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Bilingue français-anglais : Il importe d'être constant / The Importance of Being Earnest
Gérard Hardin (traduit par)
Collection : Bilingues
Date de parution : 07/10/2010
Éditeurs :
12-21

Bilingue français-anglais : Il importe d'être constant / The Importance of Being Earnest

Gérard Hardin (traduit par)
Collection : Bilingues
Date de parution : 07/10/2010
La célèbre comédie théâtrale de l'inconcournable Oscar Wilde en version blingue.

La série BILINGUE de 12-21 propose :
• une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes
• une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d’auteurs étrangers.
 

  • The...

La série BILINGUE de 12-21 propose :
• une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes
• une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d’auteurs étrangers.
 

  • The Importance of Being Earnest est certainement la plus connue, et la plus populaire des pièces d'Oscar Wilde.
  • C'est un classique, joué...

La série BILINGUE de 12-21 propose :
• une traduction fidèle et intégrale, accompagnée de nombreuses notes
• une méthode originale de perfectionnement par un contact direct avec les œuvres d’auteurs étrangers.
 

  • The Importance of Being Earnest est certainement la plus connue, et la plus populaire des pièces d'Oscar Wilde.
  • C'est un classique, joué aussi bien en Angleterre qu'à l'étranger. Wilde y manie à plaisir tous les ressorts de l'intrigue comique pour construire un étourdissant quiproquo.
  • Il fait naître, par la magie du langage, de superbes personnages -telle la redoutable Tante Augusta - qui avec un cynisme naïf, ou une naïveté cynique, prennent à contrepied les principes les mieux établis, pour mieux se moquer des turpitudes banales du "beau monde".
  • On découvre avec cette comédie, ce festival de mots d'auteurs, l'un des chefs-d'oeuvre de la littérature et de l'humour anglais.
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EAN : 9782266212366
Code sériel : 2211
Façonnage normé : PDF
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782266212366
Code sériel : 2211
Façonnage normé : PDF
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Cielvariable 05/07/2023
    Cette pièce a été écrite en 1895 et c'est une des plus célèbres de l'auteur. L'intrigue tourne autour de deux amis: Jack et Algernon, qui adoptent chacun une identité fictive pour échapper aux contraintes de la société victorienne. Jack se fait passer pour Ernest dans la ville, tandis qu'Algernon utilise également le prénom d'Ernest pour s'évader à la campagne. Les choses se compliquent lorsque les deux hommes tombent amoureux de jeunes femmes, Gwendolen et Cecily, mais rencontrent des obstacles en raison de leurs mensonges. La pièce aborde les thèmes chers à l'auteur: l'identité, la vérité, la morale et les conventions sociales. Elle critique également l'hypocrisie de la haute société et remet en question les normes rigides qui dictent le comportement et les apparences. Encore une fois l'humour est très présent (plus axé sur les jeux de mots et l'absurdité que sur l'ironie et le sarcasme habituels de l'auteur). La pièce se moque aussi des idéaux romantiques et de la superficialité de la classe supérieure. Les personnages sont excentriques, les dialogues sont rapides et vifs et l'intrigue est remplie de rebondissements quelque peu absurdes.
  • leandre_aime_lire 28/06/2023
    Oscar Wilde ne déçoit jamais ! Déjà auteur de mon roman préféré, Le Portrait de Dorian Gray, il est désormais également auteur de ma pièce de théâtre préférée ! J'ai rarement autant ri devant une pièce. En réalité, je n'ai que soufflé du nez ou légèrement souri devant une pièce comique. Celle-ci cependant, m'a réellement amusé ! L'écriture d'Oscar Wilde est brillante, et c'est pour cela qu'il est fort recommandé de lire/regarder la pièce en anglais. Toutefois, je pense que d'autres lecteurs pourront affirmer que la pièce vaut tout autant le coup en français. Les personnages ont un caractère remarquablement marqué, même pour les femmes, ce qui je trouve est très rafraîchissement (assez des pièces sans personnages féminins avec un caractère marqué !!). De plus, la pièce suit un bon rythme, je ne me suis pas du tout ennuyé durant ma lecture/mon visionnage, et tout est relativement simple à suivre. Évidemment, l'humour est le point le plus important, et aussi le plus réussi. L'humour cynique d'Oscar Wilde est intemporel et absolument délicieux. Merci d'avoir lu !
  • Flaubauski 06/06/2023
    Algernon Moncrieff, jeune homme de la bonne société anglaise, reçoit la visite de son ami Constant Worthing, pour demander en mariage sa cousine, Gwendolyn, ce qui n'est pas du goût de la mère de celle-ci - parce que pas assez bien pour la famille - et d'Algernon, tant qu'il ne lui aura expliqué pourquoi il possède un étui à cigares, offert par une certaine Cecily, au nom de Jack. Le jeune homme s'est en fait inventé un frère, Constant, pour mener ses basses œuvres à Londres, tout en gardant sa probité pour sa pupille, Cecily, sous son vrai nom, Jack. Algernon, qui mène lui-même double nom, et double jeu, s'intéresse de près à cette situation, et souhaite rencontrer Cecily, au détriment de son ami, ce qui mènera tout ce petit monde dans une situation bien incongrue au fil des actes. L'on retrouve, indéniablement, dans cette