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Coccinelle
Collection : Récits
Date de parution : 12/03/2020
Éditeurs :
le cherche midi

Coccinelle

Collection : Récits
Date de parution : 12/03/2020
Les morts sont des invisibles, ils ne sont pas des absents.
Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où... Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ?
Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore… J’aimerais imaginer que c’est...
Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d’enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D’où vient-elle, en ce mois de janvier ?
Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d’autres encore… J’aimerais imaginer que c’est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m’assaille. La prudence voudrait que je n’y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes – un papillon, une biche, une bague… – m’entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n’abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider.
Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils « des invisibles, mais pas des absents » ?
 
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EAN : 9782749164106
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 144
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782749164106
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 144
Format : 140 x 220 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • biancaselivre 17/10/2023
    Il y a deux mois, une de mes chères amies a perdu sa mère. Une perte inopinée et injuste dont la soudaineté a à peine laissé le temps à mon amie de lui dire aurevoir. Je ne peux concevoir le malheur que cela représente de perdre une maman. Une maman est un pilier, parfois elle constitue à elle seule les fondements de toute une famille. On dit que le processus du deuil est un cheminement normal qui se divise en 5 étapes. Comment alors surmonter son chagrin quand au moment de sa disparition, notre mère se trouve dans un autre pays à plus de 2000 km de nous ? C'est pourtant ce qu'a vécu mon amie. Privée de ce moment douloureux, mais essentiel. De ce fait, pour apporter mon soutien à ma si chère amie, je lui ai offert de l'espoir personnifié en petit livre. "Coccinelle" traite de ce sujet universel qui nous touche tous et toutes : le décès d'un être cher. Florence Belkacem nous livre un récit émouvant, tendre, positif et très personnel. Chaque page est teintée d'un espoir pur et d'une extrême bienveillance. Le premier signe qui va toucher l'autrice se manifeste sous la forme d'une coccinelle en plein mois de janvier le jour des obsèques de sa mère. À partir de cet instant, plusieurs autres signes vont se révéler et aider Florence à mieux appréhender sa tristesse. L'autrice fait le lien entre le visible et l'invisible. Après tout, Victor Hugo disait que "les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents". Peut-être que la majorité d'entre nous est trop ancrée dans une réalité rationnelle et refuse d'ouvrir les yeux ? Avec son histoire, Florence nous propose de croire aux signes que l'on reçoit ou que l'on recevra peut-être un jour ou l'autre. Grâce à son livre, l'autrice nous tend la main et nous donne du baume au cœur en nous permettant de croire que la vie n'est pas une destination et que nos défunts ne sont pas complètement partis. Ce témoignage touchant m'a bouleversé car moi aussi à la mort de ma mamie, j'ai eu l'occasion d'être spectatrice de certaines coïncidences pour ainsi dire incroyables. Offrir ce livre poétique à mon amie pour l'aider à surmonter cette épreuve, fût pour moi une évidence. Peut-être était-ce un signe ?Il y a deux mois, une de mes chères amies a perdu sa mère. Une perte inopinée et injuste dont la soudaineté a à peine laissé le temps à mon amie de lui dire aurevoir. Je ne peux concevoir le malheur que cela représente de perdre une maman. Une maman est un pilier, parfois elle constitue à elle seule les fondements de toute une famille. On dit que le processus du deuil est un cheminement normal qui se divise en 5 étapes. Comment alors surmonter son chagrin quand au moment de sa disparition, notre mère se trouve dans un autre pays à plus de 2000 km de nous ? C'est pourtant ce qu'a vécu mon amie. Privée de ce moment douloureux, mais essentiel. De ce fait, pour apporter mon soutien à ma si chère amie, je lui ai offert de l'espoir personnifié en petit livre. "Coccinelle" traite de ce sujet universel qui nous touche tous et toutes : le décès d'un être cher. Florence Belkacem nous livre un récit émouvant, tendre, positif et très personnel. Chaque page est teintée d'un espoir pur et d'une extrême bienveillance. Le premier signe qui va toucher l'autrice se manifeste sous la forme d'une coccinelle en plein mois de janvier...
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  • pioucorinne 03/09/2023
    J'ai été attirée par la couverture que je trouve très belle. La quatrième de couverture me laissait perplexe mais après tout pourquoi pas, j'ai l'esprit ouvert bien que cartésien. Je dois dire que la magie n'a pas opéré, ce n'est vraiment pas mon truc les signes de l'au-delà pourtant il serait si doux d'y croire et je pense également qu'après tout pourquoi ne pas imaginer un signe du proche disparu. Mon esprit cartésien me fait dire qu'effectivement l'on peut interpréter certaines apparitions comme coccinelle, arc-en-ciel, courant d'air comme des signes même si tout cela est le fruit du pur hasard, après tout il n'y a aucun mal à se faire du bien. J'y ai moi-même pensé lors d'un enterrement lorsqu'un rayon de soleil a traversé le vitrail en face de nous, y'a pas à dire ça réchauffe le coeur sur l'instant et après tout nous n'en savons rien. Quant à la lecture, elle est fluide, j'ai aimé les références à des auteurs, des philosophes tout au long du livre. Alors si vous croyez à la vie après la mort ce livre est pour vous, c'est une belle histoire
