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La nuit du Porte-lumière
Corine Derblum (traduit par)
Date de parution : 03/05/2018
Éditeurs :
12-21

La nuit du Porte-lumière

Corine Derblum (traduit par)
Date de parution : 03/05/2018
Irlande, 671. Alors que les préparatifs de la fête païenne de Samhain vont bon train, frère Eadulf découvre, au milieu du bois assemblé pour le bûcher, le cadavre d’un homme,... Irlande, 671. Alors que les préparatifs de la fête païenne de Samhain vont bon train, frère Eadulf découvre, au milieu du bois assemblé pour le bûcher, le cadavre d’un homme, exécuté selon l’ancien rituel de la « triple mort » : la gorge tranchée, le crâne fracassé et poignardé en... Irlande, 671. Alors que les préparatifs de la fête païenne de Samhain vont bon train, frère Eadulf découvre, au milieu du bois assemblé pour le bûcher, le cadavre d’un homme, exécuté selon l’ancien rituel de la « triple mort » : la gorge tranchée, le crâne fracassé et poignardé en plein cœur.
Quand apparaît Brancheó, femme étrange couverte d’un manteau de plumes noires qui prophétise le retour des anciens dieux et leur vengeance contre ceux qui les ont oubliés, elle attire rapidement les soupçons. Mais, dans leur recherche du meurtrier, soeur Fidelma et Eadulf vont comprendre qu’une ombre plus malfaisante encore menace la forteresse. Car leur enquête se révélera liée à la disparition d’un livre volé aux archives secrètes du pape, qui pourrait détruire la nouvelle foi chrétienne dans les cinq royaumes…

« Un pouvoir d’évocation extraordinaire... un décor brillant, qui fourmille de détails. »
The Times

Traduit de l’anglais par Corine Derblum
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EAN : 9782823861501
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823861501
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ma_mots_et_images 01/04/2024
    Ce tome se passe au moment de Samhain. Bien que catholique, l'Irlande est encore marquée par les festivités païennes d'antan et les superstitions. Le passage dans les jours sombres s'accompagne d'une soirée bien arrosée autour d'un grand feu de joie. C'est au cours de la préparation du bûcher que le cadavre d'un berger est découvert. Il a subi ce que les rites celtiques appellent la "triple mort". S'ensuivent de nombreux rebondissements, qui mènent Fidelma et son époux Eadulf sur les traces des anciennes coutumes. Ils finissent par s'intéresser aux mystères qui entourent un monastère proche de Cashel... Je suis toujours charmée par les talents de Peter Tremayne. Ses ouvrages nous entrainent dans une Irlande prise entre les traditions anciennes et la mise en place d'une religion catholique encore teintée de coutumes celtiques. Croyances, rites, pratiques juridiques, nous sont présentés avec facilité à travers des enquêtes plus ou moins rocambolesques. Dans ce tome 28, Peter Tremayne dose très bien le suspens, en entremêlant plusieurs enquêtes qui convergent toutes vers un monastère au fonctionnement trouble, posé dans un paysage époustouflant.
  • Latulu 21/01/2024
    Fidelma, héroïne irlandaise de l'auteur Peter Tremayne, revient dans un 28ème épisode et c'est la première fois que je lis une de ses aventures. Dans la Nuit du Porte-Lumière, l'héroïne va devoir résoudre une énigme complexe où se mêlent opposition de clans et de religions. L'affaire débute par la découverte d'un cadavre, dissimulé sous le bûcher préparé, sur la place de la ville, à l'occasion de Samhain. L'homme assassiné porte la marque du tau-rhô, symbole primitif de la nouvelle foi, gravé au bas des reins. Le plus choquant pour la population est que cet homme a subi la triple-mort : le crâne fracassé, la gorge tranchée et poignardé en plein coeur. Avec ça, les assassins étaient sûrs qu'il ne se relèverait pas... Fidelma, soeur de roi, dàlaigh (avocate des cours de justice de l'Irlande), mariée à Eadulf, un saxon, va enquêter pour trouver qui a tué le berger que tout le monde détestait. Sur son chemin, elle devra faire face à une sorcière de l'ancienne religion et des moines de la nouvelle foi qui connaît elle-même des dissensions au sein même de son église. J'ai bien aimé tout ce qui a trait aux différentes religions et traditions évoquées. En revanche le contexte historique m'a moins emballée. Nous sommes en Irlande, en 671, et pourtant je n'ai pas eu l'impression d'être immergée dans cette époque. Ceci dit, les dialogues modernes permettent de suivre l'histoire sans se prendre la tête avec un vocabulaire / charabia trop compliqué à suivre. Une lecture distrayante mais sans plus. Un peu trop de facilités à la fin pour dénouer les intrigues.Fidelma, héroïne irlandaise de l'auteur Peter Tremayne, revient dans un 28ème épisode et c'est la première fois que je lis une de ses aventures. Dans la Nuit du Porte-Lumière, l'héroïne va devoir résoudre une énigme complexe où se mêlent opposition de clans et de religions. L'affaire débute par la découverte d'un cadavre, dissimulé sous le bûcher préparé, sur la place de la ville, à l'occasion de Samhain. L'homme assassiné porte la marque du tau-rhô, symbole primitif de la nouvelle foi, gravé au bas des reins. Le plus choquant pour la population est que cet homme a subi la triple-mort : le crâne fracassé, la gorge tranchée et poignardé en plein coeur. Avec ça, les assassins étaient sûrs qu'il ne se relèverait pas... Fidelma, soeur de roi, dàlaigh (avocate des cours de justice de l'Irlande), mariée à Eadulf, un saxon, va enquêter pour trouver qui a tué le berger que tout le monde détestait. Sur son chemin, elle devra faire face à une sorcière de l'ancienne religion et des moines de la nouvelle foi qui connaît elle-même des dissensions au sein même de son église. J'ai bien aimé tout ce qui a trait aux différentes religions et traditions évoquées. En revanche le contexte historique m'a moins emballée. Nous sommes en...
