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  • Lecture d'été : le polar s'invite dans vos valises

    Cet été, glissez un peu de suspense dans vos valises avec notre sélection de polars à lire en vacances ! Meurtres en huis clos, enquêtes haletantes, thrillers psychologiques ou mystères à résoudre sous le soleil : ces romans noirs se dévorent entre deux baignades ou lors des longues soirées d’été. Que vous soyez fan de détectives charismatiques, d'intrigues tordues ou de rythmes effrénés, vous trouverez forcément le polar qui fera monter la tension… même en pleine canicule ! Des pages qui tournent toutes seules, pour un été sous haute tension.

    Sélection
  • Docteur Mouche revient : Gilbert Bordes signe un roman bouleversant

     Trente années se sont écoulées, après avoir été emprisonné pour un crime qu’il n’a pas commis, le docteur Mouche n’a pas oublié Clara. L’enlèvement d’un petit garçon, Jules, sur le lieu de ses premières amours, un village non loin de Salers, lui donne envie d’y retourner, d’aller à la recherche de son propre passé et de répondre enfin à cette question restée en suspens : pourquoi Clara l’a-t-elle quitté ?

    Il découvre alors que la disparition du P’tit Jules le concerne directement…

    Focus
  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
    Interview
  • Découvrez l'Arkansas d'Eli Cranor

    Eli Cranor est de ces auteurs que nous sommes farouchement, obstinément et âprement fiers de défendre chez Sonatine car, au-delà d’un solide talent, il est issu de ces marges qu’il prend pour sujet. Et Chiens des Ozarks rappelle une évidence qu’on aurait tendance à oublier : la littérature a encore un pouvoir social, celui de la critique. Ses dénonciation subtiles ne passent jamais par la contestation ouvertement énoncée, mais se jouent dans un léger décalage : l’enrayage de la belle mécanique américaine.
    Interview