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  • Lecture d'été : le polar s'invite dans vos valises

    Cet été, glissez un peu de suspense dans vos valises avec notre sélection de polars à lire en vacances ! Meurtres en huis clos, enquêtes haletantes, thrillers psychologiques ou mystères à résoudre sous le soleil : ces romans noirs se dévorent entre deux baignades ou lors des longues soirées d’été. Que vous soyez fan de détectives charismatiques, d'intrigues tordues ou de rythmes effrénés, vous trouverez forcément le polar qui fera monter la tension… même en pleine canicule ! Des pages qui tournent toutes seules, pour un été sous haute tension.

    Sélection
  • 4000 semaines d’Oliver Burkeman : Une réflexion sur le temps et l’existence

    Que souhaitons-nous vraiment faire de nos journées et de notre vie ? 

    C’est à travers cette question que l’écrivain britannique, Oliver Burkeman nous invite à repenser notre rapport au temps avec son ouvrage « 4000 semaines ». Ce titre intrigant fait référence à la durée de vie moyenne de la vie humaine, soit environ 4000 semaines. A travers ce livre, Burkeman nous pousse à réfléchir sur la manière dont nous utilisons ce temps précieux.

    Focus
  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
    Interview
  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
    Interview