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Le dernier tango de Kees Van Dongen
Collection : Romans
Date de parution : 21/08/2014
Éditeurs :
le cherche midi

Le dernier tango de Kees Van Dongen

Collection : Romans
Date de parution : 21/08/2014
"Célébration de la femme"
Entouré de jeunes et jolies infirmières, Van Dongen vit ses derniers jours à Monaco en mai 1968. Atteint, entre autres, de la maladie de Parkinson, il n’aura pas le loisir... Entouré de jeunes et jolies infirmières, Van Dongen vit ses derniers jours à Monaco en mai 1968. Atteint, entre autres, de la maladie de Parkinson, il n’aura pas le loisir de les déshabiller, de les peindre et de les aimer. Alors il se souvient et reviennent sur ses lèvres ses... Entouré de jeunes et jolies infirmières, Van Dongen vit ses derniers jours à Monaco en mai 1968. Atteint, entre autres, de la maladie de Parkinson, il n’aura pas le loisir de les déshabiller, de les peindre et de les aimer. Alors il se souvient et reviennent sur ses lèvres ses conquêtes féminines, ses amis Picasso, Max Jacob, Arthur Cravan.
 
Cette confession imaginaire est un enchantement perpétuel. Une valse folle dont on voudrait ralentir le rythme pour ne pas arriver à la dernière page.
 
C’est aussi un hymne à la vie, à l’amour, aux femmes et à leur corps.
 