  • PGEM 08/04/2023
    Après avoir pris connaissance de ce témoignage, vous ne poserez peut-être plus sur la mort ce regard noir, dénué d’espoir, ni ne vivrez de la même manière la disparition de l’être cher et aimé. Vous y croirez. Ou pas. Mais certainement, vous douterez. Ce récit étonnant se lit comme un roman émaillé de poésies, de citations, de références littéraires, historiques, philosophiques toujours bien amenées. On voyage à travers les civilisations. On découvre que Thomas Edison, esprit on ne peut plus « éclairé », a été censuré pour s’être penché sur la question. Et son travail sur le « nécrophone » jeté aux oubliettes. On verra que Saint Augustin et Victor Hugo entretenaient des relations permanentes avec les défunts. Et on apprendra bien des choses encore en lisant « Coccinelle », un récit troublant que je vous recommande vivement.
  • Elisart 27/11/2022
    Coccinelle - Florence Belkacem Journaliste et chroniqueuse, Florence Belkacem nous livre un récit tendre, émouvant, positif et extrêmement personnel sous le signe des signes. Le premier, le jour des obsèques de sa mère, par une froide journée de janvier, est le surgissement d'une coccinelle qui passe de sa main à celle de ses soeurs, saison et température auxquelles l'apparition de ce sympathique insecte n'a aucune probabilité de se manifester. Ce petit phénomène toujours aussi inattendu se reproduira lors de plusieurs événements familiaux et se déclinera de multiples façons (papillon, biche, bague) et progressivement Florence B se forge la conviction qu'il s'agit de la manifestation de la présence de ses plus proches disparus. La rencontre avec deux médiums renforce cette conviction qui lui apporte force, joie et paix intérieure. Outre l'histoire personnelle de l'auteur, ce petit livre interroge notre relation à ceux qui ont quitté notre univers sensible et notre réceptivité aux éventuelles marques de leur présence. Petits apartés : savez-vous pourquoi la coccinelle est surnommée « bête à bon Dieu » ? L'origine de la légende daterait du Xe siècle : ce petit insecte se serait posé à 3 reprises sur le cou d'un jeune condamné, le roi Robert II le Pieux y voyant un signe de Dieu gracie le condamné. le vrai coupable sera arrêté quelques jours plus tard. Ses autres noms varient selon les régions. Parmi les plus charmants : «cacarinette » en Provence, « caquelinette » dans la Marne, « Liewer hergott's vegele » (petit oiseau du bon Dieu) en Alsace. Témoignage charmant, plein d'amour et bien écrit que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire, une merveilleuse façon de faire son deuil. Coccinelle - Florence Belkacem Journaliste et chroniqueuse, Florence Belkacem nous livre un récit tendre, émouvant, positif et extrêmement personnel sous le signe des signes. Le premier, le jour des obsèques de sa mère, par une froide journée de janvier, est le surgissement d'une coccinelle qui passe de sa main à celle de ses soeurs, saison et température auxquelles l'apparition de ce sympathique insecte n'a aucune probabilité de se manifester. Ce petit phénomène toujours aussi inattendu se reproduira lors de plusieurs événements familiaux et se déclinera de multiples façons (papillon, biche, bague) et progressivement Florence B se forge la conviction qu'il s'agit de la manifestation de la présence de ses plus proches disparus. La rencontre avec deux médiums renforce cette conviction qui lui apporte force, joie et paix intérieure. Outre l'histoire personnelle de l'auteur, ce petit livre interroge notre relation à ceux qui ont quitté notre univers sensible et notre réceptivité aux éventuelles marques de leur présence. Petits apartés : savez-vous pourquoi la coccinelle est surnommée « bête à bon Dieu » ? L'origine de la légende daterait du Xe siècle : ce petit insecte se serait posé à 3 reprises sur le cou d'un jeune condamné, le roi Robert II le Pieux y voyant un...
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  • Montana 10/07/2022
    Dans "Coccinelle", Florence Belkacem raconte les différences expériences qu'elle a vécues suite au décès de sa mère en 2013. C'est un très beau récit, très bien raconté de manière fluide, sensible (mais sans aucun pathos) et sincère. On sent la plume de la journaliste qui cherche à comprendre et qui, pour cela, approfondit en faisant ses propres recherches soit auprès de spécialistes, des grands auteurs de la littérature ou en philosophie. Un très court livre (137 pages pour l'édition poche Pocket) attachant, sans "gras" (dans le sens où "tout est à garder"), que j'ai refermé avec une lueur d'espoir quant au message qu'il délivre. Florence Belkacem a eut beaucoup de chance d'être aimé de la sorte par ses disparus, qui lui ont fait savoir par de petits messages subtils leur présence et leur soutien. Un livre sobre et que je vous recommande.
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  • Focus
    le cherche midi éditeur

    "Coccinelle" de Florence Belkacem : un livre poétique qui relie le visible à l'invisible

    C’est un hommage mais aussi une forme d’exutoire. Dans Coccinelle (cherche midi éditeur), la journaliste Florence Belkacem raconte comment elle a fait face à la mort de sa mère. Avec poésie et tendresse, l’autrice revient sur les jours, les semaines, et les mois qui ont suivi la disparition de celle qui était son pilier. Un livre rempli d’espoir et qui interroge : doit-on faire confiance aux signes ?

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