Lisez! icon: Search engine
Transparente 01
Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 12/03/2020
Éditeurs :
Kurokawa

Transparente 01

Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 12/03/2020
Elle peut faire disparaître son corps… pas sa culpabilité.
Aya Kinomiya, 9 ans, grandit entre un père violent, un frère apathique et une mère qui tente de protéger ses enfants. Un quotidien insupportable qui donne à Aya l'envie de... Aya Kinomiya, 9 ans, grandit entre un père violent, un frère apathique et une mère qui tente de protéger ses enfants. Un quotidien insupportable qui donne à Aya l'envie de disparaître. L'envie se mue en réalité quand la jeune fille se découvre le pouvoir de devenir transparente aux yeux des... Aya Kinomiya, 9 ans, grandit entre un père violent, un frère apathique et une mère qui tente de protéger ses enfants. Un quotidien insupportable qui donne à Aya l'envie de disparaître. L'envie se mue en réalité quand la jeune fille se découvre le pouvoir de devenir transparente aux yeux des autres. Pourtant, au sein de sa famille, rien ne change.

Jusqu'à ce que son don d'invisibilité la pousse à commettre un geste au-delà de l'imaginable. Sa vie va s'en trouver transformée, mais de quelle façon ?
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782368526910
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782368526910
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 192
Format : 128 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • SunRead26 26/09/2023
    Extrait : Petite série en quatre tomes, j’ai cherché les tomes dans mes cartons pour pouvoir enfin la découvrir. Ce qui m’intéresse dans cette série, ses les thèmes, assez dur, abordés. La jaquette du premier tome était assez vague, et le synopsis m’a fait plier. Les violences qu’elles soient conjugales ou autre ne se limitent pas géographiquement, partout dans le monde des personnes innocentes en sont victimes. Cette histoire a pour base ce que vivent sûrement beaucoup de personnes, adultes, comme enfants, mais elle part ensuite vers quelque chose d’autres, qui pousse à la réflexion. Aya a toujours connu son père violent, surtout verbalement, il a tendance à se mettre en colère facilement, et à perdre le « contrôle » quand ça arrive. Toutefois, comme tout enfant, elle pensait que c’était normal, jusqu’à qu’elle aille jouer chez une amie et voie la complicité entre elle et son père. Ce jour-là, elle a compris que ce n’était pas normal, et a commencé à voir son père différemment. Sa mère s’est toujours mise en travers du père violent et ses enfants, si bien qu’il n’a jamais pu les frapper directement. Toutefois, pour Aya, voir sa mère subir tout ça devient compliquer à supporter, d’autant plus quand son frère ainé s’en fiche complètement. Un jour, sa mère menace de se suicider, n’en pouvant plus, Aya la stoppe de justesse et le père promet de ne plus recommencer, comme il l’a déjà promis auparavant. Cette excuse, c’est la même qu’utilise toutes les personnes violentes (car il n’y a pas que les hommes envers leur femme, mais parfois aussi l’inverse, et parfois aussi envers les enfants). Celle-ci n’est évidemment que rarement tenue, et cela fini souvent en drame… Aya a de plus en plus de mal, elle essaie de prendre sur elle, en se disant qu’avec le temps, elle grandira et pourra s’éloigner de tout ça. La tentative de sa mère la ramènera à la réalité, celle où même si elle décide de fuir, sa mère, la seule personne qu’elle aime, elle, sera toujours en proie à la violence. A force de souhaiter fuir, elle finira pas développer une capacité la rendant invisible, elle commencera à tester jusqu’où elle peut aller… et finira par commettre l’irréparable, assassiner son propre père, en pleine rue. Vivant désormais avec le poids de ses secrets, elle essaie tout de même de se réjouir en voyant le sourire de sa mère. En voyant le temps passer, elle souhaite quitter la maison afin de vivre seul, sûrement dans l’espoir d’oublier son père. Mais son fantôme la poursuit et le secret devient de plus en plus lourd à porter. Peut-elle encore espérer vivre une vie normale ? Doit-elle regretter son geste ? Selon moi, si elle n’avait pas tué son père, elle aurait fini par perdre sa mère… J’ignore donc qu’elle est le meilleur choix. [...]Extrait : Petite série en quatre tomes, j’ai cherché les tomes dans mes cartons pour pouvoir enfin la découvrir. Ce qui m’intéresse dans cette série, ses les thèmes, assez dur, abordés. La jaquette du premier tome était assez vague, et le synopsis m’a fait plier. Les violences qu’elles soient conjugales ou autre ne se limitent pas géographiquement, partout dans le monde des personnes innocentes en sont victimes. Cette histoire a pour base ce que vivent sûrement beaucoup de personnes, adultes, comme enfants, mais elle part ensuite vers quelque chose d’autres, qui pousse à la réflexion. Aya a toujours connu son père violent, surtout verbalement, il a tendance à se mettre en colère facilement, et à perdre le « contrôle » quand ça arrive. Toutefois, comme tout enfant, elle pensait que c’était normal, jusqu’à qu’elle aille jouer chez une amie et voie la complicité entre elle et son père. Ce jour-là, elle a compris que ce n’était pas normal, et a commencé à voir son père différemment. Sa mère s’est toujours mise en travers du père violent et ses enfants, si bien qu’il n’a jamais pu les frapper directement. Toutefois, pour Aya, voir sa mère subir tout ça devient compliquer à supporter, d’autant...
    Lire la suite
    En lire moins
  • OverTheMoonWithBooks 22/09/2021
