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The Heroic Legend of Arslân - tome 08
Grégoire Hellot (collection dirigée par), Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : The Heroic Legend of Arslân
Date de parution : 16/05/2018
Éditeurs :
Kurokawa

The Heroic Legend of Arslân - tome 08

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Grégoire Hellot (collection dirigée par), Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : The Heroic Legend of Arslân
Date de parution : 16/05/2018
Découvrez aujourd’hui The Heroic Legend of Arslân, une série d’heroic fantasy exceptionnelle ! Au programme : des batailles épiques, des stratégies étonnantes et des intrigues de palais.
Après avoir décidé d'aider le prince Rajendra à monter sur le trône du royaume de Sindôra, le prince Arslân et sa troupe se voient forcés de mener une campagne militaire d'envergure en territoire hostile. La ruse sera-t'elle suffisante face à un ennemi supérieur en nombre possédant de redoutables éléphants de guerre.
 
EAN : 9782368526422
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782368526422
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 128 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • mimouski 10/03/2019
    Que dire de ce tome ? Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas lu un tome d'Arslan. Cette série est vraiment plaisante à lire : royauté, loyauté, amitié. Des intrigues et beaucoup de stratégies politiques. Dans ce tome, on sent que l'arc sidorien va bientôt se conclure et franchement, heureusement car ce prince hystérique Ghadhevi imbu de pouvoir, je ne veux plus le voir ! Son visage et surtout ses yeux sournois m'agacent, donc bien joué, le dessin le représentant apporte bien l'effet voulu..
  • Calimero25 01/10/2018
    Arslan vient en aide à Rajendra afin qu'il puisse monter sur le trône. Mais le père des princes Rajendra et Gadevhi va décider que la succesion se fera via un duel. Rajendra demande donc une fois encore l'aide du prince Arslan en le demandant si Daryun peut devenir son guerrier pour ce duel. Toujours accompagné par ses fidèles compagnons, Arslan continue à faire son chemin et réussi à ce faire de nouveaux alliés.
  • Alfaric 31/05/2018
    Dans ce tome 8 nous sommes toujours dans la phase sindorienne du récit, et la guerre civile fait rage entre les deux héritiers de la couronne Ghadevî le fils d'aristocrate, caricature de noble imbu de lui-même, et Rajendra le fils d'esclave, caricature de dandy parvenu... Mais nous suivons aussi, et le parallèle est joli fait visuellement, Jaswant en pleine crise existentielle qui sait qu'il est trop bon pour son maître, et Baqhman en pleine crise existencielle qui sait que son maître est trop bon pour lui : dans un cas comme dans l'autre, ils leur seraient facile de trahir mais nous sommes dans le roman de chevalerie donc il est hors de question de bafouer l'honneur ! Nous suivons également d'autres personnages et les messages qu'ils véhiculent sont très proches les uns des autres : « si seulement son seigneur en était digne, quel excellent vassal ! » ^^ Dans un dernier sursaut, le roi Calihcala surmonte sa maladie et son agonie pour proposer le jugement des dieux à travers un duel de champions : Rajendra supplie Arslan de lui prêter le preux Daryûn, tandis que Ghadevî sort de sa geôle le monstre Bahâdur... Tout est contre le champion parse qui affronte un colosse qui ne connaît ni la peur ni la douleur, mais c'est ainsi qu'il entre dans les légendes sindoriennes sous le nom de Shere Sehnanî, le Tigre Féroce ! To Be Continued, Oh Yeah !!! Le pot-pourri cape et épée sur fond d'uchronie et de mythologie perse est toujours aussi plaisant voire passionnant, et toujours aussi sympathiquement et chouettement mis en scène par la mangaka Hiromu Arakawa : que j'ai hâte que la Team Arslan se transforme en Justice League pour rassembler toutes les nations contre le méchant millénaire des mages noirs, incarnation des forces obscures de la crevardise, qui comme vous le savez veut nous amener et dans les ténèbres les lier, au pays de Mordor où s'étendent les ombres...Dans ce tome 8 nous sommes toujours dans la phase sindorienne du récit, et la guerre civile fait rage entre les deux héritiers de la couronne Ghadevî le fils d'aristocrate, caricature de noble imbu de lui-même, et Rajendra le fils d'esclave, caricature de dandy parvenu... Mais nous suivons aussi, et le parallèle est joli fait visuellement, Jaswant en pleine crise existentielle qui sait qu'il est trop bon pour son maître, et Baqhman en pleine crise existencielle qui sait que son maître est trop bon pour lui : dans un cas comme dans l'autre, ils leur seraient facile de trahir mais nous sommes dans le roman de chevalerie donc il est hors de question de bafouer l'honneur ! Nous suivons également d'autres personnages et les messages qu'ils véhiculent sont très proches les uns des autres : « si seulement son seigneur en était digne, quel excellent vassal ! » ^^ Dans un dernier sursaut, le roi Calihcala surmonte sa maladie et son agonie pour proposer le jugement des dieux à travers un duel de champions : Rajendra supplie Arslan de lui prêter le preux Daryûn, tandis que Ghadevî sort de sa geôle le monstre Bahâdur... Tout est contre le champion parse qui affronte un colosse qui ne connaît...
