« Tissé de banals messages, le visible bavard embrume notre esprit. D'où la nécessité de trouver sur la planète la source du silence peuplé. Donner un visage à mon regard...
« Tissé de banals messages, le visible bavard embrume notre esprit. D'où la nécessité de trouver sur la planète la source du silence peuplé. Donner un visage à mon regard sous le signe de l'entretemps : tel est le sens de ce livre.
J'ai pour compagnons de voyage Rimbaud, Verlaine, Mallarmé,...
« Tissé de banals messages, le visible bavard embrume notre esprit. D'où la nécessité de trouver sur la planète la source du silence peuplé. Donner un visage à mon regard sous le signe de l'entretemps : tel est le sens de ce livre.
J'ai pour compagnons de voyage Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Pessoa, Kafka, Rilke, Segalen, Nerval, Apollinaire, Borges, Cioran, Buzzati, Supervielle, Bonnefoy. Je les retrouve à Paris, à Prague, à Rome, à Lisbonne, au Caire, à Montevideo, à Buenos-Aires, à Saint-Pétersbourg, en Arabie.
Ensemble, oui ensemble, nous durerons bien plus que notre mort. »
J. Orizet
"Jean Orizet prend le train comme Larbaud[
] se hâte comme Morand mais, Hollandais volant [
], il nous revient avant dêtre parti. Telle est sa manière de se montrer moderne, délectable et intériorisé."
Le Figaro.