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Don Quichotte volume 2
Francis de Miomandre (traduit par)
Date de parution : 04/07/2019
Éditeurs :
12-21

Don Quichotte volume 2

Francis de Miomandre (traduit par)
Date de parution : 04/07/2019
Gloire à l’ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche et à son fidèle écuyer, Sancho Pança ! Et honte sur l’infâme imposteur Avellaneda, dont les récits apocryphes souillèrent l’épopée grandiose.... Gloire à l’ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche et à son fidèle écuyer, Sancho Pança ! Et honte sur l’infâme imposteur Avellaneda, dont les récits apocryphes souillèrent l’épopée grandiose. Qu’à cela ne tienne, l’aventure recommence. Le digne successeur d’Amadis de Gaule parviendra-t-il à briser le sortilège qui pèse sur... Gloire à l’ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche et à son fidèle écuyer, Sancho Pança ! Et honte sur l’infâme imposteur Avellaneda, dont les récits apocryphes souillèrent l’épopée grandiose. Qu’à cela ne tienne, l’aventure recommence. Le digne successeur d’Amadis de Gaule parviendra-t-il à briser le sortilège qui pèse sur Dulcinée ? Ce brave Sancho gouvernera-t-il un jour cette île qu’on lui a promise, en récompense de ses services ? Le monde se pliera-t-il enfin au désir des fous et des poètes –  pour qu’il soit comme dans un livre ?


Texte intégral
Traduit de l’espagnol par Francis de Miomandre, édition établie par Yves Roullière
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EAN : 9782823872705
Code sériel : 17602
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823872705
Code sériel : 17602
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Boris7578 23/02/2022
    Don Quichotte et Sancho... on retrouve les tribulations de nos deux compères à travers l'Espagne. Si l'on est habitué aux déboires de Don Quichotte, empalant des ailes de moulin avec sa lance sous l'oeil sceptique de Sancho, c'est une toute autre histoire dans ce deuxième tome. En effet, on vit au fil des pages la "quichottisation" de Sancho. Don Quichotte semble revenir à la réalité, parfois assez durement, à force de coups et de blessures, et perdre la force de croire en ses divagations. Cervantes nous dévoile alors un Sancho qui se laisse prendre au jeu, enthousiaste et téméraire, décidé à se lancer dans de nouvelles aventures délirantes, comme pour indiquer que c'est bon, la relève est assurée.
  • jcjc352 06/02/2022
    Je déclare avec Don Quichotte et le pasteur Quichottiz ainsi que Sancho Panza et le pasteur Panzino ( éventuellement Aragon pour l’origine espagnole) que : « Cervantes peint des pensées, découvre les imaginations, répond aux questions difficiles, éclaircit les doutes, résout moult difficultés proposées, et finalement manifeste jusqu’à ses derniers atomes la plus diligente passion de savoir et d’apprendre et... à nous faire rire  » (citation corrigée) Dans cette deuxième partie Panza prend la vedette : il devient plus raisonné et raisonneur et s’exprime comme un bonisseur expérimenté Il prend ses aises avec Don Quichotte et fait jeu égal avec celui-ci Toujours effronté vis à vis des nobles et de son maître, intarissable sur sa poltronnerie, il prend des initiatives parfois malheureuses sans en assumer les conséquences Surtout, ici il reconnaît la folie de son maître mais, mais, mais... pourtant continue à croire aux promesses d’une île (récompense promise par Don Quichotte) ce qui l’amènera a étrenner son premier gouvernement Don Quichotte égal à lui même, sentiments purs et morale plutôt saine , combatif sans peur et sans reproche (s) et l’air de rien chroniqueur mordant des mœurs de son époque et donneur de leçons politiques très pertinentes Véritable « dîner aux cons » avant la lettre (Je pensais bêtement que Breton André en était l’inventeur ainsi repris par Veber au cinéma, mais non ! Cervantes était déjà passé par là ! Respect Miguel!) avec deux hurluberlus entichés de chevalerie errante Maints comiques relevés ( constatés) et relevés ( épicés) - « le pincemi pincemoi » - « la tarte à la crème » mais avec un fromage coulant Cela rappelle Laurel et Hardi - Comique scénique : Don Quichotte L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux de bois « influenceur » des « fantomatiques montures » des « Monty python » et « Fantômas » parfois ? - Comique boulevardier : Cervantes roi du quiproquo amoureux comme Feydeau plus tard , - Comique intellectuel :énigmes du sphinx (et ... plus tard du père Fouras) en prime avec jugement à la Saint Louis - Comique de situation Don Quichotte et Panza caracolant sur un cheval de bois, Don Quichotte avec les chats - comique de mots avec Panza qui aphorisme