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Vaste comme la nuit
Collection : Fleuve noir
Date de parution : 22/08/2019
Éditeurs :
Fleuve éditions

Vaste comme la nuit

Collection : Fleuve noir
Date de parution : 22/08/2019
"La plume la plus sensible du roman policier féminin." Michel Bussi

" Ce nouveau roman à l'atmosphère fiévreuse et sinueuse dépasse les frontières habituelles du polar." Dominique Landron, Corse Matin

" Entre...
"La plume la plus sensible du roman policier féminin." Michel Bussi

" Ce nouveau roman à l'atmosphère fiévreuse et sinueuse dépasse les frontières habituelles du polar." Dominique Landron, Corse Matin

" Entre passé et présent, on se laisse prendre par cette intrigue sinueuse." Natacha Rivalan, Aufeminin


"Des habitants qui ont avalé leur langue.
Une...
"La plume la plus sensible du roman policier féminin." Michel Bussi

" Ce nouveau roman à l'atmosphère fiévreuse et sinueuse dépasse les frontières habituelles du polar." Dominique Landron, Corse Matin

" Entre passé et présent, on se laisse prendre par cette intrigue sinueuse." Natacha Rivalan, Aufeminin


"Des habitants qui ont avalé leur langue.
Une forêt où rôde un étrangleur de bêtes.
Trois maisons isolées en lisière de forêt et l'Eaulne pour frontière..."

La capitaine Mathilde Sénéchal n'aurait jamais imaginé retourner sur les lieux de son enfance, un petit village non loin de Dieppe. Mais quand Lazaret, son ancien chef de groupe, lui fait parvenir une lettre sibylline, elle comprend qu'elle va devoir rouvrir une enquête vieille de trente ans. Qu'elle le veuille ou non, le passé ne meurt jamais. Il a même des odeurs, ces odeurs qu'elle sait identifier comme personne et qui sont aussi son talon d'Achille. Il est temps pour elle de sonder sa mémoire défaillante et d'affronter la vérité.

À propos de l’univers de Comme de longs échos :
« Pas besoin d’aller chercher plus loin qu’un fait divers quand le talent tient la barre. »
Delphine Peras, L’Express.
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EAN : 9782265144118
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 312
Format : 140 x 210 mm
EAN : 9782265144118
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 312
Format : 140 x 210 mm

Ils en parlent

À la fois thriller, roman noir et enquête policière, ce roman est plein de (bonnes) surprises!
La plus grande qualité de ce roman réside dans son écriture: dans une langue très imagée et poétique, toute en sensibilité, l'autrice nous invite dans l'intimité de protagonistes à fleur de peau et au passé trouble.
L'intrigue, la résolution d'un drame familial, est le prétexte à une introspection de l'héroîne, un personnage totalement névrosé et attachant.
Les indices sont subtilement semés au gré des rencontres entre les personnages, et au fil des chapitres faisant alterner passé et présent.
"Vaste comme la nuit" est un roman abouti tant dans la forme que dans le fond, et saura séduire les amoureux des mots comme les amateurs de suspense psychologique.
Bénédicte / L'Armitière

