Meurtre à Balmoral : Le livre de Chris McGeorge

Livre très sympathique à lire, surtout en période de Noël! N’étant pas fan de la monarchie anglaise, j’avais quelques doutes, mais l’intrigue, bien que très simple, est interessante et bien mené ! Les personnages sont bien construits, même s’ils sont très clichés. Je suis juste légèrement déçue par le dénouement, mais ce sont mes gouts. C’est un livre léger qui se lit rapidement et qui fait du bien pendant les fêtes.

Jonathan, chef cuisinier du roi est en pleine effervescence. Préparer le repas de Noël pour la famille Windsor. Il n’a guère le temps de se reposer, se retrouvant seul pour les préparatifs. Le roi ayant ordonné à ses sujets de quitter Balmoral pour pouvoir passer les fêtes de Noël en toute intimité avec sa famille. Mais est-ce une bonne idée ? Surtout qu’au moment du discours intimiste, le roi s’écroule devant sa famille et de Jonathan. Si au début, la mort du roi se révèle un choc, les proches se sentent perdus. Le pilier n’est plus et c’est déstabilisant. Personne ne s’y est préparé. Même pas Jonathan qui, à la demande de la famille, se retrouve détective… Meurtre à Balmoral est un roman policier à huis-clos que j’ai pris plaisir à lire. Malgré certaines critiques mitigées concernant l’histoire des Windsor, il ne faut pas oublier qu’il s’agit avant tout d’une bifurcation créée par l’auteur. Ce dernier a suivi son propre chemin concernant les protagonistes de l’histoire dont les noms sont inventés. Jonathan est le personnage que j’ai le plus apprécié dans l’histoire. Fidèle à la monarchie, fidèle à son roi, fidèle à lui-même. Très proche de son roi mais ignoré du reste de la famille. Il y a une scène en particulier que j’ai détestée…cette mise à l’écart, je l’ai vraiment ressentie, au point de détester les membres de cette famille qui se prennent pour des demi-dieux… A part Martin que j’ai trouvé attachant et espiègle malgré les contraintes dû à son rang. Il n’en reste pas moins que cette histoire est pour moi très réussie, bourrée de suspense. Il me fut impossible de découvrir le coupable…et c’est vraiment à la toute fin que je me suis prise une gifle. L’auteur a réussi à me tromper plusieurs fois. Le seul reproche que j’aurais à faire concerne les fautes d’orthographe. Vous ne relisez jamais un roman ? Meurtre à Balmoral, je le conseille à ceux qui aiment les huis-clos réussis et à Agatha Christie.

Jonathan, chef cuisinier du roi est en pleine effervescence. Préparer le repas de Noël pour la famille Windsor. Il n’a guère le temps de se reposer, se retrouvant seul pour les préparatifs. Le roi ayant ordonné à ses sujets de quitter Balmoral pour pouvoir passer les fêtes de Noël en toute intimité avec sa famille. Mais est-ce une bonne idée ? Surtout qu’au moment du discours intimiste, le roi s’écroule devant sa famille et de Jonathan. Si au début, la mort du roi se révèle un choc, les proches se sentent perdus. Le pilier n’est plus et c’est déstabilisant. Personne ne s’y est préparé. Même pas Jonathan qui, à la demande de la famille, se retrouve détective… Meurtre à Balmoral est un roman policier à huis-clos que j’ai pris plaisir à lire. Malgré certaines critiques mitigées concernant l’histoire des Windsor, il ne faut pas oublier qu’il s’agit avant tout d’une bifurcation créée par l’auteur. Ce dernier a suivi son propre chemin concernant les protagonistes de l’histoire dont les noms sont inventés. Jonathan est le personnage que j’ai le plus apprécié dans l’histoire. Fidèle à la monarchie, fidèle à son roi, fidèle à lui-même. Très proche de son roi mais ignoré du reste de la famille. Il y a une scène en particulier que j’ai détestée…cette mise à l’écart, je l’ai vraiment ressentie, au point de détester les membres de cette famille qui se prennent pour des demi-dieux… A part Martin que j’ai trouvé attachant et espiègle malgré les contraintes dû à son rang. Il n’en reste pas moins que cette histoire est pour moi très réussie, bourrée de suspense. Il me fut impossible de découvrir le coupable…et c’est vraiment à la toute fin que je me suis prise une gifle. L’auteur a réussi à me tromper plusieurs fois. Le seul reproche que j’aurais à faire concerne les fautes d’orthographe. Vous ne relisez jamais un roman ? Meurtre à Balmoral, je le conseille à ceux qui aiment les huis-clos réussis et à Agatha Christie.

Nous voici donc à Balmoral, magnifique château écossais, qui en ce jour de Noël est coupé du reste du monde par une tempête de neige. Lors de son traditionnel discours de fin de repas, le Roi s'effondre, raide mort ! Il semble empoisonné. Mais qui a pu ôter la vie de Sa Majesté ? Cet événement tragique va faire ressortir le pire en chacun des membres de la famille royale : rancœurs et secrets sont au menu. L'enquête est donc axée sur la psychologie des membres de la famille. Je regrette que la majorité de l'intrigue se passe dans une seule pièce, alors qu'un château immense est là et ne demande qu'à être exploré. S'ajoute également le manque de rythme, qui m'a donné une impression d'étouffement... Une enquête qui prend son temps mais qui ravira les fans absolus de la monarchie anglaise et des huis clos.