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Transparente 04
Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 10/12/2020
Éditeurs :
Kurokawa

Transparente 04

Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 10/12/2020
Elle peut faire disparaître son corps… pas sa culpabilité.
Aya a avoué à Shiori et Kana qu’elle avait assassiné son père. Elle n’a plus le choix : il lui faut assumer son geste jusqu’au bout. Elle a pourtant beaucoup à perdre… trop, peut-être. Et plus le temps passe, plus ses amies, bien que respectueuses de sa décision, sont tentées de l’en dissuader. Mais quel avenir s’offre à vous quand les ténèbres menacent de vous engloutir ?
EAN : 9782368529812
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782368529812
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 128 x 182 mm

Ils en parlent

« TRANSPARENTE ravira autant les accros aux polars (légèrement) fantastiques que les amateurs de tranche de vie. »
M. P. / Coyote Mag
« La boule au ventre, on dévore le tome comme rarement on a dévoré un manga. »
Tatiana Chedebois / Le Journal du Japon

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • SunRead26 17/01/2024
    Extrait : Dernier tome pour cette série courte en quatre volumes, dramatique mais pleine d’humanité. L’auteur révèle des personnages attachants ayant parfois un passé dramatique. Quant à la fin, elle révèle quelque chose dont je me doutais un peu depuis un moment. J’aimerais beaucoup un anime sur cette série, même qu’un film suffirait je pense, juste pour voir la chanson d’Aya chanté par son amie. S’il y a des séries courtes de qualités assez moyennes, celle-ci n’en fait pas du tout partie, et restera dans ma collection. Ce qui me surprend dans ce dernier tome, c’est qu’Aya avoue son crime à sa seconde amie, Kana, mais pas de sa capacité et de son origine. Même si cela ne change rien au crime qu’elle a commis, et à la maturité dont elle fait preuve. Après tout, qui attendrais d’avoir quelque chose à perdre pour se rendre, soit on se rend dès le départ, soit on espère être oublié. Une fois la vérité avouée à sa dernière amie, Aya est convaincue, et elle continue, son frère, sa mère et son grand-père paternel ont aussi le droit à la révélation. Pour tous, c’est le choc, mais le frère s’en doutait malgré tout. Outre ses révélations, le dernier tome se concentre également sur la chanson d’Aya, qui est le signe qu’elle va se rendre. Reprise plusieurs fois, elle finira par la terminer et la montrer à Shiori. Elle attendra évidemment que la chanson soit terminée pour partir, elle partira après le réveillon. Une nouvelle année, un nouveau départ. Elle donne l’impression que la culpabilité ne la quittera jamais, pourtant, elle souhaite tout de même avancer. La maman d’Aya s’effondre, mais j’avoue ignorer si c’est parce qu’elle aimait son père, ou parce que c’est sa propre fille la responsable, sans doute un peu des deux. Elle a passé son temps à protéger ses enfants, en prenant sur elle, elle pense donc qu’Aya la fait pour elle. Mais Aya lui confirme, elle souhaitait juste que tout cela s’arrête. Les violences conjugales finissent rarement bien, j’ignore totalement comment elles sont traitées au Japon. Mais vu comment elles le sont en France, ça ne doit pas être mieux (étant donné qu’ils sont assez macho). En venir aux mains soi-même pour tout arrêter, c’est peut-être même la preuve d’un manque de considération ou de suivi ? Les enfants en sont souvent aussi les victimes, même s’ils ne sont pas nécessairement attaqués physiquement par le parent violent, cela reste un choc psychique que d’en voir un frapper l’autre. [...]Extrait : Dernier tome pour cette série courte en quatre volumes, dramatique mais pleine d’humanité. L’auteur révèle des personnages attachants ayant parfois un passé dramatique. Quant à la fin, elle révèle quelque chose dont je me doutais un peu depuis un moment. J’aimerais beaucoup un anime sur cette série, même qu’un film suffirait je pense, juste pour voir la chanson d’Aya chanté par son amie. S’il y a des séries courtes de qualités assez moyennes, celle-ci n’en fait pas du tout partie, et restera dans ma collection. Ce qui me surprend dans ce dernier tome, c’est qu’Aya avoue son crime à sa seconde amie, Kana, mais pas de sa capacité et de son origine. Même si cela ne change rien au crime qu’elle a commis, et à la maturité dont elle fait preuve. Après tout, qui attendrais d’avoir quelque chose à perdre pour se rendre, soit on se rend dès le départ, soit on espère être oublié. Une fois la vérité avouée à sa dernière amie, Aya est convaincue, et elle continue, son frère, sa mère et son grand-père paternel ont aussi le droit à la révélation. Pour tous, c’est le choc, mais le frère s’en doutait malgré tout. Outre ses révélations,...
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  • lectiole 10/12/2020
    La couverture du quatrième tome de "Transparente" passe plutôt inaperçue puisque son héroïne est transparente dessus. À la fin de ma lecture, je ne sais qu'en penser : une fin ouverte qui fait réfléchir, mais finalement, la dimension fantastique de l'histoire est laissée de côté dans ce dernier volume dont le dénouement me laisse dubitative. Finalement cette fin donne à la série l'allure d'une parenthèse comme si toute échappatoire était impossible aux âmes mal nées : une fois qu'on est pris dans un étau familial, on devient prisonnier de sa propre prison et il n'y a plus d'issue. Il y aura pourtant eu des éclaircies, de beaux moments d'amitié, mais le mangaka a toujours moins bien dessiné les deux amies d'Aya, qui se ressemblent d'ailleurs, que les membres de sa famille, les décors, beaucoup plus réalistes. Cette série est loin d'être inintéressante, mais elle est tragique et sa fin ouverte hante l'esprit du lecteur sans lui apporter de réponse satisfaisante.
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