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • zerwe 14/12/2021
    J'ai assez bien aimé, même s'il y a des pages lourdingues, à force de vouloir faire dans l'original et trouver à tout prix des comparaisons ou images pseudo poético-profondes. Un problème aussi avec cette vendetta et ses nombreux acteurs et actrices dont on a du mal à la longue à retrouver qui est qui.
  • Fennijer 13/02/2021
    Il m#x2019a fallu près d#x2019une semaine pour lire ce thriller pourtant pas très épais. J#x2019ai eu un mal fou à me mettre dedans, pas à cause de l#x2019histoire, qui m#x2019a vraiment beaucoup plue, mais à cause de l#x2019écriture alambiquée d#x2019Elena Piacentini. Ah oui, c#x2019est beau, mais ce n#x2019est pas ce que je recherche quand je me plonge dans ce genre de livre. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué... Pour autant, je ne tire pas un trait sur cette auteure, car j#x2019ai beaucoup aimé l#x2019atmosphère, l#x2019intrigue et toute l#x2019histoire autour. Il est vrai que je n#x2019aime pas son style, mais je dois reconnaître qu#x2019elle a du talent.
  • delphlabibliovore 14/11/2020
    Elena Piacentini nous montre la détresse du capitaine Mathilde Sénéchal dans « Vaste comme la nuit » alors qu'elle est confrontée à un cold case la plongeant dans sa jeunesse. J'ai toujours le même plaisir à lire cette auteure et cette fois elle m'a encore surprise par la façon dont elle mène son récit. Sa plume est comme d'habitude très acérée mais elle l'a plantée dans les secrets de famille. Elle avance avec délicatesse dans son histoire sans pour autant être mièvre. Ainsi, rien n'est simple quand Elena Piacentini décide de revenir sur le passé de Mathilde. " Assise sur la dalle froide, Mathilde Sénéchal est hermétique à la magie du jour qui se lève. Un cauchemar l’a tirée du sommeil. Toujours le même. Elle, enfant, filant sur sa bicyclette, la gorge et le nez agressés par une puanteur mentholée, fuyant elle ne sait quoi ou qui. Et la chute, immuable dénouement de cette course effrénée, insensée. Une culbute vers l’abîme qui la laisse nauséeuse et remue des questions demeurées en suspens. " Les mots sonnent juste dès lors qu'elle brosse la psychologie des personnages. J'ai découvert au fil des pages les méandres de la psychogénéalogie et me suis laissée entraîner dans une histoire de famille très complexe. Bien sûr les personnages sont tortueux à souhait. Un cold case qui devient petit à petit brûlant avec des personnages truculents, sombres et inoubliables. Pour Mathilde, il faudra non seulement élucider une affaire mais aussi faire face à un passé douloureux. Le tout est dilué dans le quotidien de provinciaux bien loin des considérations du modernisme à outrance. Des secrets de familles se mêlent à la souffrance, aux souvenirs acides que Mathilde avait préféré oublier. « Vaste comme la nuit » est surtout un roman noir plus qu'un polar. Noir comme ce que Mathilde avait décidé d'enterrer son passé. J'ai beaucoup apprécié ce cocktail de noirceur et de psychologie concocté par une auteure qui sait se renouveler ! Ce roman est sensuel et sensoriel qui mérite toute son attention.Elena Piacentini nous montre la détresse du capitaine Mathilde Sénéchal dans « Vaste comme la nuit » alors qu'elle est confrontée à un cold case la plongeant dans sa jeunesse. J'ai toujours le même plaisir à lire cette auteure et cette fois elle m'a encore surprise par la façon dont elle mène son récit. Sa plume est comme d'habitude très acérée mais elle l'a plantée dans les secrets de famille. Elle avance avec délicatesse dans son histoire sans pour autant être mièvre. Ainsi, rien n'est simple quand Elena Piacentini décide de revenir sur le passé de Mathilde. " Assise sur la dalle froide, Mathilde Sénéchal est hermétique à la magie du jour qui se lève. Un cauchemar l’a tirée du sommeil. Toujours le même. Elle, enfant, filant sur sa bicyclette, la gorge et le nez agressés par une puanteur mentholée, fuyant elle ne sait quoi ou qui. Et la chute, immuable dénouement de cette course effrénée, insensée. Une culbute vers l’abîme qui la laisse nauséeuse et remue des questions demeurées en suspens. " Les mots sonnent juste dès lors qu'elle brosse la psychologie des personnages. J'ai découvert au fil des pages les méandres de la psychogénéalogie et me suis laissée entraîner dans...