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  • Eric76 22/12/2022
    Drôle de dame, cette Fidelma ! Une vraie miss Marple des âges sombres. Elle pourfend avec enthousiasme tous les criminels, résout à force de déductions et de logiques toutes les énigmes, même les plus tortueuses, qui font flores en Irlande, cette île lointaine battue par les vents et oubliée de Dieu. Pas très sympathique, par ailleurs ! Bien trop sûre d’elle et de sa supériorité intellectuelle. La célèbre dàlaigh (avocate des cours de justice en Irlande) a tendance à prendre les autres pour des ânes bâtés. Durant la lecture de ce récit, je n’ai pas cru en Fidelma, tout comme je n’ai pas cru en son grand frère, Guillaume de Baskerville dans le « Nom de la rose ». Son esprit rationnel et contemporain n’est guère adapté à cette époque imprégnée de superstitions et d’anciennes croyances, où les hommes côtoyaient le monde des ténèbres. Alors voir Fidelma les rejeter d’un revers de main comme de simples idioties me paraît totalement invraisemblable. Du coup, l’Irlande de l’an 671 de notre ère décrit par Peter Treymane me fait penser à un jardin français : tout y est propret, ordonné, coupé au carré. Rien de dépasse. L’intrigue est très complexe. On y parle d’un livre volé dans les archives secrètes du pape. Un livre dangereux qui pourrait détruire la nouvelle foi chrétienne en train d’étendre son pouvoir sur les débris de l’empire romain. On y parle d’un homme exécuté selon l’ancien rituel de la triple mort le jour de la fête païenne de Samhain. On y parle de pépites d’argent retrouvées dans les profondeurs humides de l’abbaye de Râth Cuàn, de bagarres théologiques acharnées entre moinillons vindicatifs, d’une prophétesse de la nuit, et d’un vieil ermite ayant élu domicile dans une grotte au sommet du mont Cnocgorm. On y apprend que la cité de Cashel, où demeure le roi de l’un des cinq royaumes d’Irlande, est aussi « l’éperon des gens de l’autre monde ». Autant d’indices disparates, sans liens entre eux, que l’insupportable Fidelma suivra de son œil aiguisé, avant de trouver LA réponse qu’elle donnera avec emphase lors d’un dàl (cour de justice) mouvementé. Son frère, le roi Golgu, lui avouera, tout penaud, qu’il n’a pas tout compris. Qu’il se rassure : moi aussi. Et pourtant, malgré toutes mes réserves, j’ai apprécié ce livre. J’ai aimé le monde de Fidelma, car il fourmille d’éléments qui nous permettent de « sentir » cette époque lointaine. Une vie rude. Un lien charnel avec la nature. Femmes et hommes tiraillés entre un paganisme vieux comme le monde et cette nouvelle foi chrétienne, sûre d’elle et dominatrice… Un bon moment de lecture. Drôle de dame, cette Fidelma ! Une vraie miss Marple des âges sombres. Elle pourfend avec enthousiasme tous les criminels, résout à force de déductions et de logiques toutes les énigmes, même les plus tortueuses, qui font flores en Irlande, cette île lointaine battue par les vents et oubliée de Dieu. Pas très sympathique, par ailleurs ! Bien trop sûre d’elle et de sa supériorité intellectuelle. La célèbre dàlaigh (avocate des cours de justice en Irlande) a tendance à prendre les autres pour des ânes bâtés. Durant la lecture de ce récit, je n’ai pas cru en Fidelma, tout comme je n’ai pas cru en son grand frère, Guillaume de Baskerville dans le « Nom de la rose ». Son esprit rationnel et contemporain n’est guère adapté à cette époque imprégnée de superstitions et d’anciennes croyances, où les hommes côtoyaient le monde des ténèbres. Alors voir Fidelma les rejeter d’un revers de main comme de simples idioties me paraît totalement invraisemblable. Du coup, l’Irlande de l’an 671 de notre ère décrit par Peter Treymane me fait penser à un jardin français : tout y est propret, ordonné, coupé au carré. Rien de dépasse. L’intrigue est très complexe. On y parle...