approximativement (comme S. Tesson grand amuseur devant l’éternel) à tout bout de champ - comique de geste : Panza qui valse dans une couverture où Don Quichotte lavé au savon à barbe à table (me rappelle Yves Montant avec De Funeste) - comique de mœurs avec le comportement des femmes, des ecclésiastiques, des princes - comique de caractère avec l’indocilité pateline de Panza et autre chattemites , les idées fixes de son maître Une fois dépoussiéré, très frais ce comique si si ! J’ai particulièrement apprécié l’idée fixe récurrente de Don Quichotte enjoignant Sancho à se donner trois milles coups de fouets pour désenchanter Dulcinée On imagine les parades du gros bouffi devant l'insistance de son patron! Sancho ! Quel être, pourvu d’une seule voix, a d’abord quatre jambes le matin, puis deux jambes le midi, et trois jambes le soir ? Don Quichotte ! Et dire que cet écrit du début du dix-septième siècle est toujours d’actualité politique et sociale Je déclare avec Don Quichotte et le pasteur Quichottiz ainsi que Sancho Panza et le pasteur Panzino ( éventuellement Aragon pour l’origine espagnole) que : « Cervantes peint des pensées, découvre les imaginations, répond aux questions difficiles, éclaircit les doutes, résout moult difficultés proposées, et finalement manifeste jusqu’à ses derniers atomes la plus diligente passion de savoir et d’apprendre et... à nous faire rire  » (citation corrigée) Dans cette deuxième partie Panza prend la vedette : il devient plus raisonné et raisonneur et s’exprime comme un bonisseur expérimenté Il prend ses aises avec Don Quichotte et fait jeu égal avec celui-ci Toujours effronté vis à vis des nobles et de son maître, intarissable sur sa poltronnerie, il prend des initiatives parfois malheureuses sans en assumer les conséquences Surtout, ici il reconnaît la folie de son maître mais, mais, mais... pourtant continue à croire aux promesses d’une île (récompense promise par Don Quichotte) ce qui l’amènera a étrenner son premier gouvernement Don Quichotte égal à lui même, sentiments purs et morale plutôt saine , combatif ...
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  • sherpahebbes 14/01/2022
    Bon, enfin, j'ai fini Don Quichotte. Quand je dis finir, c'est à dire avoir lu le second tome car, à la réflexion, je me demande combien se sont arrêtés à la fin du 1er tome. Ce serait dommage, car le 2e est meilleur que le 1er. C'est toutefois très long et la mise en route (presqu'à dire au sens propre) est longue. Ce tome est un peu moins perdu en digressions que le 1er, il ne se perd pas d'aventures extérieures comme dans le 1er (ce que l'auteur indique d'ailleurs en toute lettres dans le texte comme regrettable). La segmentation de près de 75 chapitres est un peu pénible à mon goût, tout comme la nouvelle mode des proverbes qui me sont devenus pénibles à la lecture comme à Don Quichotte de les entendre. Pour autant le texte est plus dynamique que le premier tome, et je retiens l'affaire des Morisques comme bien amenée ainsi que la surprenante mise en écriture du plagiaire de ce tome. Autant la fin du premier tome est bâclée, autant la fin (réelle) de Don Quichotte est bien faite. Une fois cette somme (1200 pages en tout) refermée, je ne pense pas la relire de ma vie, mais je suis content de l'avoir lu et d'être quand même étonné qu'on ne garde dans l'inconscient collectif que l'histoire des moulins qui n'est pas l'aventure la plus extraordinaire de Don Quichotte. Alors, un chef d'oeuvre ? Probablement. Mais de là à en être transporté, pour moi, pas tout à fait. Mais à lire, et bien sûr par là je veux dire le tome II. Bon, enfin, j'ai fini Don Quichotte. Quand je dis finir, c'est à dire avoir lu le second tome car, à la réflexion, je me demande combien se sont arrêtés à la fin du 1er tome. Ce serait dommage, car le 2e est meilleur que le 1er. C'est toutefois très long et la mise en route (presqu'à dire au sens propre) est longue. Ce tome est un peu moins perdu en digressions que le 1er, il ne se perd pas d'aventures extérieures comme dans le 1er (ce que l'auteur indique d'ailleurs en toute lettres dans le texte comme regrettable). La segmentation de près de 75 chapitres est un peu pénible à mon goût, tout comme la nouvelle mode des proverbes qui me sont devenus pénibles à la lecture comme à Don Quichotte de les entendre. Pour autant le texte est plus dynamique que le premier tome, et je retiens l'affaire des Morisques comme bien amenée ainsi que la surprenante mise en écriture du plagiaire de ce tome. Autant la fin du premier tome est bâclée, autant la fin (réelle) de Don Quichotte est bien faite. Une fois cette somme (1200 pages en tout) refermée, je ne pense pas la relire de...
