Le dieu désert

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• mauriceandre 30/04/2023

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  Salut les Babelionautes Ce tome revient en arrière et met le doute dans le déroulement chronologique de cette Saga. Ce ne sont que des redites des tomes précédant malgré le talent et l'imagination de Wilbur Smith. C'est en Mer au large de la Crète que va se dérouler ce récit ou encore une fois Taita va devoir faire tout son possible pour trouver des alliés contre les envahisseurs hyksos. Merci à Jacques Martinache pour la traduction.
• stephane69 19/07/2020

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  Ce roman s'inscrit dans la continuité de la saga égyptienne (Le Dieu Fleuve et le Fils du Nil). Nous retrouvons l'extraordinaire esclave Taita devenu conseiller des pharaons, qui nous narre, sans fausse modestie, ses aventures en Mésopotamie et en Crête, pour libérer l'Égypte de ses ennemis. Cette épopée peut décevoir car elle n'a pas l'ampleur, ni la précision historique de celles des premiers tomes. La structure du récit est plus ordinaire : deux missions parsemées d'embûches et d'exploits. La relation de la première mission déroute le lecteur fidèle, car elle semble racontée avec distance. Ceci dit, j'ai lu ce roman avec gourmandise. Wilbur Smith demeure un conteur hors pair qui mène tambour battant des histoires riches en rebondissements, en amours compliquées, en vilains cruels et en évocations organiques crûes.
• BurggraeveDidier 30/11/2016

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  Wilbur Smith est un mes auteurs favoris. Le début du livre m'a un peu déçu car le récit est un peu infantile avec un Taita trop imbu de lui même et a qui tout réussi trop facilement. Heureusement il se rattrape dans la deuxième moitié qui est nettement meilleure. Ce n'est pas le meilleur de cet auteur très prolifique et qui n'est plus de prime jeunesse. Le précédent "Cercle vicieux" était quant à lui vraiment très bien.
• bebi 29/09/2016

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  Taita a déjà montré par le passé qu’il est doté d’une intelligence sans faille. Aujourd’hui encore, le pharaon qu’il sert, Tamose, peut compter sur lui pour continuer à lui fournir son aide. C’est d’ailleurs ce que Taita fait en lui apportant de quoi monter une armée suffisante contre leurs ennemis, les Hyksos, et en prenant soin des jeunes sœurs de Tamose, comme si c’était ses propres filles. C’est ainsi qu’il est chargé de les accompagner jusqu’en Crète où elles doivent être unies au roi Minos. Se dessine un long périple à travers le désert et en bateau, qui va leur faire vivre maintes aventures. Ce roman fait suite à la si célèbre saga du Dieu fleuve. J’avais adoré, littéralement, cette série lorsque je l’avais découverte. Aventures, Egypte ancienne, amours, et tous les ingrédients nécessaires à l’élaboration d’une histoire emplie de rebondissements. Je n’ai pas retrouvé cette atmosphère dans cet opus. Au contraire, Taita m’a semblé très condescendant, très pontifiant, ce qu’il n’était pas avant, pourtant bien conscient de ses qualités. Aujourd’hui, on le trouve dans la force de l’âge, installé dans des fonctions illustres, et imbu de sa personne. « Je suis beau, je suis intelligent, je fais bien sûr mieux,… ». Bref, cet aspect du personnage m’a vraiment déçue. Pour ce qui est de la partie explications, elle est bien présente. Peut-être même un peu trop, au détriment de la trame de l’histoire elle-même. C’est intéressant bien sûr, mais on peut perdre un peu le fil ensuite. Je ne pense pas que c’est ce que l’auteur désirait, mais j’ai un peu l’impression d’avoir un livre d’explication sur l’Egypte ancienne à la base, plutôt qu’un roman sur base historique. Ce qui fait toute la différence. Du coup, je n’ai pas réussi à me replonger dans cette saga comme je l’aurais aimé. Et je reste sur ma faim, par conséquent.Taita a déjà montré par le passé qu’il est doté d’une intelligence sans faille. Aujourd’hui encore, le pharaon qu’il sert, Tamose, peut compter sur lui pour continuer à lui fournir son aide. C’est d’ailleurs ce que Taita fait en lui apportant de quoi monter une armée suffisante contre leurs ennemis, les Hyksos, et en prenant soin des jeunes sœurs de Tamose, comme si c’était ses propres filles. C’est ainsi qu’il est chargé de les accompagner jusqu’en Crète où elles doivent être unies au roi Minos. Se dessine un long périple à travers le désert et en bateau, qui va leur faire vivre maintes aventures. Ce roman fait suite à la si célèbre saga du Dieu fleuve. J’avais adoré, littéralement, cette série lorsque je l’avais découverte. Aventures, Egypte ancienne, amours, et tous les ingrédients nécessaires à l’élaboration d’une histoire emplie de rebondissements. Je n’ai pas retrouvé cette atmosphère dans cet opus. Au contraire, Taita m’a semblé très condescendant, très pontifiant, ce qu’il n’était pas avant, pourtant bien conscient de ses qualités. Aujourd’hui, on le trouve dans la force de l’âge, installé dans des fonctions illustres, et imbu de sa personne. « Je suis beau, je suis intelligent, je fais bien sûr mieux,… ». Bref, cet...

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