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EAN : 9782749130033
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782749130033
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • sylvaine 09/05/2023
    Découvrir Kees Van Dongen grâce à François Bott a été un véritable plaisir. François Bott prête sa "voix" à Van Dongen, nous sommes à Monaco le 28 mai 1968 Van Dongen s'éteint et nous confie par bribes les souvenirs heureux ou honteux d'une vie menée tambour battant , passant d'n quartier de Paris à un autre, fréquentant les plus grands artistes de son temps, partageant un logement sur le bateau-lavoir entouré de Picasso ou d'Apollinaire ... il évoque ces femmes qui l'ont entouré, celles qu'il a aimé,, courtisé, mis dans son lit, celles dont il a rêvé .. quel tourbillon. Il était un monstre sympathique mais un monstre véritable, reconnait il mais quel talent! Fauvisme ou pas les couleurs claquent sur la toile, les visages envahissent l'espace et les regards se teintent de tristesse et de mélancolie. Un univers que je n'aurais sans doute pas découvert sans la superbe liste crée par Adenolia : Romans où des oeuvres d'art sont au coeur du récit à découvrir ici : https://www.babelio.com/liste/4364/Romans-ou-des-oeuvres-dart-sont-au-coeur-du-recit
  • marosaga 21/07/2018
    François Bott nous parle des derniers jours de Kees Van Dongen et de son amour des femmes. Je n'aurais sûrement pas découvert cet opus si, dans le cadre d'un week-end consacré aux femmes, la bibliothécaire de mon village ne m'avait demandé de partager quelques lectures avec le public de la Médiathèque. Lectures qui, semble-t-il, furent appréciées, tant par les auditeurs que par les lecteurs... Je connais relativement bien les œuvres du peintre, je ne connais pas du tout l'auteur, je vais y regarder de plus près...
  • MonCharivariLitteraire 28/10/2017
    Beau livre sur les dernière heures de Kees Van Dongen. Allongé sur son lit de mort, attendant que celle ci l'emporte il repense à sa vie, à la peinture, aux femmes. L'écriture nous emporte et nous parcourons les souvenirs de ce grand artiste qui sont toujours liés à la peinture à ses amours et au femme qu'il ne cessera d'immortaliser sur ces toiles. Le livre se lit tout seule avec une belle musicalité et un beau rythme. L'aspect biographique est léger. François Bott revient sur les reproches qui ont été fait au peintre et fait comprendre le point de vue du peintre. Il semble plus souhaiter nous transmettre le caractère de l'homme, ses passions. La peinture sera toujours au dessus de toute autre même des femmes tandis qu'il s'éteint en prenant le thé.
  • Killing79 17/11/2015
    Kees Von Dongen est un peintre dandy avec un fort caractère. Sur son lit de mort, entouré d’infirmières, il se souvient de ses premiers pas en tant qu’artiste. Très court roman qui bascule entre le présent à l’hôpital et le passé raconté sous forme de confessions. A l’aide de nombreux flashbacks, François Bott nous fait revivre les événements de cette vie hors normes, riche en rencontres et en couleurs. Un destin atypique pour ce personnage qui se revendiquait anarchiste et misanthrope mais qui va profiter de son art pour vivre au milieu des mondains et s’embourgeoiser. Mais plus que le croquis de ce génie provocateur, flambeur, frivole, égoïste parfois profiteur, cette histoire nous dépeint un véritable panorama artistique du grand Paris de cette époque. On y croise dans des circonstances diverses, Cocteau, Picasso, Anatole France, Brigitte Bardot… Avec une plume très agréable, totalement maîtrisée, François Bott brosse le portrait d’un homme amoureux de peinture et de femmes, qui m’a passionné de bout en bout. Seul le nombre de pages très faible pénalise la bonne impression que m’a fait ce roman. Car même si cet auteur m’a convaincu, cette lecture trop rapide risque de ne pas laisser une trace indélébile dans mes souvenirs. Le double, voire le triple, des aventures de Kees Von Dongen ne m’aurait pas déplu. Kees Von Dongen est un peintre dandy avec un fort caractère. Sur son lit de mort, entouré d’infirmières, il se souvient de ses premiers pas en tant qu’artiste. Très court roman qui bascule entre le présent à l’hôpital et le passé raconté sous forme de confessions. A l’aide de nombreux flashbacks, François Bott nous fait revivre les événements de cette vie hors normes, riche en rencontres et en couleurs. Un destin atypique pour ce personnage qui se revendiquait anarchiste et misanthrope mais qui va profiter de son art pour vivre au milieu des mondains et s’embourgeoiser. Mais plus que le croquis de ce génie provocateur, flambeur, frivole, égoïste parfois profiteur, cette histoire nous dépeint un véritable panorama artistique du grand Paris de cette époque. On y croise dans des circonstances diverses, Cocteau, Picasso, Anatole France, Brigitte Bardot… Avec une plume très agréable, totalement maîtrisée, François Bott brosse le portrait d’un homme amoureux de peinture et de femmes, qui m’a passionné de bout en bout. Seul le nombre de pages très faible pénalise la bonne impression que m’a fait ce roman. Car même si cet auteur m’a convaincu, cette lecture trop rapide risque de ne pas laisser une trace indélébile dans mes souvenirs....
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  • fran6h 20/05/2015
    Avec Kees Van Dongen on navigue dans le Paris des peintres, on navigue dans Paris, entre le "Bateau-Lavoir" et Montparnasse, rive droite, rive gauche, rive droite, Paris bohème, Paris mondain. On est ici dans le dernier jour de cet artiste, il a alors 91 ans et est alité dans sa maison à Monaco en cette fin Mai 1968. A la vue de la silhouette des infirmières qui s'occupent de lui, les souvenirs reviennent. Lui qui a tant aimé les femmes. Lui qui les a peintes. Lui qui les a dévoilées, dévêtues, dévorées. Des souvenirs fragmentaires, forcément avec l'âge ... Mais quelle vie ! Une vie faite d'urgences, d'apparences, et imprégnée de l’égoïsme voire du narcissisme nécessaire à la nourriture du processus créatif. Ecrit avec soin ce court roman se lit d'une traite. Un roman qui donne envie de (re)découvrir ce peintre qui a marqué son temps (années 1910 à 1940) et qui a côtoyé tout ce que la culture française et européenne de ce temps a produit de pépites.
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