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  • ghislainemota 16/04/2020
    Et une résolution 2020 réalisée. La troisième tentative de lecture de Don Quichotte est cette fois ci la bonne. J ai pu lire les mille deux cents pages grâce à la traduction d'Aline Schulman qui voulait donner une lecture plus accessible au roman de Cervantès. Dans cette seconde partie écrite dix ans après la première parution de Don Quichotte , le chevalier errant et son écuyer Sancho subiront des aventures beaucoup plus carnavalesques qu'auparavant. La sédentarité dans le château du duc et de la duchesse apporteront bien des tourments car nos deux personnages vont devenir les marionnettes de ces hôtes impitoyables désirant assouvir leur plaisir devant le ridicule des situations. Mais notre héros malgré les "persécutions" continue dans sa schizophrénie. Les enchanteurs le poursuivent surtout dans la grotte de Montésinos. Jusqu'au pauvre Sancho qui doit de flageller de plus de trois mille coups pour désenchanter Dulcinée de Toboso. Mais l'écuyer aux coups préfère une panse bien pleine et surtout la liberté. Bien d'autre péripéties arriveront qui mettront en avant les valeurs morales de Don Quichotte car le respect, l'honnêteté, le courage et la compassion guident le chevalier à l'imagination débordante. En refermant cette œuvre foisonnante j'ai gardé un goût de tristesse devant cette vie ratée mais comme Goldman clame si bien que Don Quichotte peut chanter avec lui: "J'irai au bout de mes rêves où la raison s'achève" Après tout Don Quichotte n'a jamais souffert de sa folie et tant mieux pour lui. Et une résolution 2020 réalisée. La troisième tentative de lecture de Don Quichotte est cette fois ci la bonne. J ai pu lire les mille deux cents pages grâce à la traduction d'Aline Schulman qui voulait donner une lecture plus accessible au roman de Cervantès. Dans cette seconde partie écrite dix ans après la première parution de Don Quichotte , le chevalier errant et son écuyer Sancho subiront des aventures beaucoup plus carnavalesques qu'auparavant. La sédentarité dans le château du duc et de la duchesse apporteront bien des tourments car nos deux personnages vont devenir les marionnettes de ces hôtes impitoyables désirant assouvir leur plaisir devant le ridicule des situations. Mais notre héros malgré les "persécutions" continue dans sa schizophrénie. Les enchanteurs le poursuivent surtout dans la grotte de Montésinos. Jusqu'au pauvre Sancho qui doit de flageller de plus de trois mille coups pour désenchanter Dulcinée de Toboso. Mais l'écuyer aux coups préfère une panse bien pleine et surtout la liberté. Bien d'autre péripéties arriveront qui mettront en avant les valeurs morales de Don Quichotte car le respect, l'honnêteté, le courage et la compassion guident le chevalier à l'imagination débordante. En refermant cette œuvre foisonnante j'ai gardé un goût de tristesse devant cette...
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  • Lecamadeplus 21/08/2019
    Suite de ce chef d'oeuvre, un de ces lire qui a inventé la littérature.Encore plus drôle que le premier(Sachant qu'une suite non écrite par Cervantes était sortie quelque temps auparavant et dont il se moque aussi).J'ai eu une larme à l'oeil en refermant le livre.Allez finit de dire des banalités lisez -le.
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