    Aya Kinomiya grandi dans une famille dysfonctionnelle. Solitaire elle est aussi mal dans sa peau et aimerait parfois disparaître. Et un jour, elle y parvient. Après que son père violente sa mère une fois de trop, la tentation de se venger devient trop grande. Mais comme le dit le proverbe, la vengeance est un plat qui se mange froid. Il y a un moment que j'avais repéré ce titre dont certains éléments me rappelait Erased de Kei Sanbe. Certes, ce ne sont que des éléments car ni la narration ni l'intrigue n'ont quoi que ce soit en commun. Ici, le mangaka se concentre vraiment sur des thèmes comme les violences conjugales, le traumatisme et la difficulté à sortir du silence qui devient la règle dans le cas des abus. Le rythme est assez lent, il y a peu de texte et les découpages sont très cinématographique, ce qui nous met très vite dans l'ambiance pesante de l'histoire. Le trait est très simple, presque spartiate et les contours et arrières-plans sont très minimalistes également. Mais ça fonctionne. Avec peu d'effet et peu de texte mais des plans finement étudiés, je suis très rapidement rentrée dans cette histoire. Le peu de personnages secondaires que l'on trouve permettent de créer des contrastes intéressants avec notre personnage principal et donnent une profondeur psychologique supplémentaire à l'histoire dans son ensemble. Maintenant j'ai hâte d'en connaître la suite de cette courte série. Aya Kinomiya grandi dans une famille dysfonctionnelle. Solitaire elle est aussi mal dans sa peau et aimerait parfois disparaître. Et un jour, elle y parvient. Après que son père violente sa mère une fois de trop, la tentation de se venger devient trop grande. Mais comme le dit le proverbe, la vengeance est un plat qui se mange froid. Il y a un moment que j'avais repéré ce titre dont certains éléments me rappelait Erased de Kei Sanbe. Certes, ce ne sont que des éléments car ni la narration ni l'intrigue n'ont quoi que ce soit en commun. Ici, le mangaka se concentre vraiment sur des thèmes comme les violences conjugales, le traumatisme et la difficulté à sortir du silence qui devient la règle dans le cas des abus. Le rythme est assez lent, il y a peu de texte et les découpages sont très cinématographique, ce qui nous met très vite dans l'ambiance pesante de l'histoire. Le trait est très simple, presque spartiate et les contours et arrières-plans sont très minimalistes également. Mais ça fonctionne. Avec peu d'effet et peu de texte mais des plans finement étudiés, je suis très rapidement rentrée dans cette histoire. Le peu de personnages secondaires...
    Lire la suite
    En lire moins
  • AnneClaire29 09/06/2021
    Aya voit depuis des années son père battre sa mère. Après une violente dispute, elle n'a qu'une seule envie disparaître. C'est comme ça qu'elle découvre qu'elle a le don de devenir transparente quand elle le veut. Le quotidien pesant de chez elle fait qu'elle disparaît de plus en plus. Mais un jour, elle décide de commettre l'irréparable pour sauver sa mère. Ce manga n'est pas une surenchère de violence et de noirceur. Il montre une famille en apparence normal où une fois la porte fermée la violence et les reproches pleuvent. Le mangaka se concentre sur le personnage d'Aya qui évolue au fil de l'histoire et commence à voir qu'il n'y a pas que du sombre dans sa vie ou au lycée. Il y a peu de texte mais c'est très bien.
  • Maplumedepaon 22/03/2021
    Les violences conjugales sont un sujet difficile à aborder, mais à travers Transparente, Jun Ogino parvient non seulement à le traiter avec délicatesse mais aussi à nous faire nous interroger. Aya grandit dans une famille dont le père est froid et violent, la mère soumise et effacée, le grand frère indifférent et silencieux. Un jour elle découvre qu'elle a un pouvoir, celui de pouvoir faire disparaître son corps. Elle va alors user de ce don pour commettre l'irréparable marquant à jamais son destin. Marquée au fer blanc par sa culpabilité, Aya grandit et part loin de sa mère. Rongée par les remords, elle doute de pouvoir accéder à la vie "normale" dont elle rêvait tant, en observant ses amies du collège et a toujours autant de mal à se lier d'amitié. Ce premier tome avec un graphisme épuré m'a totalement captivée, j'ai trouvé l'angle choisi vraiment très intéressant, nous amenant à nous questionner beaucoup, et j'ai vraiment très hâte de lire la suite.
  • mel_bouquine18 12/01/2021
    C’est grâce à Babelio et leur masse critique graphique que j’ai pu découvrir mon premier manga. Novice dans le genre, je vous livre ici un avis sur ce premier tome. Même sans aucune autre lecture de référence, cela saute aux yeux que le tome 1 de « Transparente » n’est qu’une introduction. L’auteur place ses pions avec un texte qui m’a semblé pauvre, et paradoxalement redondant. Une certaine frustration en ressort. Par contre, le dessin simple, épuré et brut en dit davantage, et bien mieux ! Les personnages sont dotés d’expressions claires, le trait dégage une sensation d’écrasement, une ambiance lourde et pesante, beaucoup de tristesse. Le graphisme de ce manga transmet les émotions sans aucune difficulté. Une très bonne surprise de ce côté-là. Je sui donc décidée à poursuivre l’aventure, d’autant plus que les sujets dont il est question sont intéressants : famille dysfonctionnelle avec un père violent, culpabilité, désir de vengeance, solitude… En espérant que le texte des tomes suivants soient plus travaillés, et que le dessin conserve cette qualité. Mention spéciale pour cette magnifique couverture !
Inscrivez-vous à la newsletter Kurokawa, la newsletter qui a du punch !
Toute l'actualité 100% manga de vos collections et séries préférées.

Lisez maintenant, tout de suite !