pièce d'Oscar Wilde, tous les ressorts classiques du comique : jeux sur les noms et les mots, personnages caricaturaux parfaitement comme il faut, là où il le faut, quiproquos, scène de reconnaissance finale qui permet une belle dénonciation, bien ironique, de la bonne société anglaise de son temps, formules à valeur de proverbes qui tombent toujours juste... Malgré la virtuosité de l'ensemble, je me suis relativement ennuyée à sa lecture, en ce que je l'ai trouvé un peu trop artificiel, et, de fait, trop attendu. Je préfère, indéniablement, le romancier et le nouvelliste au dramaturge, qui parvient à tirer davantage parti, à mon sens, dans ces genres, de tout ce qui fait sa singularité esthétique. Algernon Moncrieff, jeune homme de la bonne société anglaise, reçoit la visite de son ami Constant Worthing, pour demander en mariage sa cousine, Gwendolyn, ce qui n'est pas du goût de la mère de celle-ci - parce que pas assez bien pour la famille - et d'Algernon, tant qu'il ne lui aura expliqué pourquoi il possède un étui à cigares, offert par une certaine Cecily, au nom de Jack. Le jeune homme s'est en fait inventé un frère, Constant, pour mener ses basses œuvres à Londres, tout en gardant sa probité pour sa pupille, Cecily, sous son vrai nom, Jack. Algernon, qui mène lui-même double nom, et double jeu, s'intéresse de près à cette situation, et souhaite rencontrer Cecily, au détriment de son ami, ce qui mènera tout ce petit monde dans une situation bien incongrue au fil des actes. L'on retrouve, indéniablement, dans cette pièce d'Oscar Wilde, tous les ressorts classiques du comique : jeux sur les noms et les mots, personnages caricaturaux parfaitement comme il faut, là où il le faut, quiproquos, scène de reconnaissance finale qui permet une belle dénonciation, bien ironique, de la bonne société anglaise de son temps, formules à valeur de proverbes qui tombent toujours...
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  • Nickib 02/12/2022
    La meilleure pièce de théâtre d'Oscar Wilde selon moi. A lire si possible en anglais, un vrai bijou au niveau de l'intrigue, des jeux de mots et des rebondissements qui n'ont pas à pâlir de Feydeau. Ou l'on découvre deux jeunes aristocrates mâles un brin pathétiques, naïfs et oisifs qui se livrent de délicieux combats langagiers pour séduire leur belle et où le symbolique [masquer] finit par supplanter la réalité grâce à la magie littéraire.[/masquer]
  • hervethro 21/11/2022
    L’art délicat de la schizophrénie Pièce en quatre actes de la fin du XIXème siècle et apogée de l’œuvre de Wilde, ces jeux de rôles se savourent comme un dessert. Deux gentlemen, un dandy invétéré (Wilde lui-même ?) et un juge un peu trop sérieux (Earnest) - jeu de mots avec le prénom Ernest dans la version originale, précieusement offerte en pages paires dans l’édition Flammarion de poche que je conseille, histoire de parfaite son anglais et, pour les linguistes en herbe, comprendre le dur et délicate labeur du traducteur - s’inventent des doubles afin de pimenter leur quotidien et permettant d’échapper aux conventions Victoriennes. Ils vont tomber amoureux tous les deux de deux jeunes ingénues. Là-dessus, ajoutez une tante à cheval sur les principes et une gouvernante légèrement tête en l’air sous des dehors rébarbatifs et vous aurez la trame toute simple d’une pièce de boulevard. Seulement, c’est la main du plus brillant auteur de bons mots et de phrases assassines de son époque qui signe ce marivaudage qui n’en a que le nom. Sous cette apparente frivole légèreté se cache cependant une critique des conventions de l’époque, de l’âme humaine. Mais n’allez pas chercher le pamphlet là où Wilde n’a voulu que distraire ses spectateurs. Le dramaturge ne prétendait-il pas « donnez un masque à l’homme et il vous dira la vérité ». Faux-semblants, questionnement sur l’identité mais surtout et avant tout, une jubilation des mots, une récréation des répliques, un feu d’artifice des dialogues. On se plait à jouer soi-même la pièce. Quel régal pour un acteur ! Pareil foisonnement perd un peu à la lecture, je l’avoue. L’art délicat de la schizophrénie Pièce en quatre actes de la fin du XIXème siècle et apogée de l’œuvre de Wilde, ces jeux de rôles se savourent comme un dessert. Deux gentlemen, un dandy invétéré (Wilde lui-même ?) et un juge un peu trop sérieux (Earnest) - jeu de mots avec le prénom Ernest dans la version originale, précieusement offerte en pages paires dans l’édition Flammarion de poche que je conseille, histoire de parfaite son anglais et, pour les linguistes en herbe, comprendre le dur et délicate labeur du traducteur - s’inventent des doubles afin de pimenter leur quotidien et permettant d’échapper aux conventions Victoriennes. Ils vont tomber amoureux tous les deux de deux jeunes ingénues. Là-dessus, ajoutez une tante à cheval sur les principes et une gouvernante légèrement tête en l’air sous des dehors rébarbatifs et vous aurez la trame toute simple d’une pièce de boulevard. Seulement, c’est la main du plus brillant auteur de bons mots et de phrases assassines de son époque qui signe ce marivaudage qui n’en a que le nom. Sous cette apparente frivole légèreté se cache cependant une critique des conventions de l’époque, de l’âme humaine. Mais n’allez pas chercher le pamphlet là où Wilde n’a...
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