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  • Phoenicia 17/10/2022
    Fidelma nous emmène dans une enquête sur fond de paganisme et d'hérésie. Comme de coutume, la religion est une nouvelle fois bien présente. L'aspect païen apporte une certaine aura d'étrangeté et d'ambiance assez sombre, d'autant que nous sommes au moment de Samhain. L'enquête est très tortueuse, comme toutes les enquêtes de Fidelma et aboutit à des éléments qui n'ont que peu de rapports avec ceux supposés du début. La chute, pour une fois, est prévisible, l'auteur mettant des jalons ici et là pour y mener, peut-être à un détail près. Côté personnage, on a une nouvelle fois une Fidelma au mieux de sa forme. Eprise de justice mais n'hésitant pas à remettre les plus grands à leur place, y compris et surtout lorsqu'il s'agit de son frère, roi au demeurant. Pour Eadulf, il est une fois de plus question de sa place dans cette société, dans son union. On sent que la dépendance poussée qu'il a vis-à-vis de la loi avec sa femme ne lui plaît pas plus que cela. Je ne sais si ces détails vont être explorés plus en amont dans un autre titre de la récit. C'est très intéressant, montre une société assez moderne, du moins féministe dans le sens où la loi est la même, qu'on soit homme ou femme. Surtout, depuis quelques titres, on s'éloigne de l'image du faire-valoir que l'auteur lui avait assigné pendant trop longtemps, sans pour autant lui donner une vraie place dans l'enquête. Fidelma en reste l'enquêtrice principale, Eadulf, un satellite gravitant autour d'elle. Sur ce point, je me demande si l'auteur ne pourrait pas le faire évoluer davantage, à commencer par ses compétences médicales, rendant ainsi son personnage un peu plus essentiel. Ou tout simplement l'enlever de quelques intrigues... Côté connaissances, j'ai vivement apprécié tant l'ambiance Samhain que l'hérésie psilanthropiste présentée ici. Peter Tremayne attire toujours notre attention sur ce christianisme en voie de se construire, les divergences qu'il peut y avoir entre les différentes communautés que l'Histoire n'a que peu éclairées.Fidelma nous emmène dans une enquête sur fond de paganisme et d'hérésie. Comme de coutume, la religion est une nouvelle fois bien présente. L'aspect païen apporte une certaine aura d'étrangeté et d'ambiance assez sombre, d'autant que nous sommes au moment de Samhain. L'enquête est très tortueuse, comme toutes les enquêtes de Fidelma et aboutit à des éléments qui n'ont que peu de rapports avec ceux supposés du début. La chute, pour une fois, est prévisible, l'auteur mettant des jalons ici et là pour y mener, peut-être à un détail près. Côté personnage, on a une nouvelle fois une Fidelma au mieux de sa forme. Eprise de justice mais n'hésitant pas à remettre les plus grands à leur place, y compris et surtout lorsqu'il s'agit de son frère, roi au demeurant. Pour Eadulf, il est une fois de plus question de sa place dans cette société, dans son union. On sent que la dépendance poussée qu'il a vis-à-vis de la loi avec sa femme ne lui plaît pas plus que cela. Je ne sais si ces détails vont être explorés plus en amont dans un autre titre de la récit. C'est très intéressant, montre une société assez moderne, du moins féministe dans...
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  • Tinaju 16/08/2021
    Qu'est ce que j'aime retrouver Fidelma et Eadulf ! Je ne peux pas passer plus d'un mois sans eux. Et je vois la fin de la série approcher avec un peu de crainte je l'avoue... Une fois de plus, l'enquête est palpitante. Elle se passe à Cashel et c'est toujours intéressant d'évoluer sur le lieu de vie de nos héros. On découvre également une nouvelle facette de Colgu (le frère de Fidelma) qui le fait descendre de son trone et le rend plus humain. Bref, j'ai encore passé un bon moment. Je ne m'en lasse pas.
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