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Doux comme la mort
Date de parution : 02/03/2017
Éditeurs :
12-21

Doux comme la mort

Date de parution : 02/03/2017
Deux hommes ravagés, deux vengeances, un ennemi commun.
 
Dans une prison malienne, le Messager, ancien commando de marine devenu mercenaire, purge sa peine comme une rédemption. Mais lorsqu'il apprend la mort de son ancien associé et compagnon, il... Dans une prison malienne, le Messager, ancien commando de marine devenu mercenaire, purge sa peine comme une rédemption. Mais lorsqu'il apprend la mort de son ancien associé et compagnon, il se lance à corps perdu dans un périple sanglant. Sur sa route, une femme flic amoureuse, un djihadiste salafiste, un... Dans une prison malienne, le Messager, ancien commando de marine devenu mercenaire, purge sa peine comme une rédemption. Mais lorsqu'il apprend la mort de son ancien associé et compagnon, il se lance à corps perdu dans un périple sanglant. Sur sa route, une femme flic amoureuse, un djihadiste salafiste, un galeriste parisien passionné, un acteur de films X reconverti dans le proxénétisme, un policier de l'antiterrorisme, un ancien ministre de la Défense, un biker à machette...
Trahir son Messager est dangereux, car il ne délivre qu'un seul message : la mort.

« Laurent Guillaume décrit avec froideur et minutie une humanité en péril, à force de cynisme et de cruauté. » L'Express
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EAN : 9782358872232
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782358872232
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ericdesh 14/03/2022
    Un roman rythmé et qui n'est pas avare en fusillades et règlements de compte. J'ai cependant mis un peu de temps à bien rentrer dans l'histoire car pendant une bonne moitié du roman, je ne voyais vraiment pas où l'auteur voulait en venir. Une fois que les enjeux me sont parus plus clairs, j'ai pris plus de plaisir et j'ai plus apprécié l'intrigue. Pour autant, et même si j'ai trouvé le roman plutôt bon, à mon sens, il ne dépasse pas ce niveau.
  • Tristale 04/02/2022
    j’ai découvert Laurent Guillaume au salon du livre de Paris en 2014, avec son livre « Black cocaïne », et j’ai lu les suivants avec grand plaisir parce que son écriture à un petit plus qui m’attire vraiment. quelques brins de poésie semés au détour d’une phrase, parmi le sang et la mort. Écrit il y a dix ans, doux comme la mort, nous donne à voir que malgré toute la noirceur de ce monde, où la corruption et les magouilles règnent en maître, on peut voir parfois pousser une minuscule fleur colorée sur un tas de fumier. Oui, même chez le messager, tueur froid et sans état d’âme, il reste encore une parcelle d’humanité. Et si la mort est la reine du jeu, le messager est le joker qui peut changer la donne. Naît alors une alliance improbable entre un mercenaire, une flic dépassée mais coriace et des bikers en quête de vengeance. Ça tombe et ça meurt avec ou sans courage et le messager, lui, de joker devient Phenix. Excellent moment de lecture, et je n’en ai pas fini avec cet auteur puisque qu’il me reste à lire son dernier et ses trois premiers livres. Je m’en réjouis d’avance.
  • wagner67 12/04/2021
    Au Mali : - otage français - assassinat d’un djihadiste En France : - disparition d’une jeune femme dont le père commissaire la cherche en solitaire - trafic de drogues - magouilles politiques Une histoire haletante avec Virgile au Mali et Gabriel en France. Une histoire sanglante, semée d’embûches et de cadavres ou aucune concession n’est faite.
  • scharpentier 30/07/2020
    Un très bon thriller. Efficace, rythmé et prenant. Dans un récit mené tambours battants, qui laisse de nombreux cadavres en chemin, l'auteur nous plonge, entre Bamako et Genève, dans une histoire où se croisent politiciens véreux, barbouzes, mercenaires, bikers et islamistes. L'intrigue est convaincante et pleine de rebondissements. L'écriture est brute et directe. Un très bon thriller qui tient en haleine.
  • Mome35 22/04/2020
    Le confinement m'a obligé à rechercher dans ma bibliothèque des livres qui s'entassaient et que je n'avais pas encore lus. Je suis ainsi tombé sur "Doux comme la mort" de Laurent Guillaume. J'avais déjà découvert cet auteur avec "Black cocaïne", un polar se déroulant au Mali et qui m'avait bien plu. Celui-ci me laisse un peu sur ma fin bien qu'il débute également dans cette république d'Afrique centrale, ancienne possession française, le Mali. Je pense avoir de plus en plus de mal à découvrir chez certains auteurs des héros qui ne sont pas des Zorro, mais qui en ont la couleur. Le Messager, le protagoniste principal de ce roman est, en effet, un tueur au contrat, ne possédant aucun sentiment sinon d'avoir un amant (homme) qui mourra dans un accident de la circulation, fauché par une voiture. C'est le départ de 341 pages de vengeance, de tueries par un être qui n'a aucun scrupule et qui défarouille comme on sort un paquet de cigarettes de sa poche. Le "Messsager" alias Gabriel Milan, à l'annonce de la mort subite de Damien, s'évade d'une prison de Bamako. Il va alors être pressenti par ses anciens employeurs pour effectuer une mission d'exécution d'un chef rebelle au Mali précisément. Mais, tout ne se réalisera pas comme il le désirait et de chasseur, il se retrouve aussi gibier, trahi par ses commanditaires. Politiciens véreux, policiers ripoux, fille disparue qu'il faut tenter de retrouver, Hell'Angels ou plutôt Bandidos, dealers, Laurent Guillaume ancien officier des stups puis coopérant envoyé en mission au Mali, emploie toute la panoplie utile pour donner du corps à son récit. Avec des chapitres courts (rarement plus de trois ou quatre pages), le rythme est également intense aidé par des rebondissements incessants et des morts qui s'amoncellent comme à gravelotte. Et c'est peut-être de cette débauche d'hémoglobine que vient une partie de ma déception car le Messager demeure, à mon avis, un peu trop indestructible même blessé, un peu trop "superman." Il reste que j'ai dû lire ce polar en quelques jours. C'est donc que la recette est bonne.Le confinement m'a obligé à rechercher dans ma bibliothèque des livres qui s'entassaient et que je n'avais pas encore lus. Je suis ainsi tombé sur "Doux comme la mort" de Laurent Guillaume. J'avais déjà découvert cet auteur avec "Black cocaïne", un polar se déroulant au Mali et qui m'avait bien plu. Celui-ci me laisse un peu sur ma fin bien qu'il débute également dans cette république d'Afrique centrale, ancienne possession française, le Mali. Je pense avoir de plus en plus de mal à découvrir chez certains auteurs des héros qui ne sont pas des Zorro, mais qui en ont la couleur. Le Messager, le protagoniste principal de ce roman est, en effet, un tueur au contrat, ne possédant aucun sentiment sinon d'avoir un amant (homme) qui mourra dans un accident de la circulation, fauché par une voiture. C'est le départ de 341 pages de vengeance, de tueries par un être qui n'a aucun scrupule et qui défarouille comme on sort un paquet de cigarettes de sa poche. Le "Messsager" alias Gabriel Milan, à l'annonce de la mort subite de Damien, s'évade d'une prison de Bamako. Il va alors être pressenti par ses anciens employeurs pour effectuer une mission d'exécution d'un chef...
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