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  • Tachan 29/05/2018
    Ici aussi, l'histoire continue à se lire sans déplaisir mais cette parenthèse avec le royaume de Sindora commence sérieusement à me lasser. J'ai l'impression qu'on s'est trop éloigné de la trame principale même si j'imagine que c'est pour trouver de futurs alliés. Les batailles sont bien faites, bien rythmées, bien dessinées, avec de la stratégie mais assez prévisibles. Les deux frères ennemis sont caricaturaux au possible. L'échéance qui tombe avec le réveil de leur père ne m'a pas surprise non plus même si elle était intéressante en permettant de mettre en avant Daryûn, un personnage que j'affectionne beaucoup. Du coup, on parle pas mal de loyauté dans ce tome mais aussi de droit/capacité à régner. Ça pose des jalons pour la suite ce qui n'en rend la lecture que plus frustrante. Vivement qu'on retourne à Ecbatana.
  • Lesvoyagesdely 27/05/2018
    Eh oui, quand on reçoit enfin son tome 8, la tendance c’est de se jeter dessus et le dévorer. Les sorties sont bien longues à attendre mais c’est toujours un plaisir. Il est également conseillé d’être en forme pour le lire. Ce tome est très intense, on s’approche de la fin d’un cycle, d’une grande bataille qui se fait difficilement. Ils sont toujours à Sindora, où Gahdevi et Rajendra se livrent une lutte acharné. Il est question de la légitimité face à la naissance, mais également au comportement envers son peuple, le charisme, l’habilité à le diriger. Gahdevi a vraiment un comportement des plus détestables, à se prendre pour le roi du monde, et se regarder le nombril, il n’apprend rien, son père a bien essayé pourtant. La guerre fait rage, Gahdevi a de son côté les éléphants. Une ressource non négligeable, mais il faut aussi alimenter tout ce troupeau. C’est bien de voir qu’on pense aux aspects techniques, que là encore Gahdevi prend trop à la légère et avec un profond irrespect. Que faire face à des éléphants ? Parse s’est retrouvé un peu malgré eux au milieu de cette rivalité fraternel qui va loin. Le roi se réveille, il sait que chacun a des atouts et des faiblesses, et il ne peut se décider, il remet donc sa décison aux Dieux. Il essaye d’être juste, tout en évitant malgré le duel à mort que ses fils ne soient blessés directement, comme ils pourront choisir leur champion. Comme le dit Narsus, un duel est dur mais il fait tellement moins de morts qu’une guerre, en un seul mort on est censé régler le conflit. Et devinez qui va choisir Rajendra ? Le duel est intense. Quand on voit les forces en présence, on a un haut le coeur. Même certains qui avaient confiance vont douter ! Quelle va être l’issu du combat ? Qui prendra la succession du roi ? Heureusement, le duel se finit dans ce tome, cela ne se fait pas sans pertes. Et la fin suscite de nouvelles interrogations. Il n’est pas toujours facile de ne pas perdre sa contenance non plus. Arslan est une très bonne série qui allie stratégie, pouvoir, politique, qui fait réfléchir sur l’esclavage, sur le droit de règne, etc. On a aussi des moments de rire, et d’amitié, qui font du bien, et permettent de récupérer un peu.Eh oui, quand on reçoit enfin son tome 8, la tendance c’est de se jeter dessus et le dévorer. Les sorties sont bien longues à attendre mais c’est toujours un plaisir. Il est également conseillé d’être en forme pour le lire. Ce tome est très intense, on s’approche de la fin d’un cycle, d’une grande bataille qui se fait difficilement. Ils sont toujours à Sindora, où Gahdevi et Rajendra se livrent une lutte acharné. Il est question de la légitimité face à la naissance, mais également au comportement envers son peuple, le charisme, l’habilité à le diriger. Gahdevi a vraiment un comportement des plus détestables, à se prendre pour le roi du monde, et se regarder le nombril, il n’apprend rien, son père a bien essayé pourtant. La guerre fait rage, Gahdevi a de son côté les éléphants. Une ressource non négligeable, mais il faut aussi alimenter tout ce troupeau. C’est bien de voir qu’on pense aux aspects techniques, que là encore Gahdevi prend trop à la légère et avec un profond irrespect. Que faire face à des éléphants ? Parse s’est retrouvé un peu malgré eux au milieu de cette rivalité fraternel qui va loin. Le roi se réveille, il sait que chacun a des...
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