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  • celine85 14/11/2020
    Lazaret, l’ancien chef de groupe du capitaine Mathilde Sénéchal semble s’être suicidé. Il lui a laissé une lettre où elle comprend qu’elle va devoir rouvrir une ancienne enquête non élucidée qui va l’obliger à retourner sur les lieux de son enfance. En 1987, Jeanne Bihorel une jeune femme de 25 ans s’est évanouie dans la nature. Ce même jour et alors qu’elle était voisine, Mathilde fait une chute de vélo et n’a aucun souvenir. Pas facile pour elle de se replonger dans son passé mais nécessaire si elle veut comprendre et découvrir la vérité. Une histoire qui a mis du temps à se mettre en place et pas facile à suivre avec les différents personnages et périodes temps mais une fois lancée, impossible de lâcher le livre. L’ambiance monte progressivement, les rebondissements vont s’enchainer, les secrets vont se révéler,… et une fin inattendue. Belle découverte de cette auteure.
  • Ziliz 20/10/2020
    Mathilde a gommé de sa mémoire une journée d'été traumatisante. Ce jour-là, trente ans plus tôt, elle est tombée de vélo, et sa professeur de musique (véritable 'grande soeur' pour elle, enfant unique) a disparu dans la nature. Mathilde avait neuf ans. Depuis, elle a rejoint la police, au grand dam de son père architecte. Elle est devenue très proche de Lazaret, son chef de groupe. Celui-ci semble avoir découvert pas mal de choses sur cette zone d'ombre. Mais la vérité implique tellement Mathilde, ses proches, les gens qu'elle a côtoyés et aimés durant sa jeunesse, qu'il appartient à la jeune femme de remonter le fil. Seul ce travail, qui s'apparente à une psychanalyse, peut lui permettre d'affronter l'inconcevable. Je lis cette auteur pour la troisième fois. Les sujets d'Elena Piacentini varient ; il est question cette fois de transgénéalogie. Nous ne naissons pas vierges de toute histoire : nous avons hérité de drames, 'fautes' de nos parents et de leurs ancêtres - parfois tellement honteux/douloureux qu'ils sont indicibles, étouffés, transformés. « C'est un putain de sac à dos que tu te coltines, mais... Mais la plupart des choses que tu as mises dedans ne t'appartiennent pas. Tu sais quoi ? On va l'alléger, faire le grand ménage de printemps. » Où Mathilde a grandi, les rancoeurs entre familles sont tenaces, sur plusieurs générations. A l'échelle d'un village, les coups bas de la seconde Guerre mondiale restent bien présents dans les esprits. Cet aspect rappelle les délicieuses ambiances (avec vieilles histoires, secrets enfouis, vengeances) de romans de Pierre Magnan, Sébastien Japrisot, Pierre Pelot... La plume est riche mais sans ostentation, les propos pertinents, les images odeurs sont évocateurs. Je serais presque d'accord avec l'accroche de Bussi sur la première de couverture : 'La plume la plus sensible du roman policier féminin'. Mais pourquoi 'féminin' ? Je dirais 'une des plumes les plus sensibles du roman noir'. Et je comparerais à la géniale auteur Séverine Chevalier (La Manufacture de livres).Mathilde a gommé de sa mémoire une journée d'été traumatisante. Ce jour-là, trente ans plus tôt, elle est tombée de vélo, et sa professeur de musique (véritable 'grande soeur' pour elle, enfant unique) a disparu dans la nature. Mathilde avait neuf ans. Depuis, elle a rejoint la police, au grand dam de son père architecte. Elle est devenue très proche de Lazaret, son chef de groupe. Celui-ci semble avoir découvert pas mal de choses sur cette zone d'ombre. Mais la vérité implique tellement Mathilde, ses proches, les gens qu'elle a côtoyés et aimés durant sa jeunesse, qu'il appartient à la jeune femme de remonter le fil. Seul ce travail, qui s'apparente à une psychanalyse, peut lui permettre d'affronter l'inconcevable. Je lis cette auteur pour la troisième fois. Les sujets d'Elena Piacentini varient ; il est question cette fois de transgénéalogie. Nous ne naissons pas vierges de toute histoire : nous avons hérité de drames, 'fautes' de nos parents et de leurs ancêtres - parfois tellement honteux/douloureux qu'ils sont indicibles, étouffés, transformés. « C'est un putain de sac à dos que tu te coltines, mais... Mais la plupart des choses que tu as mises dedans ne t'appartiennent pas. Tu sais quoi ? On...
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