dans le quotidien de chacun. Avec des mots justes, sincères, sobres, tout en douceur, elle nous livre un texte très fort.  De plus, les références littéraires et citations qu'elle partage avec nous, nous incitent à aller plus loin, à avoir une réflexion plus profonde. C'est un livre qui se lit presque d'une traite, qui chamboule et, en même temps, est assez apaisant. J’ai été profondément émue par cette lecture remplie d'espoir. A lire et à relire sans aucun doute...
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  • unbrindesyboulette 13/03/2022
    J’ai commencé ma lecture en ayant peur… Peur car ce roman parle de la mort de la maman de Florence, de son absence, de cette douleur de perdre un parent. Oui j’ai eu peur. Peur de me replonger dans cette absence cruelle de papa. La peur s’est vite envolée et j’ai pleuré, beaucoup pleuré… Pleuré car ce roman est beau, car Florence a su mettre des mots sur l’absence de sa maman. J’ai pleuré et cela m’a fait du bien. J’ai aimé « Coccinelle ». Comme l’auteure, je crois beaucoup aux signes. Pour elle, le signe est la coccinelle, celle que sa maman aimait. Pour moi, il y a le signe de rêver de papa la veille de jours importants. Comme Florence, papa est partout quand je regarde bien. Comme Florence, je parle à papa, je lui demande de l’aide. Oui il ne me répond pas mais ce n’est pas pour autant qu’il n’est pas à mes côtés. « Coccinelle » est un beau roman qui m’a touchée. J’ai aimé ces signes de présence de nos absents. J’ai aimé cet amour porté à nos parents. J’ai aimé le lire. Je le relirai, j’en suis certaine alors que je ne relis jamais un livre.... J’ai commencé ma lecture en ayant peur… Peur car ce roman parle de la mort de la maman de Florence, de son absence, de cette douleur de perdre un parent. Oui j’ai eu peur. Peur de me replonger dans cette absence cruelle de papa. La peur s’est vite envolée et j’ai pleuré, beaucoup pleuré… Pleuré car ce roman est beau, car Florence a su mettre des mots sur l’absence de sa maman. J’ai pleuré et cela m’a fait du bien. J’ai aimé « Coccinelle ». Comme l’auteure, je crois beaucoup aux signes. Pour elle, le signe est la coccinelle, celle que sa maman aimait. Pour moi, il y a le signe de rêver de papa la veille de jours importants. Comme Florence, papa est partout quand je regarde bien. Comme Florence, je parle à papa, je lui demande de l’aide. Oui il ne me répond pas mais ce n’est pas pour autant qu’il n’est pas à mes côtés. « Coccinelle » est un beau roman qui m’a touchée. J’ai aimé ces signes de présence de nos absents. J’ai aimé cet amour porté à nos parents. J’ai aimé le lire. Je le relirai, j’en suis certaine alors que je ne relis jamais un livre. Mais ce livre a ce quelque chose qui fait qu’il m’est précieux
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  • Focus
    le cherche midi éditeur

    "Coccinelle" de Florence Belkacem : un livre poétique qui relie le visible à l'invisible

    C’est un hommage mais aussi une forme d’exutoire. Dans Coccinelle (cherche midi éditeur), la journaliste Florence Belkacem raconte comment elle a fait face à la mort de sa mère. Avec poésie et tendresse, l’autrice revient sur les jours, les semaines, et les mois qui ont suivi la disparition de celle qui était son pilier. Un livre rempli d’espoir et qui interroge : doit-on faire confiance aux signes ?

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